COURRIER DU NUMÉRO 109

COURRIER DU NUMÉRO 109
decembre 2008


Quand le gouvernement sanctionne la discrimination « négative ».l

« Auriez-vous l'amabilité de m'indiquer si parmi votre personnel,vous avez des agents de confession autre que chrétienne. Dans l'affirmative, pouvez-vous me dire si certains d'entre eux ont demandé des aménagements d'horaires ou de service pour pratiquer leur religion ». Tel est le courriel reçu le 16 septembre par la direction
des ressources humaines de la région Rhône-Alpes. Cette question était formulée par la sous-direction de l'Information générale, anciennement les renseignements généraux, à la demande de l'association des maires de France. La Région a vivement réagi, estimant que cette demande sur les appartenances religieuses
porte une « atteinte au principe de non-discrimination ». Et ajoutant que l'association des maires n'aurait jamais sollicité cette étude. Le ministère de l'Intérieur a immédiatement réagi à la dépêche de l'agence France presse évoquant l'affaire. « Une enquête totalement inadmissible, totalement déplacée » a assuré
le cabinet de la ministre Michèle Alliot-Marie, qui a déclenché une enquête hiérarchique interne « dont les résultats doivent parvenir en moins de vingt-quatre heures ». Belle réaction de Madame Alliot-Marie ! Vraiment, l'ennemi de notre civilisation réside bien dans notre politique débile et sénile vis-à-vis de l'islam ! N'empêche que les RG sont des pieds-nickelés dans cette affaire !
Quelle maladresse !

Punette L. (69)


Nos impôts servent à financer les « quartiers » l

Voilà à quoi servent nos impôts, selon un article paru dans La lettre européenne au contribuable, sous le titre « 7,2 milliards d'euros en 2006. Banlieues : combien ça coûte ? » : « Clichy-sous-Bois, Villiers-le-Bel, Seine-Saint-Denis, les voitures et les
équipements brûlés: la délinquance sur les personnes et les biens, ouverte et larvée, a un coût. Mais il y a aussi les aides, les subventions, les régimes fiscaux d'exonérations, et les crédits multipliés, comme autant de prix payés pour acheter de la paix. Le budget de l'État, avec sa présentation en "missions et programmes", plus une enquête de la Cour des Comptes permettent d'avoir une approximation
minimale des crédits irriguant les banlieues pour y faire "pousser la tranquillité".
Ces crédits sont investis dans une mission appelée "Ville et logement". On les trouve notamment dans un programme budgétaire n° 147, appelé "Équité sociale et territoriale et soutien". Mais il y a aussi les crédits d'un programme dit "Rénovation urbaine". S'y ajoute une "Dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale"
depuis 1991. Son montant atteindra 1,2 milliard d'euros en 2009. Le montant de ces crédits pour "la politique de la ville", terme politiquement correct pour dire "banlieues", dépassait 7,2 milliards d'euros en 2006, contre 1,3 milliard en 1993 et 6,3 milliards d'euros en 2005. Le saut s'est fait après les révoltes de l'automne 2005, par un amendement appelé précisément "Banlieues", lors de l'examen de la loi de finances pour 2006. 180 millions d'euros, entre autres, ont été rajoutés. Le style atomisé des subventions versées révèle la finalité pacificatrice, sinon clientéliste. Ainsi, en Seine-Saint-Denis, la majorité des subventions versées est inférieure à 5.000 euros. 98 subventionsd'une année y sont inférieures à 1.500 euros, pour 418 supérieures à 5.000 euros. Dans les 751 ZUS (Zones Urbaines Sensibles), qui constituent l'unité de base de la "politique de la ville", il y a 4,6 millions de personnes. L'aide consommée par habitant, y est, en moyenne, de 87 euros, pour atteindre 121 euros en Midi- Pyrénées. »

Jacques V. (80)


Faire l’union des Français.l



Il faut davantage travailler à l'union de toutes les forces politiques des patriotes français (FN, MPF, MNR, Debout la France) pour qu'ils se regroupent au sein d'un RPF (Rassemblement des patriotes français) en vue des élections européennes.
Je sais que la tâche est rude, car chacun veut garder sa petite chapelle. Il serait peut-être utile de consacrer un article à l'idée de cette Union dans chaque numéro de VDF.


M.P. (par courriel)
Un livre instructif... et terrifiant l

Connaissez-vous le livre Pour Allah jusqu’à la mort de Paul Landau, qui a paru en septembre 2008 aux éditions du Rocher ?
Je viens de lire cet ouvrage et je le conseille vivement à tous ceux qui ignorent les vrais dangers du prosélytisme musulman sur notre territoire. L’auteur, spécialiste des mouvements islamistes, dresse dans cette enquête les portraits de jeunes Occidentaux convertis à la religion musulmane et devenus djihadistes, soldats fanatiques de l'islam radical. Le cas de Muriel Degauque, jeune femme belge convertie à l’islam qui s’est fait exploser dans les rues de Bagdad, étant loin d’être unique. Le pire est que ces futurs kamikazes sont souvent nés dans des familles catholiques ou protestantes, en Allemagne, aux Etats-Unis, mais aussi en France !
Cet engouement pour l'islam de jeunes Occidentaux n’est-il pas une des conséquences de l’immigration massive des musulmans radicaux, qui veulent imposer leurs lois et leur religion sur notre territoire ? On se demande, d’ailleurs, ce que font les services de migration et les renseignements généraux, qui laissent ces prédicateurs venir chez nous et empoisonner les cerveaux de notre jeunesse !

Raymond N. (21)

Certains immigrés rêvent de conquérir la France !

Une poignée d’immigrés fantasment sur le thème « La France est à nous ». Cette revendication est d'autant plus imbécile que leur pays, lui, ne leur appartient pas ; pas plus qu'ils n'appar-tiennent à ce pays. La valeur que nous pouvons attribuer à ce slogan est de même ordre que ce que nous donnions, il y a quelques décennies, à l’expression « A nous les petites Anglaises ». Le dessein, à l'époque, était de nature légère ; celui d'aujourd'hui, aussi stupide et provocateur soit-il, est quand même un danger potentiel pour la France, par l'effet « boule de neige » qu'il peut produire dans les zones de non-droit. Les petites Anglaises n'ont jamais été aux petits Français, comme la France ne peut pas être aux immigrés, même violents, même islamistes.
La rêverie de ces jeunes inconscients n'a aucun sens et ne repose que sur des raisonnements primaires et revanchards. La France n'a jamais exprimé de telles revendications à l'égard des trois pays du Maghreb, bien qu'elle en ait entièrement réalisé et financé la construction au cours de tout un siècle, tout en respectant les traditions, la culture et la réligion de ces pays. Que seraient-ils devenus si, adoptant leur mentalité, la France avait détruit derrière elle tout ce qu'elle a construit ? Enfin, que veulent- ils faire de la France ? Une deuxième Algérie ? Un quatrième pays du Maghreb, avec sa misère et ses mosquées ? Cette fois encore, c'est le laxisme et la peur des dirigeants qui sont responsables de cette nouvelle agression de la France. Cettefois encore, on ne peut que constater et ne rien pouvoir faire,car la Halde veille, ainsi que les autres organisations malfaisantes, mais, elles, autorisées, voire institutionalisées par l'Etat français pour baillonner les patriotes.

M. A. (par courriel)



Une lycéenne de 18 ans enlevée, séquestréeet torturée pour avoir choisi un Français de souche !

Le 11 novembre, m’apprend l’Associated Press (NDLR : équivalent britannique de l’AFP), « une lycéenne de 18 ans d'origine algérienne a été victime de violences aggravées dans le cadre familial, à Toulon (Var) », au prétexte qu'elle « refusait
de se marier en Algérie avec un homme de 30 ans ». La jeune fille qui a été enlevée et séquestrée pendant une nuit a eu le visage et l'abdomen lacérés au couteau.
Les auteurs de cet acte barbare seraient la propre mère de la victime, de nationalité algérienne, et ses deux soeurs de 14 et 16 ans ! Toutes ont été mises en examen pour « enlèvement, séquestration et violences aggravées ». Elles ont toutefois
été remises en liberté sous contrôle judiciaire avec obligation de pointer toutes les semaines au commissariat de Toulon et de remettre leur passeport. Selon la brève de l’agence de presse, les parents de la lycéenne seraient parvenus à l'attirer dans la rue, puis à l'enlever dans une voiture.
Tout cela parce qu'elle vit avec un lycéen de son âge… non musulman. Comme dans beaucoup de familles d’origine immigrée, les parents n’ont pas accepté de voir leur fille s’unir à un Français de souche ! Conduite au domicile familial, elle y aurait été torturée pour avoir refusé le mariage qui lui était prévu en Algérie. Elle aurait ensuite parvenu à s’enfuir dans la nuit, avant de se réfugier au commissariat pour y déposer plainte. L’on s’étonnera tout de même que personne nedénonce ici un ignoble acte raciste ! Que font la Halde, le MRAP et consorts face à ce refus pour le moins évident du sacro-saint métissage ? Ce sont sans doute les joies de « l’intégration»… On suppose pourtant que bien des femmes immigrées bénéficiant de la nationalité française préféreraient mille fois subir les « violences » de l’assimilation !

Philippine G. (78, Versailles)


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