COURRIER DU NUMÉRO 55

COURRIER DU NUMÉRO 55
mai-juin 2003

Chirac en Algérie :
vive M. Visa !

Jacques, pourquoi as-tu été là-bas, en Algérie ? Moi je sais ! Pour distribuer des visas d'entrée en France aux Algériens. Merci Jacques !

Signé : un Français en colère


Extension de la CMU aux clandestins :
lettre ouverte au Premier ministre

Monsieur le Premier ministre,

Est-ce une rumeur ou une réalité ?
Bien que le contribuable français soit le champion d'Europe des prélèvements obligatoires ; bien que les comptes de la sécurité sociale soient dans le rouge ; bien que les assurés sociaux actifs ou retraités soient déjà saignés à blanc au niveau des cotisations directes ou indirectes (CSG, CRDS, etc.) ; bien que les économies de bouts de chandelles soient recherchées avec l'imposition de médicaments génériques, la note va inéluctablement s'alourdir dans des proportions inquiétantes sous l'effet de la décision administrative de fournir des soins gratuits aux délinquants étrangers que sont les clandestins.

Sous la pression de ces associations dites "caritatives", si généreuses avec l'argent des autres, pourvoyeuses officielles d'un flux migratoire tiers-mondiste de plus en plus envahissant, générateur de chômage et d'insécurité, le gouvernement s'apprêterait, paraît-il, à appliquer cette mesure aberrante et démagogique ?

Son application ne ferait pas qu'amplifier ce flux migratoire avec tous les effets négatifs. Elle serait fiscalement calamiteuse pour la collectivité : attendu qu'en bénéficieraient, dans des proportions toujours croissantes, des centaines de milliers de réfugiés économiques étrangers, violeurs de notre sol national, dont le seul droit, au regard des textes, est et reste l'expulsion. Expulsion à laquelle s'oppose, par principe, ces associations.

Qu'en pensent vos électeurs, Monsieur le Premier ministre ? Il serait simple de leur poser la question par référendum. Leur altruisme n'a-t-il pas atteint ses limites ?

Je vous prie de croire, Monsieur le Premier ministre, à l'expression de ma très haute et sincère considération.

M. R. L. (Laon, Aisne)


Intégration non ! Assimilation, oui !

Intégrer, les politiciens ne pensent qu'à cela ! [...]. Or, c'est à l'immigré de s'intégrer, mieux, de s'assimiler, faute de quoi il reste étranger sur notre sol, tenu cependant de respecter les lois du pays d'accueil (roulerait-il à droite en Grande-Bretagne ?).
S'assimiler, donc ! C'est ce qu'ont fait des générations de Polonais, d'Italiens, d'Espagnols, de Portugais, qui ont voulu travailler et vivre en France. Même s'ils ont connu parfois des difficultés, ils ont respecté les lois françaises et n'ont pas créé des "zones de non-droit", inadmissibles dans notre pays.
Leurs enfants ont adopté nos mœurs et notre histoire. J'ai eu, dans le Nord, des copines de classe au patronyme polonais, italien, etc. Elles parlaient français aussi bien, voire mieux, que vous et moi. Il n'y avait aucune discrimination. Nous ne ressentions aucune différence. Dans la vie privée, ces personnes maintenaient quelquefois leurs traditions [...], mais, dans la vie publique, elles se noyaient dans la masse et ne faisaient pas de particularisme "communautariste".

M. F. M. (Saint-Vincent de Tyrosse, Landes)


Contre l'adhésion de la Turquie, poursuivons notre action !

Merci de m'avoir envoyé la feuille modèle de pétition que je vous avais demandée pour participer à votre campagne contre l'adhésion de la Turquie. J'ai réuni des signatures dans mon entourage et je vous adresse deux feuilles remplies. J'attends encore une troisième feuille, confiée à une amie, que je vous adresserez sitôt qu'elle me sera rendue. J'espère que vous en avez reçues beaucoup.

Continuez votre action !

Avec mes salutations,
M. C. M. (Strasbourg, Bas-Rhin)


Chirac va en Algérie et les Algériens viennent en France !

"La visite de Jacques Chirac en Algérie nous a valu une "déclaration commune d'amitié", signée par le président français et son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Elle fixe le cadre concret de la refondation des relations entre la France et l'Algérie. Elle exprime aussi une véritable fuite en avant de la part du gouvernement français [...]. Alger et Paris s'engagent tout d'abord à renforcer leur coopération politique, économique, culturelle et scientifique et à faciliter la venue des Algériens en France. Le texte signé est net : "les deux pays s'engagent à favoriser la circulation des ressortissants algériens en France et des ressortissants français en Algérie." Sur deux points délicats, en lien avec cette intention, concernant les visas pour les Algériens et le retour des Harkis en Algérie, la déclaration indique par ailleurs qu'un groupe de travail de haut niveau se réunira au moins une fois par an." Nous voilà prévenus.

Extrait du journal "France demain" du 5 mars 2003, transmis par M. D. M. (Orléans, Loiret)


La preuve par le voile islamique

Qui pourrait encore contester la "loyauté républicaine des masses musulmanes installées sur notre sol" après l'accueil émouvant, enthousiasmant et chaleureux réservé à Monsieur Sarkozy lorsqu'il a déclaré que les musulmanes devaient retirer leur voile islamique sur les photos d'identité... Je pense qu'il faudra souligner ces faits lors de vos prochaines manifestations.

M J. D. (Chatou, Yvelines)


Soutien à Brigitte Bardot !

Je suis scandalisée par la façon dont le ridicule Marc-Olivier Fogiel a traité Mme Bardot lors d'une récente et abjecte émission de télévision. Les adhérents de Voix des Français doivent soutenir cette femme courageuse qui a été condamnée plusieurs fois par les soi-disant antiracistes pour avoir dénoncé la barbarie des égorgements de l'Aïd el Kebir qui se pratiquent chaque année dans notre pays.

Mme C. D. (Luynes, Bouches-du-Rhône)

Vous êtes ici : Accueil Courrier des lecteurs COURRIER DU NUMÉRO 55