LES DÉLIRES DE L’OCDE

L’Organisation de coopération et de développement (OCDE) se soucie peu de l’identité des peuples. Elle vient de décréter que « l'Allemagne aura besoin d'accueillir bien plus d'immigrés qualifiés, européens ou non, au cours des prochaines années, afin de compenser le vieillissement de sa population active ». 

Dans une Europe grandement touchée par le chômage, les entreprises allemandes continuent de recruter à tour de bras :

une société sur cinq affirme ne pas avoir été en mesure de recruter assez d'employés débutants en 2010 – proportion plus de deux fois supérieure à ce qu'elle était dix ans plus tôt –, et plus de 100.000 contrats d'apprentissage n'ont pas pu être conclus en août dernier.
Berlin est donc sommée de faciliter le recrutement de quelque 4 millions et demi de travailleurs d’ici 2025. Alors qu’une politique nataliste et une amélioration de l’enseignement pourraient répondre aux besoins du marché de l’emploi, l’OCDE ne voit que l’immigration comme solution, préconisant ainsi le remplacement de la population allemande.
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