COURRIER DU NUMÉRO 96

COURRIER DU NUMÉRO 96
septembre 2007


Le chanteur Cheb Mami est recherché pour séquestration et violences volontaires.

Si l‘on en croit les horribles révélations du Figaro du 19 mai 2007, après le chanteur de raï Khaled, qui battait sa femme et fut condamné pour cela, voilà que c’est au tour de celui que les médias appelaient le « prince du raï », Cheb Mami, d’être mêlé à des histoires sordides ! On nous a raconté des bobards avec ses chansons mielleuses, mais le sinistre personnage, qui s’appelle en réalité Mohamed Khelifati, est visiblement recherché par Interpol et la police judiciaire française pour « violence volontaire, séquestration et menace » !
Selon Le Figaro, l’histoire débute en 2005. Noémie, sa compagne, une photographe, certainement « bobo » de gauche, est engrossée par l’immigré. N’ayant pas besoin de carte de séjour, ce dernier exige l’avortement ! La femme refuse. Invitée à un concert en Algérie, la photographe est droguée durant la soirée. Je cite Le Figaro : « Elle se réveille au rez-de-chaussée d'une ancienne ambassade, demeure de Cheb Mami. Là, allongée de force, elle aurait été frappée au ventre une nuit entière par trois femmes qui tentent de procéder à un avortement forcé. Les conditions sont épouvantables. Au petit matin, la future maman, pantelante et ensanglantée, est jetée dans un taxi. De retour à Paris, Noémie, apprend que le foetus est viable. Cheb Mami lui aurait offert plus 25.000 euros de dédommagement pour qu'elle taise son calvaire et tue son futur bébé. Noémie, qui accouche en mars 2006 d'une fille, ne lâche pas. La P.J. de Seine-Saint-Denis dispose d'un enregistrement accablant du chanteur hurlant à sa maîtresse : “Tu n'as plus de bébé : le sang, je l'ai vu. C'était comme un morceau de foie.“ » Dans Le Figaro, on apprenait que Cheb Mami a été interpellé en France en octobre 2006, puis remis en liberté surveillée en février 2007. Il en a profité pour se « faire la belle » en Algérie, son pays d’origine, ignorant évidemment les naïves convocations de la justice française. Le chanteur de raï, étant un « protégé » du président Abdelaziz Bouteflika, il ne sera sûrement jamais extradé.
L’histoire illustre en tout cas qu’il ne faut pas céder aux sirènes du métissage obligatoire, même si la punition fut terrible pour cette pauvre femme, victime du bourrage de crâne ambiant autant que d’un homme qui, pour être une célébrité, n’en est pas moins un immigré, avec une vision de la femme radicalement opposée à la nôtre.

Caroline H. (75, Paris)


A cause du militantisme pro-immigré, Tintin et les Trois petits cochons sont interdits au Royaume-Uni et en Belgique !

Jusqu’où ira-t-on dans la bêtise et la soumission ? Désormais, pour lire Tintin au Congo au Royaume-Uni, il faudra avoir plus de 18 ans ! L’album est classé dans la rubrique « BD adultes », à côté des publications pornographiques ! La commission pour l’égalité raciale (CRE), estime que « Tintin au Congo suggère que les Africains sont de sous-humains, que ce sont des imbéciles, à moitié sauvages ».
Sur le site d’information Internet Yahoo, j’ai trouvé une nouvelle au moins aussi idiote, dangereuse et révélatrice de l’évolution de nos vieilles civilisations : une école maternelle du nord de l'Angleterre a interdit l'histoire des Trois petits cochons, dont le succès auprès des enfants pouvait « offenser la communauté musulmane », dont sont issus 60 % des élèves. Barbara Harris, directrice de la crèche et de l'école, a précisé que, de manière générale, « les livres mettant en scène des cochons ne sauront plus autorisés dans les classes d'enfants de moins de sept ans » ! C’est à devenir fou ! D’autant qu’elle prétend « assurer à chacun des élèves le respect qui lui est dû » ! Et les non-musulmans alors ? !
En Belgique, l’histoire a donné des idées à un certain Bienvenu Mbutu Mondondo, un étudiant de 38 ans (!) qui réclame ni plus ni moins que l’interdiction de Tintin au Congo ! Pour l’anecdote, c’est la soeur de ce Bienvenu qui lui a dit qu’elle trouvait le livre « trop raciste », alors qu’il venait de l’offrir à son neveu ! M. Mbutu Montondo ne l’avait pas compris tout seul !

Pascal M. (46, Labastide-Murat)


Des bandes ethniques ravagent la capitale.

J’ai habité durant trente ans place Blanche avant de partir en retraite, en Bretagne. Des années 1960 aux années 1990, la situation s’était profondément dégradée. C’est toutefois un peu à regret que j’ai quitté Paris. Mais, aujourd’hui, nous avons suivi en famille l’actualité de notre ancien quartier, et nous ne pouvons que nous féliciter de vivre à la campagne ! A la télévision, nous avons été effarés d’entendre le témoignage d’une jeune femme prénommée Magali, serveuse dans une pizzeria, qui a assisté aux affrontements [N.D.L.R. opposant, dans la nuit du 27 au 28 août, plus de 150 jeunes venus de la banlieue parisienne] : « Il était minuit et demi. Plusieurs groupes de jeunes sont sortis de la bouche de métro et ils ont aussitôt commencé à se battre ! Ils étaient tous armés, il y a eu des coups de feu. Les touristes se sauvaient dans tous les sens… c’était la panique. » Armés de couteaux, de barres de fer, de « cogne- gomme » (armes de 6e catégorie) et même de machettes et de hachoirs, les voyous, majoritairement immigrés, se sont pourchassés à travers les rues de la capitale jusqu’au petit matin ! Selon la police, il s’agit de véritables « guerres de gangs », opposant des bandes pour la domination du trafic de drogues et autres affaires louches. On se croirait au Rwanda ! Vous noterez que les médias français n’ont évoqué l’affaire que lorsqu’il n’était plus possible de l’étouffer. Mais ils ont soigneusement escamoté les bagarres au couteau de la Gare du nord et dans les boîtes de nuit parisiennes les jours précédents ! Pourquoi ? Il y avait pourtant de gros titres à faire : Le Figaro aurait pu titrer « Des bandes ethniques ravagent la capitale » ; Le Monde, « Des jeunes perturbent le tourisme à Pigalle » et France-Soir, « Rififi à la gare du Nord » ! Et là, rien. Y aurait-il des consignes pour nous faire avaler que la France de M. Sarkozy vit en paix, dans le meilleur des mondes possible ?

Gaëtan L. (56, Redon)


Nicolas Sarkozy trouve le temps de recevoir un lycéen à l’Elysée !

Je trouve incroyable que Nicolas Sarkozy puisse trouver le temps de recevoir à l'Elysée un lycéen (d'origine angolaise) parce qu’il aurait été victime de « remarques racistes » de la part de l'un de ses professeurs, qui a depuis été condamné ! Le père du gamin a lui aussi été reçu par le président. Il en était ravi : « Nicolas Sarkozy a rétabli la dignité et l'honneur de mon fils qui a été bafoué par ce professeur. Il a dit que les propos du professeur étaient inadmissibles. C'est très honorable de sa part. Il était choqué et touché par ces problèmes. On est dans une République multi-raciale, dans une République de droit. Ce genre de discrimination ne doit jamais exister. »
Si, entre un sommet international, les angines de sa femme et la couverture du Tour de France, le chef de l’Etat a le temps et une propension à remplacer les proviseurs du secondaire, au moins aurait-il pu écouter le professeur condamné à un mois de prison avec sursis (on écope de moins que cela en volant les sacs des dames !). Ce dernier aurait pu lui apprendre qu’en appelant le jeune Chouaib Lusikama « Bamboula », il voulait simplement stigmatiser le comportement distrait et « festif » de l’adolescent.
Professeur à la retraite, je puis affirmer qu’en trente ans de carrière, aucun enseignant victime de remarques ou d’agressions racistes n’a été invité à l’Elysée pour épancher sa douleur et prendre figure de symbole. Je vous rappelle que Karen Montet-Toutain, la pauvre enseignante qui fut menacée de viol et de mort, avant d’être poignardée en pleine classe par un élève d’origine immigrée, il y a un an, n’a pas bénéficié d’autant de compassion.

Richard D. (59, Lille)


Gérard Gachet dénonce la complicité de l’audiovisuel français avec les immigrés illégaux.

Mais de quel droit les acteurs et autres membres de l’intelligentsia du Paris branché nous donnent-ils des leçons ? L'actrice Isabelle Carré tourne actuellement à Calais, pour France 3, un téléfilm intitulé « Maman est folle », dans lequel elle incarne une mère de famille qui se lance à corps perdu dans le soutien aux « sans-papiers », c'est-à-dire aux immigrés illégaux.
Un reportage du Figaro montrait que sur le tournage, l'actrice « interviewait » des immigrés illégaux afin de réaliser un reportage pour l'émission « Esprit critique » de France-Inter, qui sera diffusé une semaine avant le téléfilm !
Indigné, Gérard Gachet, ancien directeur de la rédaction de Valeurs actuelles, a eu, sur son blogue, une réaction salutaire qu’il convient de diffuser au maximum : « La France est un Etat de droit, où l'entrée et le séjour irréguliers sur le territoire sont depuis toujours un délit. Et, depuis une ordonnance du 2 novembre 1945 complétée par la loi entrée en application le 1er mars 2005, l'aide à l'entrée et au séjour irréguliers est également un délit. Il n'est pas inutile de rappeler trois extraits de cette loi, qui forme l'essentiel du "Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile" actuellement en vigueur.
- Article L.622-1 : Toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l'entrée, la circulation ou le séjour irréguliers d'un étranger en France sera punie d'un emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 30.000 euros.
- Article L.622-5 : Les infractions prévues à l'article L.622-1 sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 750.000 euros lorsqu'elles sont commises en bande organisée.
- Article L.622-8 : Les personnes morales peuvent être déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121- 2 du code pénal, des infractions prévues aux articles L.622-1 et L.622-5. (…)
1) L'apologie de l'aide à l'entrée et au séjour irréguliers d'étrangers en France, qui constitue manifestement le sujet du téléfilm "Maman est folle", est-elle assimilable à "l'aide indirecte" prévue par l'article L. 622-1 de la loi du 1er mars 2005 ?
2) L'équipe réalisant le téléfilm "Maman est folle", se livrant à l'apologie de l'aide à l'entrée et au séjour irréguliers d'étrangers en France, constitue-t-elle une "bande organisée" au sens où l'entend l'article L.622-5 de la loi du 1er mars 2005 ?
3) Les sociétés audiovisuelles publiques France 3 et France-Inter, qui prévoient manifestement de se livrer, en diffusant les émissions "Maman est folle" et "Esprit critique", à l'apologie de l'aide à l'entrée et au séjour irréguliers d'étrangers en France, peuvent-elles être considérées comme des "personnes morales" au sens où l'entend l'article L.622-8 de la loi du 1er mars 2005 ?
Imaginez simplement, ce qui est tout-à-fait possible, que l'une au moins de ces trois questions reçoive une réponse positive ! Les conséquences en seraient exemplaires : c'est pourquoi je me propose, et je propose à tous ceux qui partagent mon indignation, de suivre cette affaire de très très près... »
Pour en savoir plus, je vous conseille de visiter le blogue http://gachetblog.typepad.fr/

Pascal F. (75, Paris)

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