LILLE : UN HÔPITAL OCCUPÉ PAR DES IMMIGRÉS ILLÉGAUX

Le mois de janvier a été un véritable cauchemar pour le CHRU de Lille (Nord) : l'hôpital a en effet été occupé tous les soirs par plus de 150 immigrés illégaux qui faisaient la grève de la faim depuis début novembre. Motif : les hors-la-loi exigeaient des papiers ! En pleine période hivernale, la situation est rapidement devenue intenable pour l’hôpital, où les patients affluent plus que de coutume.


Les immigrés illégaux avaient commencé par occuper le temple protestant de Lille-Fives, durant de longues semaines. Après en avoir été expulsés, ils ont cherché un nouveau point de chute : le CHRU est ainsi devenu la cible de ces hors-la-loi qui prétendaient... suivre une grève de la faim depuis la mi-novembre et réclamaient, par conséquent, des soins ! Comme d’habitude, les réseaux d’aide à l’immigration étaient à leurs côtés pour les aiguiller dans cette opération de communication. L’hôpital a ainsi indiqué dans un communiqué très elliptique que les immigrés irréguliers étaient périodiquement « déposés en groupe aux urgences en début de soirée ». Traduction : leurs complices gauchistes les ont amenés tous les jours faire des examens à l’hôpital. Examens qu’ils ne payent pas… car c’est l’aide médicale d’Etat (AME) qui prend en charge les soins quotidiens de cette centaine d'immigrés illégaux. On comprend mieux pourquoi notre pays subit un tel déficit !
L’hôpital a beau déplorer cette situation, il n’est pour lui « pas question de fermer les portes » aux hors-la-loi, explique Patrick Goldstein, chef du pôle des urgences au CHRU : « Nous assurons les examens pour ces personnes se disant grévistes de la faim, ils sont des patients comme les autres ». Les voyous restent pourtant aussi longtemps que possible, le temps de profiter des repas et des lits de l'établissement – pendant que des patients français doivent évacuer les lieux précocement ou patienter en attendant la libération d'un lit. Ce travail énorme s'est ainsi renouvelé chaque soir, durant six semaines !
Hélas, le chantage est une solution qui fonctionne à merveille avec les autorités, littéralement paralysées par le politiquement correct : la préfecture du Nord a ainsi annoncé des « avancées » dans le dossier des immigrés grévistes. Les hors-la-loi ont donc cessé leur mouvement et s’apprêtent à recevoir leur titre de séjour...

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