COURRIER DU NUMÉRO 59

COURRIER DU NUMÉRO 59
décembre 2003

Une Française écrasée par un chauffard estampillé "chance pour la France" attend toujours ses indemnités !

Le 21 novembre 2000, une épouvantable agression avait lieu contre un habitant de Samoy, attaqué au couteau par les occupants d'une Golf. Son épouse sort de chez elle et se fait littéralement broyer sous les roues du véhicule. Elle est paraplégique à vie. L'agresseur, Abdelatif, 20 ans, rentre tranquillement chez lui. Interpellé par la police, il maintiendra la thèse de l'accident, avant de crier, lors de sa garde à vue : " Vive la France en fauteuil roulant ".
Certes, l'agresseur a été condamné à 16 ans de réclusion, mais la victime, dont la vie est brisée, ainsi que celle de sa famille, n'a toujours pas perçu les indemnités prononcées par la justice. Voilà où nous en sommes : d'une part, un individu peut commettre une double agression qui est, comme le prouvent ses déclarations, un acte ouvertement anti­français, sans que celui-ci n'émeuve, en son temps, les autorités gouvernementales, elles qui se mobilisent si promptement et médiatiquement contre les "actes de racisme", du moment qu'ils sont commis contre des étrangers. D'autre part, la famille atteinte si tragiquement ne reçoit pas les indemnités décidées par la jus­tice. C'est vraiment un exemple tragique de l'abandon dans lequel les autorités instituées laissent les Français dans la plus grande détresse.

M. P.N. (Semoy, Loiret)


La délinquance est loin de s'arranger


Contrairement aux prévisions du ministre de l'Intérieur, la délinquance demeure préoccupante. Ce qui s'est passé à Fay-aux-Loges en témoigne, avec l'assassinat de Cyril, 20 ans, par le jeune Oualid, 19 ans, faisant partie d'un groupe de cinq "jeunes" qui ont agressé la victime. Comment ne pas remarquer que c'est un individu faisant partie des populations appelées par M. Stasi "une chance pour la France" qui se rend coupable de meurtre ? Il n'est pas possible de gommer ce fait, de mettre sous le boisseau cette évidence, dans le but d'être "politiquement correct" ! On peut parler de martyrologe en évoquant, en pensant à la triste et déjà longue cohorte de Français ainsi sacrifiés au soi-disant "devoir d'accueil", sans cesse caricaturé et utilisé comme prétexte à toutes les faiblesses.

M. P.G. (Fleury-les-Aubrais,Loiret)


Et maintenant des pouponnières à islamistes?

Je me permets d'attirer votre attention sur l'article suivant, paru dans le Figaro du 26 novembre, qui décrit l'apparition de pouponnières à islamistes, et démontre, s'il le fallait encore, la dérive communautariste qui s'empare de notre pays - je n'ose plus dire de "notre République".
En voici un court extrait:

"Les fondamentalistes musulmans tentent d'élargir leur influence : après l'aide aux devoirs, voici les crèches islamistes. Dans les Hauts-de-Seine, les services des renseignements généraux admettent en avoir repéré trois : une est située à Antony, une autre se constitue actuellement à Fontenay­aux-Roses, une troisième, à Gennevilliers, fonctionnerait de façon plus sporadique. [...] L'activité de ces centres clandestins est double : garde des jeunes enfants mais aussi, pour les plus grands, cours de soutien scolaire. Ces activités de soutien scolaire, pourtant, camoufleraient en fait des «cours coraniques». «Une pure activité d'endoctrinement», assure-t-on du côté des RG."

M. M.X. (Poissy,Yvelines)


Le mur du Turc

Je possède un terrain à bâtir en Saône-et-Loire, dont l'entretien me coûte très cher et que je n'ai pas réussi à vendre jusqu'à maintenant. Un candidat acheteur turc s'est présenté. Je l'ai éconduit poliment, mais fermement, car je refusais d'accepter un quelconque marchandage. Mais le plus intéressant est à venir : cet homme, qui avait six enfants, voulait, avec l'aide de ses sept frères, construire un mur tout autour des 1400 m2 de terrain pour que l'on ait pas vue sur sa famille et surtout pour que sa femme ne soit pas vue des voisins. Sans commentaire, n'est-ce pas ? Est-ce cela la "future France" ? Ou bien est-ce la "nouvelle Turquie" ?

M. A.F. (Mâcon, Saône-et-Loire)


L'islamisme à l'hôpital

La réalité de l'immigration et de l'islam commence à transparaître, même dans la presse du "système", comme en témoigne cet article paru, fin novembre, dans le "Nouvel Obs", magazine de prédilection de la gauche urbaine et friquée. L'article était titré "l'hôpital en proie aux intégrismes". Mais comme le montre l'extrait ci-dessous, c'est surtout de l'intégrisme musulman qu'il était question.

"Discriminations hommes-femmes, sexisme, intimidations conjugales... A Montreuil, médecins et infirmières sont parfois désenparés devant les nouvelles manifestations de radicalisme religieux.

Même à l'occasion de la mort de ce vieux chef tzigane, quand des centaines de gitans débarquèrent de toute l'Europe, il y a quelques mois, l'hôpital André-Grégoire de Montreuil avait su faire face à la situation. Sensibilisé aux cultures étrangères, cet établissement de Seine-Saint-Denis pourrait faire figure de modèle d'intégration réussie. "Mais avec le fanatisme, avoue la responsable de la communication, Jocelyne Chatron, on ne sait pas faire."

Depuis deux ou trois ans, nous voyons venir de plus en plus de femmes voilées et des voiles de plus en plus couvrants. Certaines portent même la burqa intégrale, des lunettes noires, des gants et accouchent cachées sous un drap, raconte Christine Picot, sage-femme et responsable de la maternité, où se concentrent la plupart des problèmes. Les maris qui les accompagnent disent qu'elles ne parlent pas français et répondent à leur place. Mais souvent, c'est faux. Leur demande est très claire : aucun homme ne doit approcher de leur épouse."(...)

Même si elles restent marginales (environ un cas difficile par mois), les scènes de violence, qui étaitent encore inexistantes il y a trois ans, semblent s'installer à l'hôpital. "N'approchez pas ma femme ou je vous tue" s'est entendu dire Kamel Rezig. "Une autre fois, un mari a brandi un couteau, s'opposant à la venue du gynécologue pourtant seul à pouvoir utiliser les forceps nécéssaires à l'accouchement de son enfant."

Edifiant, n'est-ce pas ?

M. C.D. (Paris)

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