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COURRIER DU NUMÉRO 69

Ramadan oblige...

Un ami vient de me faire part d'un fait qui ne laisse pas de m'inquiéter. Je vous laisse apprécier...Au collège Edmond Michelet, dans le XIXème arrondissement de Paris, où un de ses fils est scolarisé, sur un effectif de 850 élèves, il y en aurait quelque 340 qui ont annoncé leur intention de respecter le Ramadan...On peut observer que cela fait 40% de l'effectif, en plein Paris ! Le responsable des cuisines met un point d'honneur à "respecter la religion des musulmans tous les jours en proposant à ceux qui le souhaitent un steak haché à la place d'une côte de porc."
Le principal du collège explique que "les enseignants se montrent particulièrement vigilants pendant cette période pour la santé des collégiens". Pensez : "Certains donnent des signes de fatigue, éprouvent des maux de tête."
On peut voir ainsi que le phénomène, anecdotique il y a encore quelques années en France, est devenu un fait de société, porté, magnifié, exalté par des médias qui trouvent normal que l'on supprime le lundi de Pentecôte ! Il est remarquable aussi que le personnel de nos établissements en rajoute comme à plaisir, ce qui accompagne l'islamisation du pays plutôt que de la freiner. Que va devenir la France, lorsque l'on peut voir la proportion qu'atteignent les pratiques musulmanes dans nos écoles, soi-disant laïques, et le nombre d'élèves concernés !

M E. M. (Paris)

Et maintenant, un dictionnaire du "Ziva"...

Encore un signe de plus de l'entreprise multiforme de démolition de tout ce qui fait encore la France. Je viens de lire une information relatant la création d'un "dictionnaire littéraire du langage des cités". Qui est l'auteur de cet ouvrage ? Tout bonnement un professeur de droit et d'économie d'un lycée de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Loin de chercher à corriger le sabir, les fautes de français et les gros mots de ses éléves, il ne leur a pas appris la langue française. Il a "coordonné" le travail de 250 "jeunes" de son lycée afin de traduire le français classique en français des cités ( si l'on peut qualifier ce langage de français !). Autrement dit, la démarche de ce professeur suit le cheminement, l'attitude tellement commune de l'aplatissement devant les dits "jeunes", On peut remarquer encore le nombre considérable des élèves concernés, ce qui donne une fois de plus l'occasion de constater la proportion grandissante d'enfants issus de l'immigration dans les écoles. Quelques mots :
Hach, hachua (n.f.), honte, Syn : lahchouma.
Leur, leurleur (n.m.), contrôleur de la RATP ou de la SNCF. Syn : rapace. ( ! )... Les contrôleurs en question peuvent être contents !
Le premier but de "l'expérience", selon son initiateur, est d'apporter à ces "jeunes" le " goût de la langue ". En la massacrant ?

M. Y. N. Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne)

Carte postale de Copenhague

Je vous transmets, une photographie prise à Copenhague qui apprendra à vos lecteurs que nos amis danois ne sont pas en reste pour faire campagne contre l'adhésion de la Turquie à l'Union éuropéenne.

M. A. KLEIN Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)

Ne pas baisser les bras

Un ami me disait récemment que cela ne servait à rien de faire campagne contre la Turquie parce que de toute façon Chirac était pour et qu'il se moquerait de l'avis des Français. Que notre Président bafoue la démocratie en prenant des décisions contraires à la volonté populaire est difficilement contestable et peu surprenant : si les politiciens actuels suivaient l'avis du peuple, l'immigration serait arrêtée, les impôts réduits, la peine de mort rétablie pour les criminels les plus dangereux etc. Mais est-ce une raison pour baisser les bras ? Certainement pas ! Je constate que 67 % des Français partagent notre avis sur l'adhésion de la Turquie. Quand le décalage est tel entre les gouvernants et les gouvernés, eh bien l'histoire nous enseigne qu'il finit toujours par provoquer des bouleversements politiques. Il ne faut donc pas baisser les bras, mais accentuer notre effort. La victoire est plus proche qu'on ne le croit.

M. R. Z. Marseille (Bouches-du-Rhône)