COURRIER DU NUMÉRO 101

COURRIER DU NUMÉRO 101
février 2008


A la mémoire d’Oriana Fallaci

Je verrais bien notre journal parler une dernière fois d’Oriana Fallaci, car nul n’aura dénoncé avec autant de force à la fois les dangers de l’immigration actuelle et l’hypocrisie du politiquement correct en Italie et en France. Après les attentats du 11 septembre 2001, elle a adopté une position très ferme contre l'islam. Son point de vue est précisé dans deux essais, La Rage et l'Orgueil (Plon) et La Force de la raison (Rocher).
Outre de nombreux ajouts percutant, la deuxième édition de son Entretien avec moi-même - L’Apocalypse (Rocher), contient un complément de cent pages qui achève son oeuvre. Cette grande résistante est décédée en 2006.

Albert M. (07, Mirabel)


L’UMP soutient la construction d’une mosquée à Nice

Je vous transmets quelques passages de la lettre ouverte de Pierre Vaillant, du Front national de Nice, à Christian Estrosi, candidat UMP favorable à la construction d’une mosquée à Nice : “Quel moyen de financement comptez-vous employer pour la construction de cette mosquée, sachant : que le financement par le contribuable français est interdit (...).
Que le financement par l' "étranger" est aussi interdit : Art. 411-2 du Code pénal (trahison et espionnage) : " Le fait de livrer à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents (...) tout ou partie du territoire national est puni de la détention criminelle à perpétuité et de 750 000 euros d'amende."
Le référendum local pour ou contre une mosquée à Nice ne serait-il pas le meilleur moyen démocratique pour trancher la question (...) ?
La loi constitutionnelle du 28 mars 2003 a ajouté à la Constitution une clause 72-1. Cette clause accorde droit de cité au référendum décisionnel local : "les projets de délibération ou d'acte relevant de la compétence d'une collectivité territoriale peuvent, à son initiative, être soumis, par la voie du référendum, à la décision des électeurs de cette collectivité" (alinéa 2). Les consultations populaires organisées sur cette base constitutionnelle, au niveau local, ont désormais valeur d'actes décisionnels et non plus seulement valeur d'avis consultatifs, comme c'était le cas dans le passé.
Tout ceci s'inscrit dans le cadre des articles 19 et 30 de la Déclaration universelle des Droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies le 10 décembre 1948 à Paris (France comprise) : "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés."
Il faut faire circuler ce texte au maximum et sanctionner les collaborateurs de l’islamisation de notre pays !

Frédéric L. ( 59, Lille)


Polygames et sidéens : quelle drôle d’immigration “choisie” !

J’ai lu dans Libération du 24 janvier 2008 l’histoire invraisemblable mais symptomatiques de deux immigrés installés en France et cherchant à avoir un enfant malgré leur situation pour le moins particulière : “Les médecins se disent perplexes. Ils hésitent. Est-il « raisonnable » d’aider ce couple à avoir un enfant ? Leur histoire est, il est vrai, compliquée. Tous les deux sont d’origine camerounaise. L’homme a une petite cinquantaine. Séropositif, il a deux autres femmes, et sept enfants au Cameroun. Récemment, il s’est marié avec Leica, mais voilà, celle-ci n’arrive pas à être enceinte. Et peu à peu, elle découvre qu’elle a des soucis d’infertilité. Il y a quelques mois, ils se sont donc adressés à un service d’aide médicale à la procréation (AMP) à Paris. (…)
Reste que l’homme, pour les médecins, est compliqué à saisir : il voyage beaucoup, vit entre le Cameroun et la France. Il est suivi pour son sida en France et c’est à ce titre qu’il bénéficie d’une autorisation provisoire de séjour pour soins. La jeune femme, elle, s’est installée dans la banlieue parisienne depuis qu’elle a décidé de tenter une fécondation in vitro. Pour les médecins, il n’y a guère de doutes : elle veut un enfant, autrement on peut supposer qu’elle quittera son mari. Pour autant, sa vie n’est pas simple. Sans papiers, elle est en attente de l’Aide médicale d’Etat. Et le couple dort chez des amis, ou dans un foyer Sonacotra. (…) L’Aide médicale d’Etat est faite pour financer des soins. L’AMP, est-ce toujours du soin ? De plus, les centres d’AMP sont souvent débordés. Répondre à telle demande d’un couple n’est-ce pas le risque d’exclure telle autre ? Après de longues hésitations, le centre AMP accède à la demande. Et la femme est, aujourd’hui, enceinte.”
Commentaire de M. Lambda : lorsque le bébé sera né sur le sol français, la mère deviendra inexpulsable et pourra demander le regroupement familial pour son mari, lequel à son tour pourra faire rappliquer le restant de sa famille élargie, parmi laquelle peut-être d'autres membres sont également atteints du Sida. Quand l'on sait que les soins journaliers pour un seul individu atteint de cette maladie reviennent à plus de 500 euros et qu'il y a des dizaines de milliers de cas semblables, inutile de chercher longtemps pour expliquer en partie le trou abyssal de la Sécurité sociale. Quant à savoir qui va payer pour tout ça ! Justement au moment où le gouvernement a décidé de réduire drastiquement les prestations et les remboursements aux Français qui ont cotisé toute leur vie, y compris ceux atteints de graves maladies !
Juste pour citer un autre cas, parmi des montagnes d'autres exemples : souvenons-nous de cette Marocaine arrivée avec un visa de tourisme pour finalement accoucher de quatre bébés, lesquels ne sont jamais repartis dans le pays d'origine de leurs parents. Si ce n'est pas là une substitution de population, il faudra nous expliquer ce que c’est !
Question : combien de temps cela va-t-il pouvoir durer ?

Michel A
par courriel


Les cadres musulmans sont formés à l’Institut catholique de Paris... aux frais du contribuable !

Afin de protester contre la construction de mosquées dans leurs deux départements, les Jeunes identitaires de Savoie ont édité des auto-collants et des tracts qu'ils diffusent actuellement. Les Jeunes identitaires de Savoie sont ainsi à la pointe du combat contre l'islamisation. Un exemple à suivre...
Je vous signale également qu’une bonne manifestation ou un tract seraient bienvenus pour protester contre la formation des cadres musulmans proposée par l'Institut catholique de Paris à l'initiative du ministère de l'intérieur ! Cela a débuté le 29 janvier. Il y avait vingt-trois personnes inscrites. La Mosquée de Paris est le partenaire musulman unique de cette formation universitaire non religieuse, stupidement intitulée “Religions, laïcité, interculturalité”.
Selon Le Monde du 28 janvier 2008, “les étudiants sont en majorité algériens, mais aussi marocains, tunisiens ou comoriens. Cette formation doit fournir à ces responsables musulmans une meilleure compréhension de la société française et de ses relations avec les religions”. Elle est financée à hauteur de 120.000 euros par an par le ministère de l'Immigration et de l'intégration !
Théoriquement, ce diplôme, équivalant à un bac + 2, s'adresse aussi aux “enseignants, cadres associatifs et travailleurs sociaux confrontés aux questions interreligieuses”.
La formation de cadres musulmans, prétendument “intégrés à la culture et à la société françaises”, est considérée depuis des années comme une “priorité” par les ministres de l'intérieur successifs, également en charge des cultes. Bravo le gouvernement et son président : belle rupture. Et bravo les catholiques qui confondent dialogue interreligieux et soumission ! Je compte sur Voix des Français pour faire bouger les choses !

Jean P. (75, Paris)



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