COURRIER DU NUMÉRO 126

   

RACISME ANTI-BLANC ET MISOGYNIE

Le quotidien Présent du 25 août nous en raconte une bien bonne sur l’histoire d’un prévenu qui a refusé une avocate parce que « femme et blanche ».
« Le Réunionnais Bruno Trajean, qui comparaissait devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis de La Réunion pour avoir agressé sexuellement une mère de famille en présence de ses filles, a décidément tout pour plaire. Lors de l’audience, l’individu, âgé de 29 ans, a même stupéfié la cour en interdisant à l’avocate de permanence de le défendre sous prétexte que celle-ci est “une femme” et qu’elle est “blanche” » !
« Les faits qui lui étaient reprochés remontent à la mi-août lorsque (...) il croise le chemin d’une mère de famille se promenant paisiblement en compagnie de ses deux fillettes. Après avoir dépassé Trajean, qui se promène avec un sabre à canne à la main, la jeune femme sent soudain une main se poser sur ses fesses. Croyant que c’était l’une de ses filles et se retournant pour savoir ce que celle-ci voulait, elle devait alors s’apercevoir que c’était le pervers. “Accompagne-moi et j’te ferai des choses gentilles”, lui dit-il en lui prenant la main. Affolée, la mère demande à ses fillettes de s’enfuir puis, après avoir réussi à libérer sa main, court vers sa voiture et échappe à Trajean. Les gendarmes l’interpelleront un peu plus tard, en slip dans les broussailles…»
« Comparaissant devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis, l’accusé, qui avait déjà refusé de s’exprimer devant Hélène Bigot, substitut du procureur, devait encore interdire à Me Michèle Fourmilier, l’avocate de permanence, de le défendre – et même de lui adresser la parole – sous prétexte que celle-ci est “une femme” et qu’”elle est blanche”. “C’est pas un avocat, ça !”, devait-il lancer devant la Cour, à laquelle il venait d’expliquer : “La Réunion sa lé a nou sa. La Réunion lé pa aux gros blancs”…»
Finalement, Bruno Trajean, multirécidiviste, pour l’ensemble de son oeuvre, aura écopé de deux ans de prison ferme et d’une obligation de se soumettre à un suivi sociojudiciaire pendant cinq ans.
Sophie A. (Caen)

 

B.B. ET LES CRS CONTRE LA NOURRITURE HALAL !

Y aurait-il un réveil des forces vives de notre pauvre pays ? Les CRS refusent de manger halal et l’ont fait savoir par une lettre corsée du syndicat Unité SGP Police FO, dont voici quelques extraits : « Monsieur le commandant de la CRS 31, nous tenons à porter à votre connaissance nos interrogations et nos craintes concernant la dernière réunion de la commission du mess du 17 mars 2010. Effectivement, nous avons appris que nous mangions de la viande halal depuis un certain temps, et ceci à notre insu.» Après avoir évoqué la question de la liberté de culte « orientée ou orientalisée » par ces méthodes, le porte-parole du syndicat Unité SGP Police FO aborde la délicate question de la laïcité, rappelant « qu’une somme est prélevée, puis reversée à l’organisme certificateur halal (environ entre 0,20 et 0,50 euro au kilo) qui lui-même reverse à l’imam “territorialement compétent”. »
« Ces mêmes fonds sont utilisés pour l’entretien des mosquées, le culte musulman et des associations comme “AVS” et “Isla délice”. Certains groupuscules financent des réseaux islamistes terroristes comme l’INFRA et le GIA. Nous sommes contraints de reconnaître que manger halal c’est payer l’impôt islamiste. Nous ne voulons pas être complices de cette déviance, et nous ne voulons plus manger halal à l’avenir. (…) Laisser une telle situation perdurer reviendrait à reconnaître qu’il vaut mieux chez nous être musulman, que laïc, républicain, diabétique ou en surcharge pondérale (au vu des difficultés à valider nos différents régimes). Vous êtes, Monsieur le Commandant d’unité, le garant de nos libertés institutionnelles, et nous vous demandons (...) de mettre un terme à ces approvisionnements au rituel étranger à nos coutumes (…). »
Ce courrier rendu public a été suivi d’une lettre ouverte de Brigitte Bardot à Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur, où notre BB nationale prend la défense des CRS : « La réaction du directeur central des CRS [à ce courrier] ne s’est pas fait attendre, puisqu’il a exigé que cette lettre d’information soit immédiatement retirée des panneaux d’affichage, démontrant ainsi que les policiers de confession non musulmane n’avaient pas droit à la parole. »
« Je suis profondément choquée par cette attitude antidémocratique et antirépublicaine. Je suis bien placée pour savoir que, dans mon pays, s’opposer aux égorgements des animaux en toute conscience est suicidaire, mais je refuse de me taire et d’accepter l’inacceptable. Quelle hypocrisie de prétendre que la laïcité impose de respecter les croyances de chacun lorsque, dans le même temps, on impose à tous des rites qui ne répondent aux croyances que d’une minorité. »
« ll n’est plus question ici d’une “liberté” de choix puisque, trop souvent, il n’y a aucune alternative à la viande halal. C’est vrai pour les policiers, mais aussi pour tous les citoyens français qui ignorent les conditions dans lesquelles sont saignés les animaux qu’ils consomment.
Monsieur le Ministre, de toute évidence, les policiers non musulmans n’ont pas le droit de refuser de consommer de la viande halal, soit, mais imposeriez-vous à un musulman de consommer de la viande de porc tous les jours ? (…) Imposer, à tous, une viande halal est non seulement malhonnête, hypocrite, mais c’est aussi parfaitement illégal !
Monsieur le Ministre, les policiers étant muselés par leur direction, je me fais leur porte-parole auprès de vous et vous demande d’entendre leur légitime revendication, car, face à leur courage et leur détermination, vous ne devez pas faire preuve, une fois de plus, de lâcheté ! »
Vive BB ! Heureusement qu’à côté de VDF et des partis patriotiques, il reste encore quelques Français courageux ! Espérons que l’aspect dramatique de la situation contribuera à ouvrir les yeux des plus aveuglés par le cosmopolitisme.
Claudine L. (Nice)


Les drogués de la baballe

L’équipe « Black-Blanc-Beur », menée par Zinédine Zidane et Marcel Desailly et qui remporta la coupe du monde de football en 1998, fut rapidement portée au pinacle par les médias et la classe politique de l’époque, comme un modèle multiculturel victorieux.
Dans un ouvrage publié en août et titré L’implosion, Jean-Pierre Paclet, l’ancien médecin des Bleus, lance un pavé dans la mare : certains membres de cette formation multiethnique auraient été dopés !
L’ancien médecin des tricolores révèle que plusieurs joueurs présentaient des analyses de sang (taux d’hématocrites) très suspectes. Mais « la raison d’Etat l’a emporté. C’était plus fort que tout. Il n’y avait rien à faire… », écrit Jean- Pierre Paclet. Son ouvrage fourmille de révélations. Dans un entretien accordée à Aujourd’hui en France/Le Parisien le 25 août, l’auteur rappelle également la responsabilité de la FFF (Fédération française de football) dans la formation des racailles ayant pris progressivement le pouvoir dans cette équipe de football. « On oublie qu’Anelka n’a pas été éduqué par les cités de Trappes mais par la Fédération française et le football professionnel. Il y a dix ans, il était à Clairefontaine où on l’a formé ». Comme un certain Hatem Ben Arfa, traité de « voyou », le mois dernier… par son propre père !
En tout cas, cette révélation, après la honteuse défaite en Afrique du Sud, achève de faire exploser en miettes l’absurde mythe multiculturel.
Pascal G. (Paris)

 

Envoyez-nous vos commentaires et réflexions sur l’actualité ! Par courrier postal : VOIX DES FRANÇAIS BP 4 75362 PARIS CEDEX 08 ou par Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.">courriel

Vous êtes ici : Accueil Courrier des lecteurs COURRIER DU NUMÉRO 126