COURRIER DU NUMÉRO 57

COURRIER DU NUMÉRO 57
octobre 2003

Menues réflexions à propos de l'immobilier, l'immigration, et de la carte électorale.

Cet été, je faisais part à un ami professionnel de l'immobilier de mon désir d'acquérir une résidence secondaire dans le midi de la France. A cette occasion, je lui ai confié ma déception de constater que, souvent, les biens mis en vente à des prix modiques se trouvaient, en fait, à proximité de zones à problèmes, c'est-à-dire à proximité de zones envahies par des populations à problèmes. Je lui demandai donc conseil pour pouvoir identifier ces zones sans avoir à me rendre sur place, ce qui n'est pas des plus facile puisque j'habite Paris. Sa réponse fut des plus instructives, et c'est pourquoi je me permets de vous la livrer à mon tour.

"Cher Jean, me dit il, je te conseille de te procurer une carte électorale des dernières élections présidentielle et législatives. Si la maison que tu convoites est située dans une circonscription où Le Pen et Mégret ont fait un bon score, saches que son prix modique tiens certainement à son environnement direct. C'est l'expression directe de la loi du marché .. dans les zones à problème, les propriétaires cherchent massivement à vendre et les acquéreurs ne sont pas légions, si bien que la valeur des transactions est rapidement en chute libre."

Pour ma part, j'en tire trois enseignements principaux. Le premier, c'est que les Français ne réagissent politiquement que lorsqu'ils sont touchés par les problèmes dans leur environnement immédiat. Le second, c'est qu'ils ne votent pas seulement en glissant le bon bulletin dans l'urne, mais qu'ils sont aussi nombreux à voter avec leurs pieds, en fuyant quand ils le peuvent - les zones de non-droit. Le troisième enseignement est un conseil à destination de ceux de nos compatriotes qui sont propriétaires : "pensez à votre patrimoine, votez national ! ".

M. J. K. (Paris)


Dur, dur de vivre sans Voix des Français !


Chers amis de Voix des Français, je vous envoie cette petite carte postale islamiquement incorrecte [ ndlr : il s'agit de la photo d'un superbe plateau de charcuteries d'Auvergne] pour vous dire que, même en vacances, nous pensons à vous. En fait, l'immigration prend une telle ampleur, jusque dans nos provinces les plus reculées, que c'est impossible de ne pas penser à vous. Pour " positiver ", je fais donc ce pronostic : Voix des Français va bientôt pouvoir recruter de nouveaux militants dans ces contrées, jadis épargnées, et peuplées de gens qui nous prenaient autrefois pour des " gens qui exagèrent ". Amitiés sincères,

Mme Ch. B (depuis Rodez, Aveyron)


Piscines islamiquement correctes : la fin de la République.

Bravo pour votre article contre les piscines municipales qui, cet été, ont défini des horaires réservés aux femmes pour satisfaire les associations islamiques extrémistes aux yeux desquelles hommes et femmes ne sauraient naturellement se baigner en même temps dans le même bassin ! Mais dans quel pays vivons-nous ? Et que devient le sacro-saint principe de laïcité républicaine ? Quand je pense que les municipalités qui ont imposé cette infamie sont dirigées par des politiciens qui ont les mots " valeurs républicaines " plein la bouche, mon cœur balance entre révolte et désespoir.

M. B. R. (Moulins. Allier)


Tolérance zéro pour les incendiaires !

Depuis son lieu de villiégature esivale, Jacques Chirac a promis la plus grande sévérité à l'égard des incendiaires. Depuis le mien, je l'approuve totalement et je requiers à mon tour la plus grande sévérité à l'égard des incendiaires politiciens qui jouent avec l'immigration, comme d'autres jouent avec le feu. Qui sait, peutêtre l'histoire me donnera-t-elle raison ?

M. A. S. (Aulnay-sous-Bois, Seine-Saint-Denis)


Sarkozy : Voix des Français avait raison

Chers amis,

Je vous dois des excuses, car je vous ai fait un procès d'intention. Lorsque, au fil des derniers numéros de La Voix des Français, je lisais vos critiques acerbes de Nicolas Sarkozy, je trouvais que vous exagériez et je n'étais pas loin de penser que, de la sorte, vous visiez, en fait, à justifier l'existence de votre association. En effet, quelle serait la raison d'être de Voix des Français si les politiciens se mettaient soudain à faire leur travail ? Je considérais donc que vous étiez trop sévères avec le ministre de l'intérieur. Bien sur, lorsque vous avez rapporté ses déclarations raillant le principe même de l'immigration zéro, cela n'était pas agréable à mes oreilles. Cependant, je persistait à penser qu'il s'agissait de sa part d'une stratégie visant à désamorcer les conflits pour imposer l'essentiel. La découverte de sa loi sur l'immigration m'a ouvert les yeux. Vous aviez raison. Et j'avais tort. En conséquence de quoi, je vous renouvelle mon entier soutien sous la forme de ce modeste chèque, afin de vous aider dans votre action.

M.C.G. (Bordeaux, Gironde)


Faits divers ou faits de société ?

Cet été, au fil de mes déplacements - j'aime les vacances itinérantes - je me suis plongé dans la presse locale de trois différentes régions : Bretagne, Languedoc-Roussillon et Alsace. Mes pages de prédilection sont celles consascrées aux "faits divers". Mais l'aspect répétitif des événements traités (il s'agit presque invariablement de rixes et agressions provoquées par des "jeunes") m'amène à penser que le terme "faits divers" est inadapté : ce dont il s'agit, c'est d'un véritable fait de société, d'une tendance lourde, profonde et malheureusement fort occultée. Pour comprendre l'origine de ces troubles, il faut en effet savoir décrypter les euphémismes journalistiques politiquement corrects. Mais je crois que ce décryptage est maintenant à la portée du premier venu. En effet, qui croit encore que, dans les journaux, le terme "jeune" sert à désigner des personnes peu agées ?

M.O.D. (Boulogne, Haut-de-Seine


Affaire Cantat : le vrai visage d'un donneur de leçon.

En battant à mort sa compagne, le chanteur du groupe de rock Noir Désir a révélé à la France entière le vrai visage de ces "artistes" qui font profession de donner des leçons de morale aux Français : celui de la haine. Rappelons pour mémoire que le triste Cantat était notamment connu pour réclamer l'interdiction du FN ou pour donner des concerts contre la mairie de Vitrolles, du temps ou Madame Mégret en était le maire.

Madame Y.Q. (Marignane, Bouches du Rhône)

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