IMMIGRATION DE MASSE

Polémia décrypte la catastrophe de l’immigration

Le cercle de réflexion Polémia (www.polemia.com) a récemment produit une analyse fouillée du poids de l’immigration de masse en France. Nous en reproduisons les passages les plus importants.

Non, l’immigration de masse n’est pas une chance pour la France ! C’est une catastrophe. Une grande catastrophe : identitaire, sécuritaire, scolaire, administrative, sanitaire, économique, sociale, budgétaire, environnementale, politique, diplomatique, démographique. C’est aussi une catastrophe pour les libertés. Polémia rappelle les faits, dans toute leur réalité, c’est-à-dire dans toute leur brutalité. Sans haine, bien sûr, mais aussi sans faux-semblants, ni tartufferies, ni concessions à la bien-pensance.

 

CATASTROPHE IDENTITAIRE
Beaucoup de Français de souche européenne se sentent devenir étrangers dans leur propre pays. Dans certains quartiers, ils deviennent une minorité opprimée. Des coutumes étrangères – voile islamique, boubous, djellabas – leur sont imposées dans l’espace public. Des règles alimentaires musulmanes s’implantent dans leurs abattoirs et s’imposent dans leurs assiettes. Les paysages urbains sont transformés par l’édification de mosquées monumentales, expression d’une prise de possession symbolique du territoire français. Les programmes scolaires et leurs mises en oeuvre sont « adaptés » aux exigences de minorités venues d’ailleurs. Les principes républicains (laïcité, mérite, égalité de droit) sont bafoués. La France devient multiculturelle, donc multiconflictuelle.

CATASTROPHE SÉCURITAIRE
Du strict point de vue des faits, il est incontestable que la très grande majorité des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes [voir les précédents numéros de La Voix des Français consacrés aux groupes criminels ethniques qui sévissent sur notre territoire, ndlr]. Les violences faites aux femmes, les agressions dans les écoles, les rencontres sportives entre amateurs qui tournent mal sont concentrées dans les quartiers de l’immigration et les périphéries. Dans les prisons, deux tiers des personnes incarcérées ne seraient pas des Français de souche.

CATASTROPHE POUR LES LIBERTÉS
La montée de l’insécurité liée à l’immigration limite, au quotidien, la liberté d’aller et venir des honnêtes citoyens. La lutte contre l’insécurité n’a pas porté sur ses vraies causes, mais a provoqué une multiplication des lois sécuritaires potentiellement dangereuses pour les libertés. Pour imposer, sans débat et sans consultation des Français, une politique migratoire insensée, les gouvernements successifs ont fait voter des lois liberticides : lois Pleven (1972), Gayssot (1990), Toubon (1994), Taubira (2002), qui sont des atteintes successives à la liberté d’expression, en même temps qu’une véritable régression civilisationnelle.

CATASTROPHE SCOLAIRE
Les réformes pédagogiques et le collège unique ont débouché sur une dégradation de l’acquisition des connaissances par les élèves. Ce phénomène est grandement amplifié par l’hétérogénéité croissante des classes. L’affectation des enseignants débutants dans les banlieues de l’immigration rend leur recrutement de plus en plus difficile et conduit souvent au découragement de ceux qui ont choisi le métier de professeur. Cet ensemble de faits explique qu’aux tests internationaux PISA, les performances des élèves scolarisés en France déclinent davantage que dans les pays voisins. A contrario, c’est la Finlande, pays européen le plus homogène ethniquement, qui obtient les meilleurs résultats internationaux.

CATASTROPHE POUR LA SANTÉ PUBLIQUE
Compte tenu des contraintes budgétaires qui l’encadrent et de l’allongement de la vie, le système sanitaire français est au bord de la rupture financière. L’immigration apporte des déséquilibres supplémentaires : un nombre croissant de bénéficiaires non cotisants (CMU, CMU complémentaire, aide médicale d’Etat), l’essor de maladies rares en France (tuberculose, SIDA), mais fréquentes dans les départements à forte immigration africaine (93, 95 notamment).

CATASTROPHE POUR L’EMPLOI
Le chômage dépasse le seuil de 10 % de la population active, 15 % en prenant en compte le chômage partiel. C’est une cause majeure de malaise social et de déficit budgétaire. L’immigration n’est pas seule en cause, mais amplifie le phénomène. Le taux de chômage des étrangers noirs ou maghrébins est le double du taux français, selon l’INSEE.

CATASTROPHE BUDGÉTAIRE
Dans un pays en sous-emploi, l’immigration est un boulet économique : toute entrée de personnes supplémentaires sur le territoire accroît les charges sociales et les frais généraux de la nation, sans recettes correspondantes. En appliquant les modes de calcul du prix Nobel d'économie Maurice Allais, on peut estimer à 18 milliards d’euros, chaque année, les coûts d’investissement (logements, hôpitaux, écoles, transports, prisons) et les charges de fonctionnement (écoles, aides et prestations sociales) liés à l’entrée de plus de 200.000 étrangers supplémentaires.

CATASTROPHE POUR LA SOUVERAINETÉ FRANÇAISE
A terme, nos options de politique étrangère risquent d’être prises au regard des réactions éventuelles de minorités arabophones ou islamisées présentes sur notre sol ; d’ores et déjà, celles-ci sont la cible de spectaculaires opérations d’influence de la part des Etats-Unis et du Qatar, sans compter le financement de mosquées par l’Arabie Saoudite, le Maroc, l’Algérie ou la Turquie.

CATASTROPHE DÉMOGRAPHIQUE
A moyen et long terme, c’est à une substitution de population que nous assistons. C’est déjà le cas en Seine-Saint-Denis, où plus de la moitié de la population est noire ou maghrébine. C’est aussi le cas dans la grande majorité des 800 quartiers dits « sensibles » répertoriés sur notre territoire. Ce pourrait être, à terme, le cas de l’ensemble de la France menacée de « grand remplacement », selon la juste expression de l’écrivain Renaud Camus. La catastrophe démographique est évidemment de loin la plus grave, car elle est potentiellement irréversible.

FAIRE FACE À LA CRISE EXISTENTIELLE DU PEUPLE FRANÇAIS
Certes, l’ensemble des difficultés françaises ne saurait être réduit à l’immigration. La crise existentielle du peuple français est la cause majeure de l’abaissement de notre pays. Mais il serait vain d’envisager – par aveuglement, paresse intellectuelle, lâcheté morale, opportunisme médiatique ou cynisme politique – un quelconque relèvement français (ou européen) sans que soit posée la question de l’immigration. Pour une raison simple : oser s’attaquer au problème de l’immigration, c’est la première étape du redressement, car c’est le tabou le plus fort qu’il faut briser, celui de la mauvaise conscience et de la repentance.

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