COURRIER DU NUMÉRO 112
COURRIER DU NUMÉRO 112 |
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Islam, fausse religion de paix, véritable manuel de guerre. l En classant des papiers, je retrouve la copie d'un envoi qui n'eut pas l'heur de plaire aux rédacteurs de Midi Libre. Voici donc, jointe à la présente, cette lettre : « Par votre intermédiaire (Midi Libre du 22 décembre 2008), le recteur Kabtane [ndlr : se plaignant d’une prétendue islamophobie en région lyonnaise] nous conseille de lire le Coran : on y trouverait, à profusion, des textes “d'amour et de paix”. Par exemple, les 250 versets relatifs à l’obligation de guerre sainte ? Prenons le chapitre 2.2- sourate 4, versets 76/74 : “Que combattent dans le chemin d'Allah ceux qui troquent la vie immédiate contre la Vie Dernière”. Ou 2.3- Sourate 4, versets 97/95 : “Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux - sauf les infirmes, bien sûr - et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d'Allah”. Je ne voudrais pas vous répéter les 250 versets ! Je vous conseille donc d’accompagner cette lecture d’un texte de Midi Libre du 1er août 2001. » Ce dernier article (voir ci-dessous) est particulièrement intéressant. Mais le responsable des pages courrier n’a pas souhaité le repasser à côté de mon dire qui n'avait pourtant rien de monstrueux. I.S. (34, Sète) |
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La Macif vous assure... de son islamophilie !
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La bataille des prénoms est engagée ! En Ile-de-France, le tribunal de Melun a enregistré récemment une quinzaine de demandes de changements de prénoms dans le sens d'un retour à l'identité d'origine des personnes immigrées. « Des Thierry, Jacques ou Olivier veulent devenir ou redevenir des Moustapha, Karim ou Saïd », relève Le Parisien [ndlr : du 4 novembre 2008] dans une enquête parue [le 3 novembre]. Hervé Charles, substitut au procureur de Melun, explique au journal que la motivation de plusieurs de ces personnes est de refuser de porter « un prénom français, chrétien, comme Jacques ou Paul » tout en ayant « des origines maghrébines » et en étant « de religion musulmane », ce qui en fait, explique-t-il encore, « l'objet de moqueries ». Ces demandes vont « à l'encontre d'une intégration dans la société française », note-t-il. Pour le quotidien Midi libre, qui s’est fendu d’un courageux article, « elles indiquent en revanche la prégnance d'un communautarisme en plein essor voire... une intégration à l'envers, au détriment de l'identité du pays d'accueil ». Un lecteur anonyme |
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