Français de souche

L’impertinence de Mme Bouteldja     

L’impertinence de certains immigrés dépasse l’entendement. La moindre des choses, quand on est invité chez quelqu’un, c’est de lui témoigner le respect auquel il a droit. Mais Mme Houria Bouteldja n’en a cure. D’origine nord-africaine, cet émissaire des soi-disant « Indigènes de la République » nous a révélé le 2 juin 2007, dans une émission de France 3, tout le bien qu’elle et ses amis pensaient des Français de souche, qu’ils appellent les « sous-chiens »..., les jugeant donc encore plus méprisables que les chiens ! Que dirait-on si, à l’inverse, un Français de souche aussi « raciste » qu’elle avait qualifié Mme Bouteldja et ses congénères de porcs ou de « sous-porcs » ? L’association dirigée par Bernard Antony, l’AGRIF, a eu raison d’engager des poursuites contre cette personne. Mais il ne faut pas se bercer d’illusions : les juges de la République, influencés par l’idéologie dite « antiraciste », c’est-à-dire antifrançaise, ont trop souvent tendance à oublier qu’il n’y a pas de justice quand la loi n’est pas la même pour tous.

Fiers d’être Français de souche
L’essentiel, cependant, n’est pas là. Nous devons désormais revendiquer avec force cette appellation de Français de souche dont on voudrait nous faire injure. Nous sommes fiers d’être des « Français de souche », parce que ce sont eux qui ont fait la France depuis Clovis et qu’elle est la plus grande et la plus belle des nations qui aient jamais existé sur la Terre. Nous voulons bien accepter, à petites doses, les descendants des Barbaresques, à condition que ceux-ci cherchent à s’assimiler à la communauté nationale française, telle qu’elle était constituée avant leur arrivée, telle que nos ancêtres, Français de souche avant nous, l’ont forgée au travers des siècles d’histoire. Les Français de souche sont les vrais Français. Les immigrés ne sont les bienvenus que s’ils acceptent de se fondre, eux et leurs descendants, dans la communauté nationale, en renonçant à leur identité d’origine. L’assimilation des immigrés ou leur départ, telle est l’alternative qu’il faut opposer à ceux qui rêvent de tuer notre patrie en en faisant une société multiculturelle.

Le départ des Français de papier
Disons-le tout net : les Français de papier à la manière de Mme Bouteldja n’ont pas leur place dans la République. Puisqu’ils affectent de mépriser les Français de souche, dont ils sont en réalité jaloux, c’est qu’ils rejettent la France ellemême. Il faut les déchoir de la nationalité française et leur demander de regagner la patrie de leurs ancêtres. Le plus tôt sera le mieux. On ne peut rien attendre, hélas, à cet égard, de l’actuel président de la République, qui a écrit dans la conclusion de son livre Témoignage, en juillet 2006 (page 280) : « La France d’après (...), c’est une France où l’expression “Français de souche” a disparu. » Une France qui ne serait plus la France, mais un « espace » où les Français de souche auraient disparu par brassage et par métissage, submergés par l’immigration issue du tiers monde. Comment, après de tels propos, s’étonner des outrances de Mme Bouteldja ?

 

EDITORIAL par Henry de Lesquen Président de Voix des Français-Renaissance 95

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