COURRIER DU NUMÉRO 83

COURRIER DU NUMÉRO 83
Avril 2006


Racisme antifrançais : l’hypocrisie des associations dites “antiracistes”

C’est le 16 mai 1992 que Philippe Méric, 28 ans, père d’une petite fille de 6 mois, se faisait massacrer à coups de poings et de pieds à la station de métro Charles de Gaulle, par une bande de sauvages, correctement appelés "jeunes". Il avait eu la malheureuse idée de vouloir protéger une fille qui se faisait tabasser sur le quai. Aucune association "antiraciste" ne s’est manifestée…
Le 27 octobre, c’est au tour de Jean-Claude Irvoas, 56 ans, d’être assassiné de la même manière, pour ne pas avoir voulu donner son appareil photo à des "jeunes". À nouveau, aucune manifestation des "antiracistes"» auto-proclamés…
En réalité, ces deux victimes avaient le tort d’êtres blancs et surtout Français […]

J.C. – Paris (75)


Bouteflika et l’honneur perdu du gouvernement

Le 17 avril, Bouteflika, le tyran sanglant d’Alger, se permettait une énième insulte envers la France et les Français, accusés de « génocide de l’identité algérienne » lors de la colonisation.
Sans parler de l’inanité de tels propos, totalement dénués de sens (l’Algérie n’existait aucunement en 1830, quand nous avons mis fin aux méfaits barbaresques en nous emparant d’Alger !), il est invraisemblable que, quelques jours plus tard, notre gouvernement ait permis à ce triste personnage de venir se faire soigner - sans doute aux frais du contribuable génocideur - dans notre pays.
Et pas n’importe où ! Au Val de Grâce, c’est-àdire dans le plus prestigieux des hôpitaux de notre armée, celle-là même qui, à en croire le complice des crimes du FLN (lesquels, eux, ne sont pas imaginaires), serait coupable des plus abominables exactions qu’on puisse imaginer contre le « peuple algérien » !
Comment se fait-il que nous en soyons arrivés si bas que, non contents de se laisser diffamer par un dictateur sans scrupule, nous puissions, dans la foulée, lui octroyer notre hospitalité et les bénéfices de notre système de santé ? Nos gouvernants n’ont-ils plus une once de fierté ? Et si ce n’est pour euxmêmes, au moins pour la France, et singulièrement les Pieds- Noirs et les Harkis, victimes physiques et morales de Bouteflika le fellouze ?

Jean-Claude M. - Perpignan (66)


Une lettre de Jean Pierron,
Président de la Fédération Inter-Régionales d’Associations d’Anciens Combattants et Victimes de Guerre Rhône-Alpes-Provence

Avec courage et convictions affirmées, nos aînés, en 1944-1945 et en Indochine, nous avaient montré le chemin de l’abnégation et de la dignité, afin de défendre le territoire national et cette lointaine terre d’Extrême-Orient. Avec la même dignité, et dans l’honneur encore, nous essayons de sauver du naufrage programmé cette vieille France, avec ses pages de gloire et de souffrance, de trahisons aussi, que nous ont léguée nos Anciens.
Avec cette solidarité, qui doit encore et toujours nous unir, comme au combat, nous refusons de croire que tout est perdu parce que des politiciens sans états d’âme et peu vertueux, idéologues sans courage, ont décidé de brader, et notre drapeau et notre patrie, à la vindicte de ses contempteurs qui fustigent encore et toujours les meilleurs de nos chefs.
Ainsi, la Ministre de la Défense, aux ordres venant d’en haut, a trouvé un nouveau mode de recrutement afin de combler le déficit de cadres et de militaires du rang. Disons-le bien haut : nous sommes inquiets quant à l’efficacité de cette initiative, propre à faire hésiter tout candidat à porter l’uniforme. C’est la sanction inique, avec tout le battage médiatique que l’on connaît, à l’encontre du général Poncet, alors commandant de nos forces en Côte d’Ivoire.
Ceux d’entre nous qui ont connu ces guerres révolutionnaires et subversives savent combien il est difficile de rester impassible, face aux cris de haine, aux injures et aux crachats des « vis-à-vis », qui, connaissant bien leurs « droits », ironisant sur leurs devoirs, se savent par ailleurs soutenus par des idéologues subversifs et influents.
Alors ? Règlements de comptes ? Désir de nuire à la France, d’écoeurer ceux qui ont encore la fibre patriotique ? Toujours est-il que l’honneur du chef, qui a « couvert » avec courage ses subordonnés, est douloureusement remis en cause avec l’appui médiatique d’une Presse tout acquise à l’insubordination, à l’objectivité subjective et… sélective ! La vie d’un violeur et assassin vaut mieux que la dignité d’un général.
Nous savons, par expérience, qu’une guerre n’est jamais propre, qu’il y a de sales boulots dont les politiciens se lavent les mains ! Souvenons-nous aussi des propos d’un certain Jacques Duclos, en 1950 : « Travaillez à la défaite de l’Armée française partout où elle se bat » !
Cette philosophie marxiste est toujours d’actualité. C’est la déliquescence d’une France communautariste. Soyons lucides, réveillons-nous, camarades !

Jean Pierron
(Fédération Inter-Régionales d’Associations d’Anciens Combattants et Victimes de Guerre Rhône-Alpes-Provence - Tél. : 04 75 93 40 43)



Islamisation et rillettes

380.000 euros ! C’est la somme qu’aura fait débourser aux contribuables manceaux le maire socialiste du Mans, Jean- Claude Boulard, pour mettre en place un abattoir géant afin de permettre aux musulmans de sacrifier leurs agneaux pour la “fête” de l’Aïd el Kébir.
Et bien que, divine surprise, le tribunal administratif ait condamné cette délibération au nom de la loi de 1905, l’édile islamophile persiste et signe en estimant qu’il s’agit ici d’une subvention… « culturelle » ! En effet, pour lui, cette archaïque manifestation islamique est « l'équivalent de Noël, fêté aussi par les musulmans non pratiquants » !!!
Outre que je n’ai jamais entendu parler de musulmans fêtant la naissance du Christ, il me semble que si le côté « culturel » de Noël peut être justifié dans notre pays de tradition chrétienne, il n’en va pas de même pour les rites d’une religion exogène qui ne s’impose que par l’invasion récente de notre espace social par des masses étrangères, précisément, à notre culture, et qui tentent d’imposer leur mode de vie par la force.
Boulard a fait appel ; souhaitons que les juges de second degré aient autant de courage qu’en première instance et rappellent à ce triste sire que nos impôts ne doivent pas servir à l’islamisation de la patrie des… rillettes de porcs !

François P. - Allonnes (72)


L’immigration, le clergé français et la leçon du cardinal Biffi

Les évêques de France sont vraiment de curieux bergers ! Silencieux alors que des églises brûlent sur notre sol par le fait de la haine anti-chrétienne, alors que l’islamisme déferle en France, alors que les principes catholiques sont quotidiennement bafoués par des gouvernants qui ne cessent de nier ou détruire notre héritage chrétien, nos éminences n’ont rien trouvé de mieux que d’user leur énergie à combattre le projet de loi de Nicolas Sarkozy sur l’immigration… Alors même que ce texte est des plus laxistes et créera un nouvel appel d’air en matière d’immigration, les évêques s’alignent sur l’extrême gauche pour le dénoncer…
À ces mauvais bergers, et aux catholiques tentés de les suivre, il faut inlassablement rappeler ce que le cardinal Giacomo Biffi, achevêque de Bologne, écrivait, voici quelques années, dans une lettre adressée au gouvernement italien :
"Le droit à l'invasion n'existe pas… Rien n'interdit à l'État italien de gérer l'immigration de manière à sauvegarder son identité nationale… Si vous voulez travailler pour le plus grand bien de l'Italie et l'épargner de beaucoup de souffrances, vous devez empêcher ces immigrants de pénétrer dans le pays.”

Philippine L. - Toulon (83)

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