COURRIER DU NUMÉRO 128

 

LES ARMES DE GUERRE SE BANALISENT EN BANLIEUE !
Un article de France soir (du 22 novembre) m’apprend que les armes de guerre deviennent banales dans les banlieues. Apparemment, les bandes criminelles peuvent s’en procurer sans difficulté pour moins de 2.000 euros. Les noms cités dans cet article sont souvent d’origine arabe ou africaine, sauf, bien entendu, lorsqu’il s’agit des victimes (policiers, commerçants braqués, gardiens de camions blindés…) qui, étrangement, sont tous « de souche » !
Depuis 2002 qu’il est aux affaires, voilà le bilan de Sarkozy, qui devait passer les cités au Kärcher et qui, en fait, y a laissé les brigands prospérer, au point, dit l’article, que les armes, jadis utilisées plusieurs fois, sont désormais jetées après leur première utilisation. Cela complique évidemment la tâche des enquêteurs. Mais cela révèle aussi que se procurer des armes de guerre ne pose plus aucun problème. Voici, ci-dessous, quelques exemples, relevés par les journalistes, d’affaires où des fusils d’assaut ont été utilisés – pour le seul mois de novembre ! En attendant, notre police circule avec des pistolets qui tirent des balles en caoutchouc!

Le 15 novembre, la police judiciaire interpelle, à Noisy-le- Sec (Seine-Saint-Denis), quatre individus suspectés, notamment, de « trafic de stupéfiants ». Au domicile de l’un d’eux, ils découvrent 1,6 kg de cocaïne, 3,5 kg de cannabis et un kalachnikov. Le juge des libertés et de la détention (JLD) du tribunal de Bobigny décide pourtant de remettre ce dernier en liberté.
Le 14 novembre, un homme est grièvement blessé par balles aux Pennes-Mirabeau (Bouches-du- Rhône) par des individus circulant à bord de deux voitures et armés notamment de fusils d’assaut.
Le 12 novembre, un jeune homme est tué, devant plusieurs témoins, d’une rafale de kalachnikov à Marseille (Bouches-du-Rhône), dans la zone pavillonnaire de la Rose.
Le 9 novembre, deux hommes encagoulés et armés d’un fusil d’assaut braquent une bijouterie à Pertuis (Vaucluse). Les voleurs réussissent à s’enfuir avec trois sacs plein de bijoux. Montant : 250.000 euros.
Jacques M. (par courriel)

L’ARGENT DES FRANÇAIS PART POUR LES AFGHANS ILLÉGAUX.
Voici peut-être votre chiffre du mois ! Savez-vous que la France a dépensé plus de 2 millions d’euros depuis janvier 2009 pour aider les clandestins afghans à se réinstaller chez eux ? J’ai appris cela dans Le Figaro du 12 novembre et l’article reposait apparemment sur une note de travail du ministère de l’Immigration.
La France va également consacrer un million d’euros à la réinstallation des Roms expulsés.
Quelque 162 Afghans ont, selon la note, bénéficié d’une aide financière au retour de 2.000 euros par adulte en 2009 et 223 sur les dix premiers mois de 2010. Au total, ce sont 1,170 million d’euros qui ont été dépensés par l’Office français de l’immigration et de l’intégration pour ces retours volontaires. En attendant, les media nous parlent des clochards qui meurent de froid dans nos rues ! Que d’argent dépensé inutilement au détriment des nôtres !
En moyenne, disait le journal, si l’on compte la prime au départ, les tractations sur place avec le gouvernement Karzaï pour préparer la « réintégration » – que l’Afghanistan entrave d’ailleurs au maximum – la France a dépensé 5.000 euros par Afghan renvoyé… Imaginez ce que ferait un malheureux Français de souche avec cette somme.
Pascaline A. (Nogent-Sur-Marne)

La vérité finit toujours par triompher !
Les langues commencent à se délier face au réel. Rendez-vous compte, Le Courrier Picard vient de présenter de manière relativement objective un affrontement, début novembre, entre des « jeunes issus de la communauté maghrébine » et de jeunes Français qui ne souhaitaient pas se soumettre à la violence des caïds. L’affaire se passait sur la place centrale de Chauny, dans la Somme. Le quotidien picard a même donné la parole à un jeune patriote – « un garçon bien loin des clichés habituels et de la mouvance skinhead, qu'il rejette par ailleurs ». Voici la suite, directement tirée du journal : « Le garçon a voulu témoigner de sa vision, selon lui, d’un racisme antifrançais (…) Une vingtaine de jeunes se sont affrontés sur la place du marché couvert après des insultes à caractère raciste. Aurélien veut simplement ne plus se faire rabaisser : “Nous essayons de faire respecter notre identité. Quand on se fait insulter de sale Français, on n’est pas chez nous.” Lui ne veut pas se laisser faire et exprime son exaspération d’être victime de ce racisme : “Nous sommes des patriotes qui défendons nos valeurs”. Il a à coeur de relever la tête et de “ne pas se soumettre”, mais espère voir émerger “un respect mutuel sans cette violence”. Ce respect se situe avant tout au niveau de la culture française qu’il ne veut pas “voir bafouer par ces gens-là”. » Avouez que si ce n’est pas encore Minute ou La Voix des Français, ce n’est plus le genre d’articles orduriers et malhonnêtes que l’on pouvait lire naguère dans la presse quotidienne régionale ! Courage ! La vérité finit toujours par casser les digues.
Mireille A. (Amiens)

 

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