COURRIER DU NUMÉRO 54

COURRIER DU NUMÉRO 54
avril 2003

Islamisation de la France : un abattoir hallal en plein pays beauceron !

Je suis écœuré par l'attitude du Préfet du Loiret qui cède aux exigences des musulmans. Il leur a accordé le permis de construire un abattoir hallal à Ruan, petit village près d'Artenay. La quantité, à chaque fin de semaine, sera de 250 moutons maximum. S'ils réussissent à avoir un abattoir à Ruan, demain ils demanderont d'autres faveurs et c'est comme ça que, petit à petit, ils s'incrustent. Si nous pouvions faire quelque chose pour essayer de faire barrage à ce projet et venir en aide à la commune ?

M. P. G. (Fleury-les-Aubrais - Loiret)


Drogue : les noms du réseau Daron

Quatorze prévenus jugés en mars dernier, douze qui comparaissent actuellement devant le tribunal de Pontoise : la mort par surdose d'un jeune toxicomane, le 6 janvier 2001, à Gonesse, aura mené les policiers de la sûreté départementale du Val d'Oise sur la piste de plusieurs réseaux de trafic de drogue qui arrosaient en cocaïne, ecstasy, cannabis et héroïne plusieurs discothèques parisiennes et une longue liste de clients à travers toute l'Ile-de-France. L'enquête a permis de mettre des noms sur des pseudos comme Rachid, Tupak ou le Daron qui revenaient constamment dans les écoutes téléphoniques.
Rachid, 27 ans, a basculé dans le milieu de la drogue après l'obtention de son BTS. Officiellement érémiste, il se promenait du liquide plein les poches, roulait en Mercedes SLK, dans laquelle les enquêteurs retrouveront de nombreuses traces de stupéfiants. Au même moment, Hichem et Hassan, alias Toupalc, deux proches de Rachid, sont identifiés. Hichem est déjà en détention dans l'Eure, interpelé avec 7 kilos de haschich. Tous refusent de donner le vrai nom du Daron, patron de la filière.
Les policiers finissent cependant par l'interpeler grâce aux écoutes téléphoniques. Mais le prénommé Daron - Kamel B. -, 28 ans, a toujours refusé d'endosser cette responsabilité. Pourtant, ce érémiste de longue date mène grande grande vie : voitures, appartement parisien acheté 500.000 francs (76.000 euros) comptant, livret A bien garni, etc.

M. D. D. (Val d'Oise)


L'écœurante censure des médias

l Je vous écris pour vous remercier d'avoir manifesté le 26 avril dernier contre l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Habitant bouleverd Raspail, j'ai pu observer votre cortège depuis le balcon de mon appartement. Peut-être le savez vous ? Vous étiez précédés par une autre manifestation, organisée par l'extrême gauche et un collectif de "sans papiers", c'est à dire d'immigrés entrés illégalement en France. Moi j'ai vu les deux défilés successivement, mais les Français n'habitant pas le quartier ne pourront en dire autant. En effet, les médias n'ont ensuite parlé que des clandestins. Cette information partiale, cette censure "bien-pensante", m'écœure. C'est pourquoi j'ai décidé de vous écrire afin de vous apporter le soutien d'un spectateur bien décidé à devenir militant : parce que trop, c'est trop !

M. C. B. (Paris)


Coktail de scepticisme et fatalisme

Veuillez trouver, ci-joint, 65 signatures pour dire non à l'entrée de la Turquie dans l'Europe [...]. Il faut savoir que nombre de gens suivent les informations servies par les médias, tous complices, qui ont jusqu'ici effleuré le sujet, sans trop insister sur l'accord de Chirac et Villepin pour absorber la Turquie dans l'Europe. L'affaire de l'Irak a polarisé l'information, au détriment de celle qui nous concerne plus précisément, nous les Français. Enfin il y a ceux qui vous disent : " Je ne fais pas de politique", comme si le civisme relevait toujours de la politique [...]. Je suis de plus en plus déçu par le manque de clairvoyance, de prise de conscience des problèmes, par la méconnaissance des enjeux qui engagent l'avenir du pays, par la part importante de Français anesthésiés, béats d'engourdissement. Un scepticisme doublé de fatalisme est à remarquer. C'est désespérant ! Je vous souhaite tout le succès que mérite votre action. Bravo !

M. C. W. (Cahors - Lot)


Scène ordinaire du racisme anti-français

Le 24 mars 2003, il est 17 heures environ. Je suis assise à l'abri-bus tout près de l'église Saint-Philippe du Roule. Une dame est assise. Entre elle et moi vient s'assoir un homme à la retraite. Il cherche à pianoter un numéro sur son téléphone portable. Un homme, la trentaine, "bronzé", le crâne rasé s'approche de mon voisin et l'invective : "Sale blanc ! Tu as gagné de l'argent grâce à l'esclavage ! Sale Français, moi je n'ai pas de travail ! etc." Mon voisin tente de lui répondre, l'autre avance encore plus vers lui : ils sont presque visage contre visage. Nous nous sommes levées à notre tour quand deux policiers en voiture s'arrêtent et essayent de comprendre. L'individu répète ses propos. Les policiers lui demandent ses papiers : sa carte d'identité est française. Les policiers tentent de dialoguer. En vain. Puis ils demandent à l'homme pris à partie, s'il veut porter plainte pour racisme anti-français. "Non, répond ce dernier, cela ne servirait à rien."

Mme R.P. (Clichy-la-Garenne - Hauts-de-Seine)

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