COURRIER DU NUMÉRO 62

COURRIER DU NUMÉRO 62
mars 2004

Les faramineuses statistiques de M. Sarkozy

Il y a quelques jours, un ami m'a conté cette anecdote qui illustre le système de notre brillant Ministre de l'Intérieur.
Un jeune et brillant cadre d'entreprise est en divorce.
Le couple a eu un enfant. La mère, au terme des vacances scolaires et comme cela avait été convenu, vient reprendre l'enfant que le père avait gardé. La remise allait s'effectuer dans un lieu public quand, tout à coup, la mère fut prise d'une crise de nerfs. Le mari s'emploie à la maintenir et à la calmer. Quelques jours plus tard, le mari est convoqué dans un service de police pour y être entendu dans le cadre d'une affaire de coups et blessures volontaires. L'épouse s'était fait remettre un certificat médical, à la limite de la complaisance, prescrivant un arrêt total de travail de 2 jours et avait déposéplainte contre son mari. La qualité d'époux est une circonstance aggravante et le fait présumé est passible d'une peine de prison de 3 ans et d'une amende de 300.000 francs. Le mari, sûr de son droit, s'est naturellement présenté à la convocation. A son arrivée, un jeune officier lui a notifié une mesure de garde à vue. Mis à nu comme un ver, ses affaires ont été minutieusement fouillées et ses papiers inventoriés. Une fois de nouveau habillé, on lui a passé des menottes et enfin, il a pu être entendu. Une heure plus tard, il était remis en liberté. Etonné d'une telle pratique dans une société où l'on se gargarise avec les droits de l'homme, je me suis renseigné à une bonne source. En amont, m'a-t-on doctement expliqué, on dissuade les gens de déposer plainte. En aval, on multiplie les mesures de garde à vue. Ainsi on améliore sensiblement les statistiques que l'on livre au bon peuple. D'un côté le nombre des plaintes diminue, de l'autre le nombre des arrestations augmentent, même si elles ont lieu au service, ainsi que les faits élucidés. Voilà, le tour est joué. Pourquoi cette dépense inutile d'énergie, alors qu'il y a tant à faire pour rétablir l'ordre dans les quartiers dits de non-droit, ainsi que pour combattre ce fléau absolu qu'est l'immigration illégale?

Lucien R. (Montrouge - Hauts-de-Seine)


Ouelques données politico-économiques pour y voir clair...

L'Etat, et donc nous, pauvres "taillables et corvéables à merci" devrons désormais rembourser une dette publique de 1.000 milliards d'euros soit 16.000 euros par personne ! Et la RDS que l'on nous prélève ne concerne que les intérêts de la dette en question! A cette monstrueuse dette, il faut ajouter les déficits des entreprises publiques, des départements et des régions. Il faut également verser des allocations aux 4 millions de "sans travail fixe rémunéré", Une grande partie de l'impôt sur le revenu est absorbée par le coût de l'immigration. Il n'y a pas moins d'un déficit de 600.000 logements à loyer modéré. En toute irresponsabilité, nos autorités politiques ne songent pas un instant à contrôler les flux migratoires de plusieurs centaines de milliers de personnes par an. Malgré la situation économique et financière délicate de l'Europe des 15, dix nouveaux pays à faible niveau de vie vont les rejoindre. La Turquie, appuyée par les Etats-unis, cherche aussi à y entrer avec ses 70 millions d'habitants, qui seront 100 millions dans 30 à 40 ans... (son territoire est asisatique à 99 %). Depuis 1999, l'Union européenne examine avec bienveillance cette éventualité qui lui fera verser à Ankara 250 millions d'euros en 2004, 300 en 2005 et 500 en 2006... TOUT CECI POUR FAIRE COMBIEN DE MILLION DE MISÉREUX DERACINES SUPPLEMENTAIRES ?

Michel Sène et Jacques Célérier (lle-de-France)


Des raisons de désespérer...
ou de combattre!

Nous sommes une vieille civilisation qui grelotte, empétrée dans ses droits de l'homme. Nous venons d'exclure nos jeunes de la défense de leurs pays par démagogie électorale pour les remplacer par des " professionnels" recrutés en fermant les yeux parmi les échecs scolaires, les cas sociaux, etc. Attirés par le salaire, sans aucune motivation patriotique, ils remplissent nos régiments qui parfois n'ont pas encore atteint le niveau opérationnel qu'ils avaient su maintenir avec les soldats du contingent. Vous devez maintenant, par un discours plus tonique, attirer les jeunes qui vénèrent leur patrie, son histoire, ses conquêtes, ses traditions et la trace qu'elle a laissé dans le monde [...]. la bagarre est inévitable et nous allons mourir en respectant les droits de l'homme, juste après que nos petitsenfants soient devenus esclaves! les voyez-vous, même au plus profond de nos campagnes, voutés, abrutis par des musiques débiles, rendus sourds à 17 ans par la fréquentation des raves et autres technos, rassemblements où la drogue circule pour accompagner l'alcool. Ils sont mous, résignés, envahis par le complexe du racisme savamment entretenu par les enseignants, les médias, et les politiciens [...]. Nos monuments aux morts sont de plus en plus déserts lors des fêtes nationales, nos porte drapeaux s'accrochent désespérément à la hampe de leurs emblêmes sachant très bien que lorsqu'ils vont s'écrouler personne ne relèvera le drapeau. Nos églises sont occupées, nos rues accueillent des défilés hurlants avec des draeaux étrangers, des lieux de prières et d'endoctrinement se construisent et nous accetons mollement [...]. Recrutez des jeunes Français [...] fiers de leur culture. Il en reste. Sinon, nous sommes morts !
M. Bernard L. (Fontenay le Comte. 85)


Le vrai coût des soins médicaux aux étrangers

C'est à savoir : le Ministère de l'Economie et des Finances a obtenu que l'aide médicale d'Etat - soins accordés aux étrangers sans papiers - soit revue à la baisse en 2004. Mais les dépenses restent sous-évaluées. Pour 2002, 60 millions d'euros avaient été prévus. La facture a finalement atteint 400 millions. Alors que 223 millions d'euros étéaient budgétés dans la loi de finances pour 2003, Bercy évalue la dépense à 700 millions. En réalité, le coût dérape vers le milliard. Pour 2004, seuls 233 millions sont inscrits au budget. Édifiant, non?

Mme Xavière D. (Quimper - 29)


Les méthodes de talcul de l'INED et la cas d'école de Drancy

A en croire une récente étude de l'INED (Institut national d'études démographiques), 4,3 millions d'immigrés (dont près de la moitié origi naires de pays européens) résident en France métropolitaine tant et si bien que " l'immigration serait stable depuis 1975 ". Ce que l'étude ne précise pas, c'est, dans son calcul, elle comptabilise comme Français, les immigrés qui, étant nés en France, ont demandé et obtenu la nationalité française. Or, ces Français naturalisés ou nés en France de parents étrangers doivent être quand même assez nombreux. Si l'on en juge par le relevé intégral de l'état civil paru au journal municipal de Drancy (93) de la semaine du 4 au 17 février 2004, reproduit sur le site de notre confrère des" 4 vérités ". On est même en droit de penser qu'ils sont très nombreux. Voyez vousmêmes:

"NAISSANCES :
Aïssaoui Naoufel - Akuitse Serena - Alenlanno Jenna Arudsothy Thivjan - Ayik Umut - Azzemouri Imen Bachouche Leyna - Beddour Alès - Ben_Driouch Sarnia - Benkhetache Shahin - Benyahia Rayan - Berdji Yasmine - Boursier Lukas - Chandrakurnar Charmitha Chettout Nassim - Cuinet Rose - Dangno Aïstou - Dias Enzo - Ekoue Melissa - Fares Leckmen - Ghilas Amine - Guilbert Eva - Guney Farid - Kaddouri Dounia - Kebli Dam - Konate Djenaba - Ladire Dylan - Le Clair Camille - Lefki Tony - Mbela Bonioka Véronique - Mekhalfia Assyah - Menouny Ahlame - Metsoier Victor Navaratnam Nilojan - Nozadze Alexandra - Ouarab Ines - Panier Ismaël - Pereira Carla - Rabbouch Mohamed Rodrigues Damien - Rodrigues Théo. Sama EveLumane - Sarambounou Gaye - Schwenk Macéo Seghrouchni Myriam - Thiess Amandine Thiyagalingam Nithika - Toribio Oriana - Toure Bakary Uthayakumaran Samia - Vieira Da Silv8 Manon- Vins kubendran Pion a - Yomtob Dylan - Zodehougan Yanis

MARIAGES :
Aleksic Milan et Bacalnovic Jelena - Augier François et Lemonnier Stéphanie - Bakatoula Patrick et Massengo Nzoumba - Jusca Boukobza Hubert Hamdaoui Carole - Challal Redouane et Cosic Danijla - Dekkiche Djilali et Cousin Stéphanie - Jdaïa L'Hassan et Bourgeaux Maud - Jemah Saïd et Ben Aziza Sarnia Khellaf Allaoua et Servain Nadège - Roggenbock Didier et Megherbi Fatima - Saghroun Abdeltif et Azzeddine Hayet - Tmim Samuel et Moatti Johanr1é1 - Vannopen Denis et Khotari Najia - Ziane-Khodja Al11ar et Saoula Letticia - Ziata Hachemi et Ouhib Djamila."

M. Raymond L. (Versailles. 78)

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