COURRIER DU NUMÉRO 107

COURRIER DU NUMÉRO 107
octobre 2008


Le ministre de l’Intérieur reconnaît la menace islamiste pesant sur la France.

Michèle Alliot-Marie vient de le déclarer officiellement : « Les islamistes recrutent dans nos prisons ». Ce n’est pas une nouvelle, mais il est toujours bon que notre ministre de l’Intérieur le reconnaisse. Désormais, nous pourrons nous réclamer d’elle pour l’affirmer dans les dîners ! Elle l’a dit dans Le Figaro du 11 septembre, dont je vous livre les principaux passages : selon elle, « les prisons françaises sont un lieu de recrutement privilégié pour les islamistes radicaux ». Ce serait aussi le cas de « certains quartiers sensibles dans [les] banlieues ». « Les jeunes sont ensuite envoyés en formation théologique en terre d'islam, pris en charge dans des écoles coraniques, comme les madrasas du Pakistan, d'Egypte ou du Yémen ». Elle avance que plus d'une dizaine de jeunes djihadistes français se sont rendus dans la zone pakistanoafghane pour y recevoir enseignement et entraînement. « Nos services l'ont établi et cette information est confirmée par plusieurs agences de renseignement européennes et extra-européennes ». Si « l'Irak reste un point d'attraction pour certains islamistes, les filières pakistano-afghanes se sont indéniablement renforcées ». Par ailleurs, 89 activistes islamistes ont été interpellés en France en 2007 et 55 autres ont été arrêtés depuis le début de l'année.
Comme à l'époque de la guerre en Bosnie et au Kossovo, certains « Français » de papier vont faire des cartons sur les militaires français en Afghanistan ! Et quand ils rentrent en France, ils sont bien prêts pour des actes terroristes...
Pour lutter contre le prosélytisme musulman en France, le ministre s’est contenté de proposer à ses homologues européens « d'élaborer un manuel sur l'islamisme en milieu carcéral, pour mieux informer les professionnels de la sécurité sur la façon de détecter et d'empêcher ce type de recrutement ». Pourquoi ne pas prendre des mesures plus fermes ? Même devant les constats les plus alarmants, nos ministres demeurent paralysés face aux remèdes à adopter.

J.O.,( par courriel)


Non à l'islamisation de Mérignac.

Voici une dépêche de l’agence Novopress qui pourrait vous intéresser et mener à une dynamique patriotique : « A l'insu de la population de Mérignac, ville de 65.000 habitants dans la banlieue de Bordeaux, un très gros projet de construction de mosquée est en cours. Ce projet a été tenu très discret et les habitants de la commune n'ont pas été mis au courant.
« La demande de permis de construire a été accordée par le maire socialiste de Mérignac, Michel Sainte-Marie, le 9 mars 2007. Il est hors de question que les habitants soient mis devant le fait accompli devant un projet d'une telle importance. En effet, le terrain de cette mosquée se situant avenue Marcel-Dassault s'étend sur plus de 2.000 mètres carrés et comprendra une mosquée de plus de 500 places, une librairie, des salles de classe, des locaux techniques. Le coût de tout ceci est estimé à 1,5 millions d'euros. Ni intégré, ni intégrable, mais souvent intégriste, l'islam s'organise en Gironde avec la complicité des pouvoirs publics et des lobbies de l'anti-France. Nous devons donc nous mobiliser et faire entendre notre voix, pour cela vous pouvez faire entendre votre désapprobation. Mairie de Mérignac : tél. : 05 56 55 66 10 - télécopie : 05 56 55 66 02. »

Pierre V. (par courriel)


Le Premier ministre admet le choc de civilisations « contre le monde musulman ».

Le Premier ministre François Fillon a évoqué, lundi matin 1er septembre 2008, le prochain envoi de « moyens supplémentaires » en Afghanistan, se plaçant ouvertement dans le cadre d’un combat contre « le monde musulman ».
Interviewé par Jean-Pierre ElKabach sur Europe 1, Fillon a déclaré : « Le conflit va durer, parce que les causes de ce conflit sont très profondes (…) C’est l’opposition entre le monde musulman et une grande partie du reste de la planète, c’est le conflit israélopalestinien, c’est les déséquilibres économiques et sociaux qui règnent dans le monde ».
De l’aveu même du chef du gouvernement, l’armée française est donc en croisade contre le monde musulman auxquels appartiennent aussi, faut-il le rappeler, plusieurs millions de citoyens français. (…) Lorsque Jean-Marie Le Pen a dit cela, par le passé, tout le monde lui est tombé dessus.

J. O. (par courriel)


Manifestons notre soutien à Brigitte Bardot en écrivant à Nicolas Sarkozy

A la réception de La Voix des Français (n° 105), je lis l’intervention d’une abonnée de Versailles au sujet de la condamnation de Mme Brigitte Bardot, qui a le tort de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. (…) Ci-jointe la lettre que j’ai fait parvenir à notre président gesticulant. Puissent les adhérents de Voix des Français en faire autant.
« Monsieur le Président, je lis dans un quotidien en date du 6 avril 2008 un entrefilet mentionnant qu’une peine de deux mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende avaient été requis en correctionnelle contre Madame Brigitte Bardot pour incitation à la haine raciale. Elle a, paraît-il, écrit : « Il y en a marre d’être menés par le bout du nez, par toute cette population qui nous détruit, détruit notre pays en imposant ses actes. » Je pense qu’elle dit tout haut ce que de nombreux Français pensent tout bas. Elle le dit (…) avec beaucoup de retenue puisqu’elle parle de « population » et non pas de « racaille », comme certains l’ont fait. Je crois me souvenir que Monsieur Giscard d’Estaing avait parlé d’« invasion » dans un numéro du Figaro- Magazine demeuré fameux, et Monsieur Jacques Chirac avait évoqué « le bruit et les odeurs » occasionnés, selon lui, par certains membres de ces populations. Je ne vois pas pourquoi Madame Bardot serait poursuivie pour des propos que messieurs Giscard d’Estaing et Chirac ont exprimés avec beaucoup moins de retenue. D’autre part (…), pour quelle raison Madame Bardot serait-elle coupable, alors qu’elle n’a fait que se conformer à la devise écrite au fronton des mairies de France ?
Il serait temps que nous respections les principes de liberté inscrits dans nos institutions, et que nous admettions que nous sommes maîtres chez nous. Il serait bon de rappeler à ceux des immigrés qui n’admettent pas notre mode de vie, que la porte de sortie est grande ouverte. »

Mademoiselle M. L (75, Paris)


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