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L’affligeante affaire de l’Arche de Zoé révèle l’irresponsabilité des immigrationnistes.

Les irresponsables de l’Arche de Zoé se prennent pour des héros. Enfermés dans leurs certitudes, ils ne se sont pas demandé un seul instant si le peuple français, dans son ensemble, approuvait leur initiative et avait les moyens d’assumer une assistance financière pour les nombreuses années à venir.
Imaginez les problèmes qu’auraient pu poser ces enfants quand, arrivés à l’adolescence (âge de toutes les révoltes), des « redresseurs de torts » issus des rangs de l’ultragauche les auraient encouragés à revendiquer leurs origines, voire à se poser en victimes en réclamant des compensations.

Lucie G. (92, Sceaux)

Les Etats-Unis tentent de régler l’insécurité des banlieues françaises à la place de Nicolas Sarkozy !

Depuis le 11 septembre 2001, les Etats-Unis s’intéressent aux minorités ethniques et religieuses de notre vieux continent. Aux commandes de cette exploration, les ambassades américaines. James Bullock, ministre conseiller aux Affaires publiques de l’ambassade des Etats-Unis confiait récemment à L’Hebdo de Lausanne : « Il est de notre intérêt que les choses se passent bien ici. Nous voulons aider les Français à trouver une voie paisible pour leurs minorités. »
Le Courrier international du 29 novembre 2007 racontait que ce même diplomate rencontre régulièrement les représentants « de la diversité » en France : des responsables associatifs musulmans, des noirs, ainsi que des universitaires ou des hommes politiques ! A l’origine de ces rencontres, « un programme mis au point par la Secrétaire d’Etat Condoleeza Rice » ! Selon l’hebdomadaire, « la France, avec ses 4 à 5 millions d’habitants de culture musulmane, avec sa propension à l’universalité mais aussi ses frustrations identitaires forme un cas à part, vu de Washington. Un lait sur le feu qui menace constamment de déborder. L’attention n’en est que plus grande. »
Les Américains, avec l’accord des autorités françaises, allouent des budgets culturels et sociaux à des associations d’immigrés, dans les banlieues françaises ! Et Laura Berg, attachée cuturelle de l’ambassade des Etats-Unis en France, de nous préciser qu’il « ne faut pas y voir de l’ingérence de notre part ». Je conteste ! C’est une ingérence éhontée ! Incapable de régler seul le problème de l’immigration et de la menace islamiste, le gouvernement français laisse les Américains nous humilier… Pire, il les laisse se comporter comme chez eux, chez nous ! Jusqu’où allons nous descendre ?

Mme P. (75, Paris).

L’annulation du Paris-Dakar est une victoire du terrorisme islamiste lourde de conséquences

Le Paris-Dakar a été annulé à la suite de menace islamistes. S’il n’y avait pas tant d’immigrés en France, peut-être aurions-nous moins peur et serions-nous plus sûrs de notre force et de notre indépendance. Quoi qu’on pense de cette course, il faut bien admettre que les terroristes ont gagné une bataille contre la France. Pour l’instant, nous cédons sur un événement sportif. Grâce à la peur qu’ils inspirent, ils parviennent à influencer nos décisions, nos projets, nos lois, nos modes de vie… Demain, nous nous soumettrons un peu plus à la volonté des oulémas, jusqu’à instaurer la charia. Par le nombre de leurs fidèles présents sur notre territoire, des puissances étrangères peuvent donc nous dicter leurs ordres.

Pascal F. (75, Paris)

Le gouvernement relance honteusement la police de proximité créée par les socialistes.

On croit rêver. Alors qu’à son arrivée au ministère de l’Intérieur, il avait supprimé la police de proximité qui « jouait au football » avec les délinquants, Nicolas Sarkozy vient d’autoriser Michèle Alliot-Marie à mettre en place des « unités territoriales de quartier »… Si ce n’est pas le retour déguisé de la police de proximité, alors qu’est-ce que c’est ?
Plus ridicule encore, ces unités ne sont qu’au nombre de trois, à « titre expérimental » en Seine-Saint-Denis, comme si c’était une grande nouveauté ! Le ministre de l’Intérieur a d’ailleurs dit au Figaro que ce serait « un laboratoire d’excellence de ce que peut être la police dans ses relations avec la population ». « Mon plan prévoit des équipes localisées sur un secteur, formées à l'activité en milieu difficile, assurant une présence permanente, active, visible et dissuasive », précise le ministre, qui compte « créer un véritable pacte de confiance entre la police et la population ». Une façon compliquée et bien embarrassée de dire que les matchs de football vont reprendre sur les terrains vagues !
Et de croire tromper son monde quant à la réalité de son nouveau joujou, Michèle Alliot-Marie lâche : « Ce qui compte, ce n'est pas le nom, c'est le contenu ». Nous sommes bien d’accord. C’est pour cela que c’est ridicule.

Isabelle B. (89, Senan)

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