COURRIER DU NUMÉRO 125

   

On peut impunément tirer sur un convoi pénitentiaire à la Kalachnikov.
On peut, dans notre pauvre pays, tirer sur des policiers à la Kalachnikov et être remis en liberté ! C'est ce qui est arrivé à trois « jeunes » hommes, mis en examen dans l'enquête sur l'attaque d'un fourgon de police à La Courneuve. Le 17 mai 2009, dans la cité des 4.000 de La Courneuve – celle que Sarkozy devait passer au Kärcher –, ces racailles de banlieues avaient tendu un guet-apens à un camion de police convoyant deux gardés à vue et tenté de libérer leurs comparses en tirant à l’arme de guerre sur les forces de l’ordre ! Ce qui est terrible, c’est que la cour d’appel de Paris, estimant que leur détention n'était « plus nécessaire » aux investigations, les a placés sous un banal contrôle judiciaire. Les magistrats ont estimé que ces trois personnes – qui ont attaqué un convoi pénitentiaire à la Kalachnikov, rappelons-le ! – disposaient de « garanties de représentation (hébergement, promesse d'embauche) suffisantes » pour être relâchés.
Cette situation me heurte particulièrement en tant qu’ancien gendarme mobile, car lorsque j’étais en exercice, dans les années 1970 et 1980, ce genre d’événement aurait fait la une de tous les media et aujourd’hui, il faut attendre la mort d’une jeune policière de 26 ans, avec un enfant, pour sortir de la simple rubrique des faits divers. La condition des gardiens de l’ordre est complètement déconsidérée. Je m’associe pleinement à la « stupeur » manifestée par le syndicat de policiers Alliance. René M. (75, Paris)

 

Kalachnikov bis.
Après la mort d’Aurélie Fouquet, la jeune policière municipale assassinée par des braqueurs, une attaque de fourgon blindé d’une extrême violence a eu lieu en plein jour près du port de Marseille. Une véritable équipe de tueurs a arrosé le quartier pendant dix bonnes minutes…
Le quotidien Présent (1er juin) raconte l’affaire en détails… « “C’est un miracle que personne n’ait été tué”, a commenté le procureur de la république. “Plusieurs chargeurs de Kalachnikov ont été vidés sur des convoyeurs, des témoins et des policiers, ils ont tiré pour tuer”, déclare le directeur interrégional de la police judiciaire, Roland Gauze, qui précise n’avoir jamais vu autant de douilles de fusil-mitrailleur par terre. Plusieurs balles ont traversé le pare-brise d’un car de CRS. Un automobiliste a vu son pare-brise voler en éclats et les balles se sont fichées dans l’appui-tête de son véhicule.
Vers 10 h, au carrefour du Cap Pinède, sur une voie rapide qui longe le grand port, une dizaine de braqueurs encagoulés et vêtus de gilets pareballes ont bloqué avec des voitures volées un fourgon de transports de fonds de la société Loomis transportant sept millions d’euros. Ils ont fait exploser la porte arrière avec des explosifs et ont pillé une partie du contenu avant de disparaître à bord de deux Audi noires. Ils ont longuement tiré à l’arme lourde sur les convoyeurs, les automobilistes et un car de CRS qui patrouillait dans le secteur. Les CRS et les trois convoyeurs qui ont également manqué de peu de griller dans les flammes, ont riposté en tirant sur les braqueurs. Un officier de police interrogé sur France info voyait pour sa part, dans cette violente sauvagerie, la marque des “jeunes” de cité qui “montent au braquo après s’être bourré le pif de poudre” et sont prêts à tout pour récupérer les sacs de billets.
C’est ce que l’on retiendra du gouvernement Sarkozy en matière de sécurité : de véritables actes de guerre, la multiplication des armes de guerre et des explosifs dans nos rues et une violence criminelle décuplée. En plein jour, en pleine rue, en 2010, en France. » Je pense que la police devrait avoir le droit de tirer à balles réelles sur les criminels et devrait également tenter de les tuer, car ces bandits mettent en danger des dizaines de vies innocentes.
Francine J. (31, Toulouse)

Militantisme et Internet :
nous devons dénoncer les ignominies ! Je me suis mis à l’Internet depuis une dizaine d’année et visite régulièrement votre site, ainsi que l’ensemble de la blogosphère patriote. Mais je vais également, à l’occasion, pêcher une information chez les rappeurs et autres zonards de banlieues, qui, souvent expriment tranquillement leur racisme et leur haine des blancs – sans que quiconque ne leur tombe dessus, d’ailleurs. On trouve parfois des vidéos en lignes, où des racailles d’origine immigrée et souvent musulmanes se vantent de leurs forfaits.
Ainsi, j’ai pu prendre connaissance du drame que vit une jeune fille de 23 ans : elle aurait posté sur son site Facebook une vidéo exposant les faits et méfaits du quartier de la Maladière, à Loriol-sur- Drôme (Rhône-Alpes). Et aurait déclenché l'ire de jeunes habitants. Le 15 avril dernier, celle qui est, dans la vie professionnelle, gendarme volontaire, se promène dans la grand-rue de sa commune avec sa mère et croise trois jeunes hommes s’étant reconnus dans les vidéos. L'altercation éclate, la jeune femme reçoit notamment un coup de pied, tombe à terre. Sa mère s'interpose et permet d'arrêter l'agression. Au tribunal, le jeune prévenu se défendait : « Moi je lui ai mis une "tarte", elle nous a insultés. Voilà, je regrette... » Le procureur de la République y verra « une agression sans raison, sans mobile ». Mais l’agresseur n’écopera que d'un mois de prison avec sursis et de 1.000 euros à verser aux parties civiles.
Il y a peu, sur le site www.fdesouche.com, je vois la vidéo d’un noir hilare : un de ses amis arabe est filmé en train de « draguer » une adolescente blanche. Autrement dit, il lui barre le chemin, et lui demande son numéro de téléphone. La jeune fille refuse, l’autre insiste ; elle tente de s’échapper, l’autre la coince ; elle tente de passer en vitesse et soudain, c’est le déchaînement : l’Arabe lui donne une immense gifle en la noyant sous un flot d’injures dont s… était le plus délicat ; un autre Arabe fonce sur elle et lui donne un grand coup de pied de karaté qui projette la gamine au sol. Et le noir, plié de rire, de se mettre le nez sous son propre objectif pour déclarer ravi : « Ça c’est du lourd ! » Et au milieu d’un charabia afrobanlieusard, il s’adresse, pour l’exemple, à ses voisines de cité (je traduis sans retranscrire toutes les fautes de français) : « C’est ce qui arrive à celles qui veulent pas coopérer ! » Nous voilà prévenus !
Dernière vidéo trouvée sur Internet : un pauvre monsieur blanc, à peine plus âgé que moi, est filmé par des Arabes de banlieue pendant que deux racailles fouillent son sac, non pas pour le voler, mais pour contrôler ce qu’il achète à la supérette du coin. Hélas pour lui, le malheureux a acheté une bouteille de vin. Il prend des gifles, accompagnées d’avertissements menaçants ponctués de « sur le Coran », « Allah te regarde »… Le vieillard doit expliquer à des gamins de quinze ans fouillant son sac qu’il est désolé, que ce n’est pas pour lui, mais pour des invités qui ne connaissent pas la loi du quartier… Il part sous les gifles et les quolibets, pendant qu’un musulman crie au cameraman : « Filme ! Filme ! Ça doit servir de leçon ! » Et d’asséner : « La prochaine fois, on te tue » ! Mais dans quel monde vivonsnous ? Comment porter ces informations au plus grand nombre ? Car voilà ce qui, j’en suis sûr, pourrait convaincre les plus gauchistes et les plus obtus de nous rejoindre dans notre combat contre les méfaits de l’immigration de masse et l’islamisation de nos quartiers ! Bon courage à Voix des Français !
Pascal C. (par courriel)

Le crime ne paie pas…
Et apparemment, le football, pas assez. Dans le cadre d’un vaste coup de filet conjointement mené à Metz et en Allemagne, le 28 mai, les services de lutte contre le trafic de stupéfiants ont saisi 650 g d'héroïne, 50 g de cocaïne, plus de 10.000 euros en espèces et sept armes à feu, dont un fusil d'assaut Kalachnikov et un pistolet-mitrailleur. Vingt et une personnes ont été interpellées. Les interpellations ont été effectuées par 120 fonctionnaires du SRPJ, du groupement d'intervention régionale de Lorraine, de la Sécurité publique, du Groupe d'intervention de la police nationale et de la Brigade de recherche et d'intervention. Selon le SRPJ, depuis le début de l'enquête, en octobre 2009, les trafiquants de stupéfiants ont écoulé au moins quatre kilos d'héroïne et de cocaïne par mois. Le chef du réseau serait un ancien footballeur professionnel franco-malien, Soufiane Koné, 29 ans, ancien membre de l'équipe de France Espoirs, qui de 1998 à 2002 a disputé 32 matches avec le club de Nancy (Ligue 1). Selon une source policière citée par l’AFP, il envoyait chaque mois 100.000 euros à des membres de sa famille au Mali. Soufiane Koné n'apparaissait jamais sur les lieux du trafic. Selon la police judiciaire (SRPJ) de Metz, il se contentait d’alimenter en stupéfiants ses lieutenants – eux aussi d’origine étrangère – qui contrôlaient un réseau de revendeurs et de guetteurs âgés de 18 à 30 ans. Le 28 mai au soir, les onze principaux membres du réseau ont été présentés à un juge d'instruction à Metz qui les a mis en examen pour détention et trafic de stupéfiants. Cette affaire prouve que, contrairement aux incantations des partisans de l’immigration, « l’intégration sociale » n’est pas suffisante pour empêcher des voyous immigrés de se lancer dans des activités criminelles autrement plus lucratives qu’un banal emploi – fût-ce de footballeur professionnel !

 

Envoyez-nous vos commentaires et réflexions sur l’actualité ! Par courrier postal : VOIX DES FRANÇAIS BP 4 75362 PARIS CEDEX 08 ou par Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.">courriel

Vous êtes ici : Accueil Courrier des lecteurs COURRIER DU NUMÉRO 125