« NON, L’ISLAMISATION DE LA FRANCE N’EST PAS INÉLUCTABLE ! »

« NON, L’ISLAMISATION DE LA FRANCE N’EST  PAS INÉLUCTABLE ! »

Par Julien Sanchez Membre du comité central du Front national

 

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Depuis plusieurs mois, Julien Sanchez a les honneurs des journaux et télévisions. Tout juste âgé de 22 ans, ce jeune membre prometteur du comité central et responsable du Front national en Seine-et-Marne s’est fait connaître en prenant la tête d’un combat contre le financement public d’un projet de construction d’école islamique. Fédérateur, il rassemble les patriotes très largement au-delà de son parti. Nous lui donnons la parole.
Construction de mosquées par centaines, de centres culturels musulmans par dizaines, horaires pour les femmes musulmanes dans les piscines, suppression totale du porc pour nos enfants dans les cantines scolaires : qu’on se le dise, l’islamisation de la France se fait aujourd’hui à marche rapide et forcée.
Nouvelle étape : les projets d’écoles coraniques. A Chelles (ville de 46.000 habitants, qui sera bientôt la première ville de Seine-et-Marne), où je suis responsable du Front national depuis deux ans, un maire socialiste, Jean-Paul Planchou, actuel président du groupe P.S. au conseil régional d’Ile-de-France et ancien député, a proposé au président de l’association gérant la mosquée locale deux terrains pour accueillir un groupe scolaire islamique de 12.000 m2 (rien que ça) : un terrain privé… et un terrain public ! Et cela, au mépris de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat de 1905 qui dispose que « la République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ».
Ce maire est un récidiviste : en 2006, il avait déjà cédé en conseil municipal un terrain public de 1.000 m2 pour le prix dérisoire de 65 euros le m2 [N.d.l.r. : approximativement 7 fois moins que la norme] en vue d’y construire un centre culturel musulman. Il n’avait en face aucune opposition réelle. Et c’est bien là le problème… Lorsque leurs votes ne sont pas idéologiques, P.S. et U.M.P. avancent sur ces dossiers avec le même intérêt : un intérêtélectoral. Multipliant les promesses diverses par électoralisme, ils refusent de s’opposer au dossier qui nous mobilise, tellement ils redoutent de paraître “politiquement incorrects”.
Nous sommes donc les seuls, nous, militants de la droite nationale et patriote, à pouvoir bloquer ces dossiers.
Il en va d’ailleurs de notre responsabilité morale et historique ! Si nous pouvons, aujourd’hui, aimer la France, c’est parce que, dans son passé, des hommes et des femmes se sont levés pour qu’elle soit la France. Désormais, c’est à nous de nous lever pour qu’elle reste la France !
C’est pourquoi j’ai lancé plusieurs actions de terrain et notamment plusieurs tracts, ainsi qu’une pétition. Signée et parrainée par Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch et Marine Le Pen, la pétition est distribuée en ce moment dans tous les foyers des quatre communes de la communauté d’agglomération de Chelles et l’on peut aussi la signer sur Internet (www.ecole-musulmanechelles. fr) : elle a déjà recueilli 6.000 signatures. Et j’en espère 100.000 dans toute la France.

NOUS NE SOMMES PAS DANS UN PAYS MUSULMAN
Afin de montrer à ce maire collabo de l’islam que nous ne nous laisserons pas faire, je me suis également rendu, le 27 mars, au conseil municipal de la ville de Chelles. - 2Accompagné d’une délégation d’habitants, mais aussi d’élus d’Ile-de-France du Front national (et notamment Jean-Michel Dubois, tête de liste aux élections européennes, Marie-Christine Arnautu, Huguette Fatna et Alexandre Simonnot), de membres de Convergences nationales ou du Projet Apache [voir VDF 113], nous étions ce soir-là les plus nombreux. Le maire de Chelles a donc été contraint de nous laisser nous exprimer.
J’ai ainsi pu lui poser les questions que se posent les habitants : « Où est situé le terrain que vous avez promis ? Pourquoi vouloir le réserver à un projet communautaire, alors que l’on pourrait construire beaucoup d’équipements utiles à tous sur 12.000 m2 ? » J’ai également rappelé au maire que nous n’étions pas dans un pays musulman et que, contrairement à ce qu’il prétendait, une école islamique n’est pas et ne sera jamais en France un « équipement à but de service public ».
Le maire a refusé de répondre à notre délégation, en invoquant... le respect de la démocratie. Cela ne s’invente pas ! La vidéo de cette intervention mouvementée est consultable sur notre site Internet. Elle a déjà été vue plus de 20.000 fois en un mois.

FAIRE DE CHELLES UN EXEMPLE DE RÉSISTANCE À L’ISLAMISATION
Depuis la révélation de ce projet de construction dans Le Parisien, il y a deux mois et demi, les militants du Front national sont donc sur le terrain pour informer la population et empêcher cette école islamique de voir le jour (à l’heure où l’on supprime, en parallèle, des classes dans le public).
Aujourd’hui, j’en appelle à vous : à votre soutien. Car si une école islamique (qui plus est sur terrain public) voyait le jour aujourd’hui à Chelles, ce serait un signal puissant donné aux musulmans et une autre verrait le jour demain chez vous. Nous sommes tous
concernés !
Voulons-nous voir notre pays devenir toujours plus multicommunautaire et multiconfessionnel à domination islamique ou voulons-nous le respect de la Loi de 1905 sur la laïcité et la reconnaissance éternelle de nos racines chrétiennes ?
Non, l’islamisation de la France n’est pas inéluctable !
Oui, nous pouvons la stopper en nous faisant respecter et en montrant aux politicards en place que les Français en France ne sont pas juste une minorité ou un petit groupe de pression !
En intervenant dans les conseils municipaux de chaque commune dont le maire aurait des attitudes contraires aux lois de la République, en informant l’ensemble des populations par voie de tracts, par le bouche à oreille.
Alors, tous ensemble, quelles que soient nos chapelles, il faut que nous nous rassemblions pour faire de Chelles un exemple de résistance !
Sur le terrain, comme sur Internet, il faut que nous fassions le plus de bruit possible pour alerter les citoyens, les media.
Nous avons une identité à défendre et nous devons montrer qu’il n’y a pas que les défenseurs des immigrés illégaux qui peuvent s’organiser en France.
Les menaces que j’ai reçues ne me feront pas reculer !

Il est possible d’empêcher le financement public des mosquées !

1 par semaine : c’est la cadence d’ouverture des bâtiments musulmans (lieux de culte, écoles, abattoirs halal...) en France selon les estimations du ministère de l’Intérieur en 2007. Cela s’inscrit dans une démarche délibérée de collaboration entre l’Etat français et les musulmans : dans un courrier adressé le 16 octobre 2007 à Dalil Boubakeur, président du Conseil français du culte musulman et de la Fondation des oeuvres de l’islam de France, le ministre de l’Intérieur de l’époque, Michèle Alliot-Marie affirmait : « L’Etat aidera la Fondation à élaborer un schéma directeur pour le développement des lieux de culte en fonction des données démographiques ». Qu’en jolis termes tout cela est dit. L’ennui, c’est que cette démarche est contraire à la loi de séparation des Eglises et de l’Etat de 1905, et notamment son article 2 : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'État, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes. Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons. » Les collaborateurs de l’islam tentent de contourner cette loi en finançant des associations « culturelles » et non cultuelles et en octroyant un bail emphytéotique aux groupements musulmans. Le bail emphytéotique est un bail immobilier de très longue durée, le plus souvent 99 ans, conférant au preneur « un droit réel sur la chose donnée à bail, à charge pour lui d’améliorer le fonds ». Le bénéficiaire d’un tel bail est quasi propriétaire du bien. Une jurisprudence permet toutefois d’espérer pouvoir empêcher ces actes de collaboration entre certains élus de la République et les musulmans. En avril 2007, le tribunal administratif de Marseille a annulé une délibération municipale qui mettait à la disposition d'une association cultuelle, sous la forme d'un bail emphytéotique, un terrain pour la construction d'une grande mosquée dans la cité phocéenne. « Ledit bail emphytéotique administratif litigieux doit être regardé comme accordant une subvention à l'association cultuelle », estimait le jugement. Signé pour une durée de 99 ans, le bail prévoyait le versement d'un loyer symbolique de 300 euros par an. Le tribunal a estimé que le projet enfreignait l'article 2 de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l'Etat. Il a suivi les conclusions du commissaire du gouvernement qui avait jugé le prix de ce loyer « anormalement bas » par rapport au prix du marché immobilier. Il a également mis en exergue un « manque d'information des élus » auxquels n'avait pas été communiquée la « valeur fiscale » du terrain.

 

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