COURRIER DU NUMÉRO 94

COURRIER DU NUMÉRO 94
mai-juin 2007


Une magistrate refuse d'accorder le divorce à une femme battue par son mari car… le Coran ne condamne pas les mauvais traitements entre époux !

J’ai lu, le 22 mars dernier, sur le site d’actualités de Google, une information révélatrice de l’emprise de l’islam sur notre société soi-disant laïque. Jugez plutôt : originaire du Maroc, mais née et élevée en Allemagne, dont elle a la citoyenneté, une jeune femme de 26 ans, mère de deux enfants, est battue par son mari, Marocain lui aussi. La jeune femme demande le divorce... qui lui est refusé, le 12 janvier 2007, par une juge d’extrême gauche du tribunal de Francfort. Motif ? Le Coran. Selon elle, « dans la mesure où les époux proviennent tous les deux de milieux marocains, il convient de constater que l'exercice du droit au châtiment (par le mari) ne permet pas d'invoquer une rudesse excessive telle que prévue à l'article 1565 du Code civil allemand. » Sa conclusion, pleine de bon sens par ailleurs, est inacceptable dans une affaire judiciaire : « La plaignante devait s'y attendre en convolant avec un Marocain. » La juge argumente : « Dans sa quatrième sourate sur les femmes, le Coran stipule en effet que “vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance (et) vous les battrez” ». L'affaire ayant fait des vagues, la juge a été dessaisie du dossier. Nous vivons dans un monde incroyablement complaisant à l’égard de l’islam : même les féministes et les laïcards se couchent devant un homme qui bat sa femme, pourvu qu’il soit musulman ou immigré. Jusqu’où va le « respect des différences » ? Sur Internet, on trouve que les « crimes d’honneur » visant des femmes immigrées soucieuses de s’assimiler à la société allemande ont fait plus de cinquante morts déclarés en dix ans. Et combien en France ?

Valérie B. (75, Paris)


L’Europe favorise l’immigration et entrave les justices nationales

Tant que nous serons à ce point inféodés à l’Union européenne, peu importe ce que décideront les peuples souverains et leurs dirigeants : notre politique d’immigration ne nous regarde plus ! Figurez-vous que les demandeurs d'asile maintenus dans la zone d'attente de l'aéroport de Roissy ont commencé à être remis en liberté début mai « en vertu d'un arrêt de la Cour européenne des Droits de l'Homme », selon la presse de gauche qui semblait s’en réjouir ! Dans une décision du 26 avril, la CEDH a condamné la France « pour les défaillances dans la procédure d'asile à la frontière ». De manière ahurissante, c'est un immigré illégal, Daniel Gebremedhin, journaliste érythréen de son état, qui est à l'origine de cette décision. Menacé de renvoi dans son pays en juillet 2005, car il n’avait pas été autorisé à pénétrer sur le territoire français, il a osé se plaindre d’avoir « dû attendre un mois que la justice française examine et rejette toutes ses demandes ». La CEDH, saisie en urgence, s'était déjà opposée à son renvoi. Depuis, les juges des libertés et de la détention (JLD) du tribunal de grande instance de Bobigny, qui sont responsables de la zone d'attente de l'aéroport de Roissy, remettent en liberté une grande partie des étrangers présentés devant eux. Autant vous dire que les associations de protection des immigrés illégaux sont contentes ! Dire qu’il y a des gens pour croire que Nicolas Sarkozy tiendra ses promesses de lutte contre l’immigration : le voudrait-il vraiment, qu’il ne le pourrait pas !

Patrick V. (Nancy, 54)


La gauche pleure un assassin immigré

Le 6 mai, à Toulon, 500 personnes, réunies à l’initiative d’associations gauchistes favorables aux immigrés, ont fait une « marche silencieuse à la mémoire de Louis Mendy, 33 ans, assassiné (sic) par la BAC (Brigade anticriminalité) ». Toute la presse locale, plutôt favorable à M. Mendy, s’est répandue sur ce fait divers. Chacun verse sa larme, car cet individu, originaire du Sénégal, était entraîneur de football, en catégories « poussins », du club de Toulon... Ses défenseurs oublient généralement de signaler que M. Mendy a été abattu… alors qu’il tentait d’assassiner le directeur de son club à coup de couteau ! De même, la presse n’a que rarement mentionné le fait que cet immigré n’a pas répondu aux diverses sommations, dont une accompagnée d’un coup de feu en l’air. En fait, le policier n’a tiré que lorsque Mendy a tenté de poignarder sa victime. Cette dernière n’a, comme de bien entendu, pas eu droit à un mot de compassion. Quant au policier, pourtant couvert par sa hiérarchie et la justice, inutile de demander. Pourtant, pense-t-on qu’il est rentré chez lui, le soir, pour boire un pastis et préparer le barbecue dans la joie et la bonne humeur ? Jusqu’à la fin de ses jours, cet homme demeurera traumatisé. Sa famille aura peut-être à en souffrir. Par ricochet, l’immigré est responsable de cet autre drame. Louis Mendy ne méritait pas une marche silencieuse. C’est la victime et le courageux policier qui méritaient le soutien de tous. Notre monde marche sur la tête.

Richard B. (Toulon, 83)


Les immigrés illégaux libres de manifester

Je me promenais à la veille du premier tour du côté de la Bastille, à Paris, lorsqu’un être hirsute et crasseux m’a accostée pour me donner un tract et me demander de l’argent pour la cause des immigrés en situation illégale. Des dizaines d’entre eux, déguisés en ouvriers, ou couverts de haillons multicolores, jouaient du tam-tam et braillaient, avec un accent qui n’appartient qu’à eux, des slogans tels que : « De Sarkozy, y'en a marre. De Villepin, y'en a marre, de Chirac, y’en a marre, de l'UMP, y'en a marre. » Plus loin, d’autres agitaient des pancartes vindicatives. Refusant de donner mon argent et de garder le tract, je me suis fait traiter de de chienne et de s… par le clochard trotskiste. Le soir, au journal local, un certain Jean-Claude Amara, apparemment d’origine immigrée, porte-parole de « Droits devant », déclarait tranquillement : « Notre message s'adresse au futur gouvernement. S'il ne prend pas la décision de régulariser tous les sans-papiers, il aura des sanspapiers sur son paillasson pendant tout le quinquennat (…). Les sans-papiers sont les boucs émissaires de la répression et de l'exploitation. Une régularisation globale remettrait les compteurs à zéro. » Mais que ne rentre-t-il chez lui pour s’épargner de tels mauvais traitements ? Le journaliste a conclu : « Les manifestants avaient souhaité "prendre la Bastille" et y installer symboliquement un "QG de campagne". Ils en ont été dissuadés par les forces de l'ordre. » Pour quelle obscure raison, les policiers, qui avaient sous leurs yeux un ramassis d’immigrés illégaux, ne les ont-ils pas « coffrés » pour les expulser, conformément à la loi ? Pourquoi ne pas – au moins – leur infliger une amende, et inculper les Français qui les assistent ? Aucun Français « normal » ne peut enfreindre la loi sans être sanctionné. Pourquoi cette discrimination ?

Magali H. (75, Paris)


Viols de policières par des immigrés : la presse au service de la désinformation !

Quatre jours après le premier tour de la présidentielle, je lis, dans Le Figaro du 30 avril, un article détaillé sur le viol d’une femme policier : « La jeune femme de 28 ans (...) regagne son domicile en tenue civile. Elle est soudain agressée par un homme qui l'entraîne dans un bosquet. (...) L'homme, dont elle pense qu'il tenait un couteau dans ses mains, la viole avant de disparaître. Entendue par les policiers du service départemental de police judiciaire, la victime décrit un homme noir, sentant l'alcool, très grand (environ 1,95 mètre) et mince. Rien ne permettait d'identifier le statut de policier de la jeune femme au moment du viol, mais son agresseur lui aurait glissé : “Je sais où tu tafes (travailles)“. Une phrase qui pourrait laisser penser que l'inconnu a repéré sa cible avant de s'en prendre à elle. » Jusque-là, j’approuve que mon quotidien fasse état de ce crime ignoble et – surtout – ose donner le signalement du violeur, ce qu’aucun autre journal ne fera… à quelques jours du second tour, cela causerait du tort à Ségolène Royal. Mais en poursuivant ma lecture, je comprends que Le Figaro lui aussi tente de nous manipuler : « Cette agression est d'autant plus inquiétante qu'elle survient six semaines après un viol de policière survenu à quelques mètres de là. Le 18 mars dernier, vers 22 heures, une gardienne de la paix de 31 ans, en tenue civile, venait de quitter [son travail] quand elle a été agressée par un inconnu. Ce dernier l'a entraîné sous un porche d'immeuble avant de la violer et de disparaître. (...) La gardienne de la paix avait cette fois dressé le portrait d'un homme noir d'environ 1,70 mètre et très athlétique. » L’ennui, c’est que, abonnée de longue date au Figaro, je ne trouve nulle part mention du premier crime aux environs du 18 mars. Pourquoi ? La réponse est simple : il est évident qu’à une semaine du second tour opposant Sarkozy à Royal, la médiatisation du viol d’une jeune femme policière par un criminel immigré ne pouvait que profiter au candidat UMP, tandis qu’à une semaine du premier tour, la médiatisation du premier crime aurait certainement profité à Jean-Marie Le Pen, au détriment de Sarkozy. Il fallait donc l’étouffer ! Le Figaro se moque bien que des noirs violent des policières. Ce qui compte, c’est que le martyre de ces pauvres femmes profite au candidat UMP et pas à la vraie droite.

Céline J. (Paris, 75)

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