COURRIER DU NUMÉRO 98

COURRIER DU NUMÉRO 98
novembre 2007


L’affligeante affaire de l’Arche de Zoé révèle l’irresponsabilité des immigrationnistes.

Le tableau désolant, affligeant de stupidité et d'irresponsabilité qu'offre les membres de l'Arche de Zoé au Tchad, est l'exacte symbolique d'une certaine France faite au mieux, d'imbéciles dangereux, au pire, de manichéens pervers qui prétendent que la France doit héberger toute la misère du monde.
Souhaitons que les geôles tchadiennes leur remettent le cerveau en place et que la France honnête, lucide et laborieuse ne paie pas trop cher l'immensité de leur bêtise, sinon celles de leurs intentions plus que douteuses...

J. C. (par courriel)


Dans les banlieues, ce n’est pas la pauvreté qui pose problème. C’est la population.

Au mois d'août, j'ai parcouru en voiture bon nombre de pays d'Europe de l'est : République Tchèque, Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Ukraine, Pologne, pays baltes. Tous ces pays restent marqués par l'urbanisme de l'époque soviétique, avec des ensembles HLM bien plus vastes qu'en France, dans les centrevilles, les banlieues et parfois en pleine campagne, près d'usines aujourd'hui désaffectées.
Ces ensembles concentrent et poussent plus loin que chez nous les causes usuellement avancées pour expliquer l'atmosphère si particulière de nos banlieues : pauvreté, chômage, absence de commerce et de stations de police, éloignement du centre en général, rareté des transports en commun, façades défraîchies, ascenseurs en panne, urbanisme oppressant, chaussées défoncées. Ce n'est pas le paradis et les conditions de vie sont dures.
Et pourtant ! Les enfants jouent sans surveillance au pied des immeubles, le linge est mis à sécher à hauteur d'homme, pas de trace de dégradation volontaire, pas de tag, pas de bande de « jeunes », pas de voiture brûlée. J'ai parcouru ces ensembles urbains de jour comme de nuit, à pied et en voiture, dans tous les pays que j'ai traversés. Pas une seule fois je n'ai été confronté à la moindre violence, latente ou explicite.
En revanche, partout la même fraternité et la même solidarité, celle que je connaissais dans les HLM où j'ai habité pendant quinze ans.
La violence de nos banlieues ne peut pas s'expliquer par des causes matérielles. C'est leur population qui fait problème.

François V. (75, Paris)


A Nice, des immigrés de différentes communautés réglent leurs comptes au milieu des Français de souche.

A Nice, les vagues d’immigration se suivent et ne se ressemblent pas toujours. Résultat, c’est le Français de souche qui trinque lorsque ces bandes ethniques s’affrontent sur fond de racisme. Un article du Figaro (16 octobre 2007) faisait récemment état d’affrontements, dans une cité niçoise, entre des Maghrébins se sentant chez eux chez nous, et des Tchétchènes récemment arrivés : « Confrontation de deux communautés qui habitent au même endroit, à la cité de l'Ariane, à Nice, partagent la même religion - musulmane -, prient ensemble dans le même lieu, la mosquée. Mais qui ne s'apprécient guère. “Je dirais même plutôt qu'elles se détestent“, remarque un policier.
« Pour comprendre la genèse de cette ambiance délétère, il faut revenir trois ans en arrière. Le 17 mai 2004 dans l'après-midi, place Rossetti, dans le Vieux-Nice. Des Tchétchènes se font refouler d'une salle de sport. Habitués de l'établissement, des Maghrébins leur font comprendre qu'ils ne seront jamais les bienvenus. » Mais le Tchétchène, sortant d’une effroyable guerre, est fait d’un autre métal que le Français apeuré ou l’immigré avachi par les aides sociales. Résultat, cité par Le Figaro : « Le contentieux se règle quelques minutes plus tard, à coup de barres à mine, sabres, cocktails Molotov. »
Depuis, les Tchétchènes font régner la terreur. La cité de l’Ariane est surnommée « Petite Grozny », du nom de la capitale tchétchène. Les Algériens, de leur côté, ne rendent pas les armes. Bilan : dix Tchétchènes et trois Maghrébins écroués, un visage tailladé au cutter, un doigt sectionné par un couteau, une cuisse perforée par une lame de rasoir, une main déchirée par une balle de pistolet. Le 6 novembre 2006, des Tchétchènes ont tiré une vingtaine de coups de feu sur un Maghrébin qui circulait sur son scooter. « Heureusement, les balles ont raté leur cible », concluait Le Figaro avec indulgence.
L’arrivée des Tchétchènes a été mal vécue par les Maghrébins. « Ils n'ont pas accepté qu'on puisse leur disputer la maîtrise de leur territoire, et qu'on veuille leur résister », racontait un policier lors d’un entretien télévisé au journal local. Le Figaro offre une autre explication: « Ancienne avocate, Noura travaille actuellement dans un hôtel. Comme elle, la plupart des Tchétchènes qui furent, par le passé, professeurs, juristes, ingénieurs, dentistes ou encore médecins, sont devenus aujourd'hui videurs de boîte de nuit, agents de sécurité dans les grandes surfaces, infirmières, femmes de ménage, réceptionnistes dans les hôtels. “On nous en veut parce que nous avons réussi à trouver du travail et à nous intégrer“, observe Noura. Au point, selon elle, qu'on ait tenté, dans la nuit du 13 juillet dernier, d'incendier l'un des immeubles que les Tchétchènes occupent. »
Il est tout de même étonnant que personne, policier ou journaliste, ne se soucie une seule seconde de l’enfer vécu sur place par... les Français de souche ! Jusqu’à preuve du contraire, « Petite Grozny », c’est encore la France !

Jacqueline M. (Nice, 06)


Le député Michel Lagarde veut sanctionner les maires soucieux du bien-être de leurs administrés !

Ci-jointe à toutes fins utiles, l’incroyable proposition de loi du député Michel Lagarde :

« Article unique. I. – L’article L. 302- 9-1 du code de la construction et de l’habitation est complété par un alinéa ainsi rédigé : “Les maires dont les communes ne respecteraient pas l’objectif de réalisation d'au moins 20 % de logements locatifs sociaux fixés à l’article L. 302-8 seront déclarés inéligibles au terme du mandat municipal en cours.”
« II – Un décret pris en Conseil d’Etat fixe les modalités du contrat d’objectif que les communes devront signer avec le représentant de l’État dans le département pour éviter la sanction prévue au dernier alinéa de l’article L. 302-9-1 du code de la construction et de l’habitation. »


Pour ce nouveau « collabo », il faut éliminer les maires qui n'acceptent pas une loi absurde destinée à loger en priorité les immigrés. Autrement dit, il faut tout faire pour accélerer la substitution de population en cours et l'appauvrisement général de notre pays, en effet: - nous avons déja environ 5 millions de demandeurs d'emploi - notre activité industrielle est en cours de délocalisation accélérée - les Français de souche à faibles revenus doivent attendre 7 à 8 ans pour obtenir un HLM. Nous assistons à un suicide collectif...

Claude A. (par courriel)

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