COURRIER DU NUMÉRO 89

COURRIER DU NUMÉRO 89
Décembre 2006


Noël hors la loi : et l’on ose encore parler d’intégration !

Se sentant désormais en position de force, je constate qu’un certain nombre d’activistes musulmans s’enhardissent de plus en plus. Après avoir revendiqué et obtenu toujours plus de mosquées et de salles de prières, voilà qu’ils s’offusquent que Noël soit célébré en France dans les lieux publics comme les entreprises, les mairies ou les écoles. Alors qu’ils son totalement étrangers aux principes de laïcité, les voilà qui s’en prévalent cependant pour combattre nos traditions religieuses ! J’espère que les Français, même si beaucoup ne croient plus en rien, auront à coeur de défendre leurs traditions séculaires. La Nativité fait partie intégrante de notre culture et de notre civilisation, l’assimilation passe aussi par l’acceptation de nos moeurs et de nos coutumes. Si notre mode de vie les révulse et semble contraire à leur croyance, qu’ils s’en aillent ! Et bon vent ! Mais ce qui me paraît plus grave encore, c’est l’attitude totalement ahurissante des Français qui se couchent devant ces diktats. Comment accepter, par exemple, que Martine Aubry ait décidé d’interdire la traditionnelle crèche dans le village de Noël qui se tient chaque année sur la grandplace de Lille ? Je suis littéralement abasourdie par la lâcheté de nos prétendues élites.

Stéphanie B. (Cambrai, 59)


Montbéliard, Belfort… L’islamisation de la France est en marche

La municipalité de Montbéliard a annoncé que, dans un « esprit de tolérance », une mosquée allait être construite dans la cité des princes, près de la piscine municipale. À l’évidence, seul un bouleversement, que j’appelle de mes voeux, lors des futures élections municipales, pourrait faire annuler cette décision funeste. Je dénonce l’islamisation de mon pays avec la complicité de nos élus du conseil municipal. Jamais je n’aurais imaginé qu’un minaret se dresse un jour dans le ciel de mon beau pays de Montbéliard. On parle également de construire une mosquée au pied de la forteresse Vauban de Belfort. Je suis très inquiet pour mes petits-enfants, quelle France allons nous leur léguer ?

Jean R. (Montbéliard, 25)


Quand donc la justice se souciera-t-elle de la souffrance des victimes ?

La justice a récemment rendu son verdict dans l’affaire Mohamed Kamli. Pour ceux qui ne se le rappelleraient pas, Mohamed Kamli est cet individu qui, après avoir volé une ambulance à des pompiers en pleine intervention (mettant déjà peut-être en danger la personne qui était secourue) a ensuite écrasé 4 fillettes qui marchaient tranquillement sur un trottoir, alors qu’elles rentraient de l’école. Traînée sur 100 mètres, l’une des enfants est morte. Une autre est désormais gravement handicapée. C’est aussi un misérable lâche qui, au lieu de venir secourir les pauvres petites victimes, s’est enfui et a passé la frontière pour se réfugier en Belgique. Eh bien, cet assassin - je ne vois pas d’autre mot - n’a, au terme du procès, été condamné qu’à 5 ans de prison ! Autant dire rien, puisque, pour peu qu’il se tienne à peu près à carreau, il bénéficiera d’une sortie anticipée pour bonne conduite, avant de bénéficier bien sûr d’un contrat de réinsertion et d’aides en tout genre… Ces fillettes auraient pu être mes enfants. Des Mohamed Kamli, délinquants sûrs de leur impunité, j’en croise tous les jours dans ma ville. Je suis pour le rétablissement de la fameuse« double peine » : une fois purgée sa trop courte peine de prison, ce monsieur n’a plus rien a faire chez nous ! Qu’il rentre d’où il n’aurait jamais dû partir ! On nous parle toujours de l’utilité des peines exemplaires, mais elles sont sans doute réservées aux supporters de football.

Nicole M. (Thionville, 57)



Préférence étrangère

Pouvez vous m’expliquez comment est-il possible que des étrangers en situation irrégulière aient droit à l’Aide médicale de l'Etat (AME) pour eux-mêmes et les personnes à leurcharge ? C’est une de nombreuses aberrations de notre système, un des éléments qui expliquent aussi le flux migratoire permanent et que notre dette devienne abyssale. Il faut le rappeler à vos lecteurs : l’AME, mise en place, voici six ans, par Bernard Kouchner et Martine Aubry, ouvre droit à la prise en charge à 100 % des soins médicaux et du forfait hospitalier, avec dispense d’avance de frais. Pour ma part, je suis salarié dans une PME. La complémentaire santé me coûte une fortune pour m’assurer ainsi que ma famille et pourtant je suis très mal remboursé, que ce soit pour les dents, les lunettes ou les visites chez les spécialistes. Si j’étais clandestin, l’AME subviendrait à tous mes besoins sans bourse délier. Une enquête de l’Assemblée Nationale a constaté des coûts moyens de 8000 euros par malade dans la région parisienne. Des sommes bien supérieures à la dépense moyenne d'un assuré du régime général, qui est de l'ordre de 1.500 euros ou bien même d'un bénéficiaire de la CMU qui est de 2.000 euros. Enfin, au totale, cet aide inique coûte à l’État près de 800 millions d’euros cette année.

Yves-Marie C. (Vincennes, 94)



Le préfet de Paris est-il chargé de faire respecter la charia ou la loi française ?

L’association Solidarité Des Français qui, depuis plusieurs années, distribue une soupe au cochon au profit des SDF de la capitale est en butte à un véritablement harcèlement de la part des autorités. Ainsi, tout récemment encore, le préfet de Paris a interdit par arrêté la distribution de la soupe aux SDF, au motif que « la présence de porc dans la soupe constitue un message implicite de discrimination ». Et pourquoi ne pas appeler à la fermeture de toutes les charcuteries parisiennes, pendant qu’il y est ? Doit-on rappeler au préfet que la France n’est pas encore une république islamique et que la charia n’est pas encore imposée sur notre sol. Et, à propos, qu'en pense son ministre de tutelle, Nicolas Sarkozy ? Pour justifier le financement public de l’islam, le ministre de l’Intérieur dit que cela permettra de former des imams respectueux de la loi française… Mais comment le croire, alors que le préfet de Paris impose la charia aux associations caritatives françaises ?

Bénédicte T. (Paris, 75)


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