COURRIER DU NUMÉRO 102

COURRIER DU NUMÉRO 102
mars 2008


Le gouvernement persiste à organiser l’invasion de notre pays par les masses migratoires !


Dans le Bloc-notes d'Ivan Rioufol, dans Le Figaro du 29 février 2008, je relève une information relative au droit du sol digne d'être reprise dans notre journal.
Le journaliste parle du timide essai de Christian Estrosi d'une suspension du droit du sol à Mayotte, envahie par les clandestins des îles voisines indépendantes, dont les femmes viennent accoucher sur le sol français, proposition vite enterrée.
Il évoque par ailleurs la politique d'immigration illisible du fait de statistiques fantaisistes : les sous-évaluations de l'INSEE empêchent de connaître la réalité.
Après avoir fait régulariser des cuisiniers clandestins en grève dans un restaurant parisien, Brice Hortefeux a signé avec le Sénégal un accord ouvrant droit au marché du travail à 108 métiers, alors que la France se bat contre le chômage !

Patrick J. (Par courriel)


Emplois et immigration : une fausse équation.

Les médias et en particulier la télévision, nous rappellent de manière récurrente, que certains secteurs de notre économie, notamment la restauration et le bâtiment, manquent de main-d'oeuvre. Sur cette thèse, Nicolas Sarkozy a bâti sa politique d'immigration choisie, laquelle s'ajoute à l'immigration subie. Que faut-il en penser ? Examinons des chiffres puisés dans le très sérieux mensuel L'Expansion des mois de janvier et mars dernier.
Notre chômage, en réduction, se situerait autour de 1.900.000 personnes sans emploi. Le gouvernement, qui fait volontiers du triomphalisme, annonce une baisse constante du chômage. Il faut tout de même signaler que nous sommes toujours parmi les plus mauvais de la classe des pays développés.
A cela, il faut ajouter : 415.000 personnes (mars 2008) âgées de 55 ou 57,5 ans, indemnisées et dispensées de chercher un emploi ;1.277.750 personnes travaillant à temps partiel (femmes de ménage, employés de grandes surfaces, etc) ; 754.000 chômeurs indisponibles ou découragés ; 715.838 contrats aidés ; 128.123 pré-retraités finançés en partie ou en totalité par l'Etat ; 1.200.000 “RMIstes” à ne pas oublier.
Pour être presque complet, il faut rappeler les calamiteuses 35 heures et aussi le fait que nos seniors, âgés de 55 à 64 ans, ne sont guère plus de 38 % à être occupés, tandis que ces pourcentages grimpent autour de 50 % en Allemagne et 69 % en Suède .
En conclusion, il est évident que nous n'avons pas besoin d'immigrés pour faire tourner notre machine économique. Ce qu'il nous faut, c'est une politique volontariste, pas seulement en paroles, dont le lamentable attelage Sarkozy-Fillon se révèle incapable.

Lucien Robin, commissaire principal honoraire


L’été revient : les immigrés fleurissent sur les côtes européennes.

Pas de doute, la belle saison approche : le soleil brille de nouveau. Les arbres bourgeonnent. Les fourmis courent dans mon jardin. Et les immigrés clandestins reviennent s’échouer sur nos côtes. Selon une émission de RFI, le 17 mars, plus de 450 immigrés clandestins ont débarqué sur l’île italienne de Lampedusa en deux jours. 301 d’entre eux sont arrivés entassés à bord d’un petit bateau de pêche. Puis 116 immigrés sont arrivés à Lampedusa en plusieurs groupes successifs. Selon la radio, “cette arrivée massive de migrants ressemble à un échec pour l'Italie et la Libye qui ont signé, le 29 décembre dernier, un accord de coopération pour lutter contre l'immigration clandestine, prévoyant notamment des patrouilles communes”.
Depuis trois semaines de débarquements, près de 3.000 migrants sont arrivés sur cette petite île. Bientôt, régularisés ou pas, ils tenteront leur chance à travers tous les pays d’Europe, pour obtenir des aides et vivre à nos frais.

Josette M. (37, Saint-Cyr-sur-Loire)


La gauche trahit les Suisses

Le Parti radical genevois se déclare favorable à la construction de minarets au centre-ville et à la formation d'imams sous prétexte de “régler clairement la place des religions dans l'Etat”. Pour y parvenir, les radicaux suggèrent d'élaborer un nouvel article constitutionnel sur la laïcité. Ces propositions sont lancées alors que le premier parti de Suisse, l’Union démocratique du centre, s’y oppose farouchement depuis deux ans. Les radicaux prétendent que ces mesures seraient susceptibles de "réduire les préjugés". C’est un véritable acte de collaboration !

Eric C. (Genève)



L'anti-blanc, l'anti-français, l'anti-chrétien, l'anti-valeurs, l'anti-traditions sont à la mode.
La révolte d’un Français.

Le mensonge, l'hypocrisie, l'incohérence, l'injustice, le mépris des lois sont très appréciés dans les milieux dirigeants politiques, médiatiques, sociaux, familiaux, éducatifs. Quelques exemples importants parmi tant d'autres...
L'adoption du traité de Lisbonne par les élus viole allégrement la démocratie, pourtant journellement prônée. Il en est de même des reculs répétés devant les grèves ou des manifestations de petites minorités, telles que celles des contrôleurs aériens.
La liberté , le premier symbole de la République, est de plus en plus fréquemment bafouée par l'interdiction de certains mots, de certains écrits, de certains gestes.
La vie est sacrée, même pour les assassins récidivistes, mais souvent et légalement écourtée pour les bébés à naître. La clarté en toutes choses est prêchée, mais l'Europe fédérale se fait sournoisement par le viol des consultations populaires et l'éclatement des Etats ; par le silence sur les situations difficiles telle que celle de Chypre, sur les différents niveaux de vie, les différentes fiscalités, les différentes durées des heures de travail, les différentes durées des congés annuels... Mais Bruxelles pond des ukases sur la longueur des queues et des oreilles des chiens de race.
L'Union est européenne et doit comporter la Turquie qui n'est pas en Europe.
Les syndicats sont là pour veiller à ce que le travail soit correctement rémunéré, mais alors pourquoi les étudiants sont- ils syndiqués ? (...)
Afin de rétablir le respect dû par les élèves à leur professeur, on envisage le droit de les noter. Neuf-cents voitures brûlées dans la nuit du 31 décembre, il n' y a pas de quoi s'en émouvoir.
L'Afrique est à feu et à sang, les ethnies s'étripent allègrement, la paix régnait avec les colonisateurs. Repentons-nous. Les millions de morts dont le nazisme est responsable sont constamment rappelés, mais ceux encore plus nombreux du communisme ne le sont que bien rarement.
Policiers et gendarmes sont devenus des cibles, c'est l'évolution de la société.
On ne se marie pas pour pouvoir se séparer plus facilement, qu'importe les enfants.
On abandonne les églises mais on finance les mosquées. Le clergé français ne convertit plus mais forme des imams.
L'anti-blanc, l'anti-français, l'anti-chrétien, l'anti-valeurs, l'anti-traditions sont à la mode. On marche sur la tête. La folie se propage et un jour ce sera l'anarchie.

Marcel Wolff, vice-amiral d’escadre.



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