COURRIER DU NUMÉRO 90

COURRIER DU NUMÉRO 90
Janvier 2007


Samy Nacery : la vraie vie, ce n’est pas du cinéma !

L’acteur Samy Naceri, qui a donné à la France prétendument raciste, des leçons d’histoire et de morale, lors de la sortie de l’indigeste film Indigènes [NDLR : film qui revenait de manière caricaturale sur le rôle des combattants nord-africains de la Seconde Guerre mondiale.] devrait d’abord balayer devant sa porte : il passera en jugement pour insultes racistes et violences avec armes le 8 février prochain. Si l’on en croit la presse, refusé, le 4 janvier dernier, à l’entrée d’une boîte de nuit où il se présentait ivre mort, il aurait menacé un vigile avec un couteau, tout en le traitant de « sale nègre »…

Nicole M. (Thionville, 57)


Ségolène aime la “mixité sociale”, mais pas de trop près !

François Florent, fondateur du célèbre Cours Florent, où vont étudier les apprentis comédiens, vient de faire une sacrée révélation à propos de Ségolène Royal. Je cite l’homme de théâtre : « Un samedi après-midi, une voiture avec chauffeur s’arrête devant nos locaux. Une maman, accompagnée de son enfant, en descend, demande à l’inscrire : “Vos premières années sont bien quai d’Anjou, dans le IVe arrondissement ?” - Non Madame, les cours sont ici. Réponse de Ségolène : “Alors je ne peux pas inscrire mon fils” ».
Moi, je vis dans le XIXe depuis dix ans. C’est vrai que le quartier est devenu dangereux notamment parce que de nombreux voyous d’origine étrangère s’y livrent à de fréquentes exactions. Je suis bien obligée de supporter cela, car je n’ai pas les moyens de vivre dans les beaux quartiers. Quant à Madame Royal, qui ne manque jamais une occasion de dire combien elle aime ce qu’elle appelle « la mixité sociale », elle ferait bien de mettre ses actes en accord avec ses discours.
Pierrette M. (Paris, 75)


Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es !

Dans la nuit du 6 au 7 janvier, Doc Gynéco, le rappeur, qui sortait d'une soirée trop arrosée au « rhum vieux », a percuté, en scooter, le taxi qu'il suivait et dans lequel se trouvait son amie, l'écrivain Christine Angot. Le contrôle d'alcoolémie effectué sur place a révélé une dose d'alcool trois fois supérieure au maximum autorisé. Le rappeur a passé la nuit en cellule de dégrisement au commissariat du Ier arrondissement. Il en a profité pour menacer les policiers de parler d’eux à son ami « Nicolas » ! Outre ses textes de chansons virulemment antiblancs, ses apologies du « sacrifice de poulets » et un récent film pornographique (In bed with Doc Gynéco), l’« artiste » commettra bientôt un livre d’entretiens avec… Nicolas Sarkozy, intitulé Les grands esprits se rencontrent, et sous-titré, « une amitié au service de la France » (sic). Il y explique les raisons de son soutien à Sarkozy pour la présidentielle. Comment faire confiance au candidat de l’UMP s’il a de tels amis ?

Jean V. (Calais, 62)



Laxisme migratoire : un haut fonctionnaire brise les tabous !

Je tenais à vous signaler la parution d’un excellent livre politiquement incorrect intitulé “Immigration : sortir du chaos” (Flammarion, 214 pages, 15 euros), de Maxime Tandonnet. Spécialiste des politiques d’immigration et haut fonctionnaire au ministère de l’Intérieur, l’auteur part du constat que « les flux de personnes ont radicalement changé de nature à partir des années 1980 : c’est une immigration de chômage et de précarité qui prévaut désormais». Sans s’énerver et sans polémique, il dresse un état des lieux accablant.

Des chiffres alarmants
Des chiffres ? 200.000 étrangers s’installent en France chaque année, compte non tenu des immigrés illégaux : « deux fois plus que le chiffre de l’Insee » ! Le surpeuplement des foyers d’immigrés s’aggrave chaque année : il y a 150.000 locataires pour 135.000 places.
20.000, cela pourrait être votre chiffre du mois : ce sont les chambres d’hôtel louées chaque année pour loger des immigrés en situation irrégulière. Ceci aux frais du contribuable ! C’est inacceptable ! Mais ce n’est pas tout !
Voulez-vous des sujets tabous ? Les squatts où s’entassent des milliers d’immigrés, dans des conditions sanitaires déplorables. Mais M. Tandonnet nous explique surtout ce qui se passe en coulisses : « Ces squatts sont devenus progressivement l’objet de trafics organisés, et ils sont identifiés comme source de revenus occultes pour leurs organisateurs qui n’hésitent plus à faire appel à la violence pour s’emparer des biens. » Ainsi, les immigrés exploitent d’autres immigrés moins bien lotis. Selon lui, les occupants sont « majoritairement des Africains originaires de l’Afrique subsaharienne francophone (…) Ils représentent, suivant les départements, entre 70 et 85 % des squatteurs recensés ».

Squatts, trafics et magouilles
Un sujet qui fâche ? Ces immigrés illégaux importent des moeurs et des coutumes interdites en France, comme l’excision des jeunes filles, la répudiation et la polygamie. Cette pratique matrimoniale débouche d’ailleurs sur un trafic en plusieurs étapes : d’abord, l’arrivée en France du chef de famille résidant en foyer ou en structure d’hébergement. Ensuite, ce dernier fait venir une à une ses épouses, en les installant plus ou moins légalement dans le parc privé ou en hébergement. « Cette solution est ensuite abandonnée au profit du squatt après la naissance d’enfants » en raison de l’exiguïté du logement, de son insalubrité, ou du coût du loyer. Les femmes obtiennent de nombreuses et subséquentes aides pour les « parents isolés », « secours exceptionnels » à répétition, allocations familiales et tout l’arsenal de mesures sociales, que le mari récupère partiellement en fin de mois lors d’une tournée des « popotes » !
Pour occuper un squatt, des organisations criminelles composées d’immigrés procèdent à l’infraction initiale. Elles ouvrent ensuite la porte aux familles qui paient un « loyer » de 100 à 200 euros par mois.
Maxime Tandonnet estime que ces « ghettos de ghettos », donneront, vers 2015, une génération de jeunes immigrés - ou Français d’origine immigrée - révoltés, nihilistes et enragés. Devraient s’ensuivre des manifestations auprès desquelles « les violences de 2005 apparaîtront comme des soubresauts mineurs ». Quel politicien pourra tenter d’enrayer une telle évolution ?

Philippe L. (Nantes, 44)


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