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Identité : deux poids, deux mesures selon que vous serez blanc ou noir !

Je pense avoir trouvé un excellent candidat pour votre rubrique « Résistant ». Il s’agit de Laurent Dandrieu, rédacteur en chef à Valeurs actuelles, qui s’est récemment fendu d’un joli message sur le blogue de l’hebdomadaire : « On ne se lasse pas de s’émerveiller de la façon dont les mots changent de sens, ou de coefficient de moralité, suivant le contexte ou celui qui les emploie. Prenez “identité”, par exemple. Menée par des peuples européens, une lutte identitaire n’est forcément qu’une “dérive populiste” qui ne saurait manquer de rappeller les “zheures-les-plus-sombresde- notre-histoire”, au mieux une résistance absurde à “l’inéluctable uniformisation européenne”. Menée par un peuple d’Asie ou d’Afrique, elle devient aussitôt une défense légitime de ses us et coutumes face à l’“impérialisme occidental” et à une mondialisation abusivement nivellisatrice. Le dalaï-lama se verra régulièrement saluer pour sa défense courageuse de son identité culturelle et spirituelle, tandis que Benoît XVI, à chaque fois qu’il tente d’écoper la barque de l’Eglise catholique, se voit stigmatisé pour cause de “repli identitaire”. En France, l’annonce par le candidat Sarkozy de la création d’un ministère de l’Identité nationale fut perçue comme une telle provocation à l’égard du magistère médiatique qu’aussitôt nommés, ses titulaires successifs s’empressèrent de préciser que l’identité “républicaine”, c’était bien évidemment “l’accueil de l’autre” et la France comme terre indiscutable d’immigration. Mais lorsqu’il s’agit de Guadeloupe, comme par miracle, la “lutte identitaire” des partisans d’Elie Domota est relatée par les médias parisiens comme la légitime rébellion des “descendants d’esclaves” contre un “système colonialiste”. Où l’on voit une fois de plus qu’à Paris, la phobie anti-identitaire est d’abord et surtout une haine de soi. » Avec tous mes encouragement à l’équipe de VDF !

Pierre B. (37, Tours)

Un évêque collabo à Créteil !

Si j'ai bien compris, même des chrétiens et l'épiscopat semblent être attirés par « une société métissée » ! De quoi vraiment ne plus rien comprendre ! Voici un courrier de « Chrétiens en Forum » qui nous « invite à son XIIème forum national, les 14 et 15 mars, à Ivry-sur-Seine, sur le thème : “Choc des identités : vers une société métissée” ». L’on nous y apprend que « les débats de ce forum abordent des questions d'actualité qui se posent de plus en plus à notre société et aux Eglises. La diversité se vit déjà dans les associations, les familles, les quartiers, les entreprises, les Eglises et pourtant elle soulève encore des interrogations et des peurs. De nombreux experts attentifs à cette question de la diversité sociale et de ses conséquences apporteront leurs réflexions aux neuf débats de ce forum. Monseigneur Michel Santier, évêque de Créteil, le président de la Fédération protestante, le pasteur Claude Baty et monsieur Said Ali Koussai, du groupe d'amitié islamo-chrétienne, témoigneront de l'action des croyants dans la société pour un mieux « vivre ensemble ». C’est une véritable honte de voir un évêque tremper dans cette mascarade !

Albert T. (78, Marly-le-Roi)

 La Macif vous assure... de son islamophilie !

Un article paru dans Tandem, la revue de la Fondation de la MACIF de janvier 2009 montre clairement à quoi servent une partie de nos cotisations : on y apprend que la Fondation Macif organise chaque année le prix du concours Economie sociale, diversité ethnique et emploi ! Cette année, il a été décerné à Kamel Benamra, un cadre en ressources humaines. Il donne un entretien à Tandem pour « faire le point sur la situation française en matière de discrimination raciale au travail ». J’y ajoute une publicité de la Macif illustrée par une jeune immigrée. Alors je quitte la MACIF assurance-auto. Si 10 à 20.000 personnes le faisaient... Car il n'y a guère que cela pour essayer d'enrayer le mouvement de dhimmitude accepté par les « patrons » des grandes entreprises qui oublient leur devoir primordial : produire pour faire vivre en priorité les Français à qui ils doivent leur fonction.

Claude V. (Nice)

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