COURRIER DU NUMERO 134

L’AIDE MÉDICALE D’ETAT MISE AU SERVICE DE L’IMMIGRATION ILLÉGALE !
J’ai lu, dans Le Figaro du 10 juin, les extraits du rapport des députés chargés d’évaluer le dispositif d'aide médicale de l'État (AME) qui fournit à tous les clandestins une couverture médicale gratuite. On y apprend que cette prestation – créée en 1999 par le gouvernement de Lionel Jospin – bénéficie actuellement à 227.000 personnes en « situation irrégulière », soit une hausse de 185 % du nombre de bénéficiaires en 10 ans. Quant à son coût pour l'État, il a été multiplié par huit sur la décennie, pour atteindre 600 millions par an ! Et cela, en même temps que de plus en plus de Français de souche n’ont plus de ressources pour payer les soins nécessaires ! Cette situation scandaleuse ne semble pas inquiéter outre mesure les rapporteurs :

 loin de demander la suppression immédiate de l’AME, ils proposent seulement d’instaurer « un ticket d’entrée » de… 30 euros, montant dérisoire par rapport à la moyenne annuelle de 2.643 euros que coûte chacun de ses dits « sans-papiers » à l’Etat – et donc à nous tous. Par ailleurs, sauf à supposer que tous les clandestins qui arrivent en France sont gravement malades, ce montant moyen me semble excessivement élevé.
Le gouvernement devrait peut-être s’y intéresser de près au lieu de se contenter des mesurettes trompeuses qui ne servent qu’à rassurer des électeurs naïfs !

Richard B. (par courriel)

 

DES AIDES POUR CES IMMIGRÉS QUI FORCENT NOS FRONTIÈRES.
Habitant rue de la Fontaine-au-Roi, dans le XIe arrondissement de Paris, j’ai dû partager durant plusieurs jours les « joies » de voisinage avec une centaine de clandestins tunisiens occupant le gymnase local. Je suis étonné de voir qu’aucun des media n’a parlé du comportement absolument inacceptable de certains de ces « chances pour la France ». Les murs souillés de graffiti, les « incivilités » au quotidien, les agressions des commerçants, sans parler de bruits nocturnes : telle est la « reconnaissance » de ces migrants envers le pays qui les a (si bêtement) accueillis. Et maintenant ces braves gens se plaignent que l’« aide au retour au pays », que le gouvernement accorde à chaque Tunisien qui accepterait de rentrer chez lui aux frais des contribuables français, a baissé de 2.000 à 300 euros ! Quand j’ai été expulsé avec ma famille d’Algérie, en 1962, sous menace de mort – ce qui n’est quand même pas comparable à la situation actuelle des immigrés dont la plupart sont jeunes, en bonne santé et fuyant le pays qu’ils devraient aider à reconstruire – le gouvernement français ne nous a accordé aucune aide financière. Et mon grand-père, qui a dû aller se battre pour la France durant la guerre 14-18, a survécu et est retourné travailler à sa ferme, devait se lever tous les jours à 5 heures pour pouvoir nourrir ses enfants. Fallait-il bien accepter tous ces sacrifices pour voir la France arriver à la situation d’aujourd’hui !
Pascal F. (Paris)

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