IL FAUT ARRÊTER L’IMMIGRATION sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage

Voici une lettre pour le moins étonnante de Georges Marchais, secrétaire général du Parti communiste d’alors, reproduite dans L’Humanité du 6 janvier 1981. Elle est adressée au recteur de la mosquée de Paris, qui venait de s’indigner contre la destruction au bulldozer d’un foyer de 300 travailleurs maliens par le maire communiste de Vitry, Paul Mercieca. Extraits.

Je vous le déclare nettement : oui, la vérité des faits me conduit à approuver, sans réserve, la riposte de mon ami Paul Mercieca. (…) Plus généralement, j’approuve son refus de laisser s’accroître dans sa commune le nombre, déjà élevé, de travailleurs immigrés.
En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leur familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables.
La cote d’alerte est atteinte. (…) C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage.
Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il faut résoudre l’important problème posé dans la vie locale française par l’immigration. Se trouvent entassés dans ce qu’il faut bien appeler des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela crée des tensions, et parfois des heurts entre immigrés des divers pays. Cela rend difficiles leurs relations avec les Français. Quand la concentration devient très importante (…), la crise du logement s’aggrave. Les HLM font cruellement défaut et de nombreuses familles françaises ne peuvent y accéder. Les charges d’aide sociale nécessaires pour les familles immigrées plongées dans la misère deviennent insupportables pour les budgets des communes.
Trente ans après, qui, à gauche ou à droite, oserait ainsi affirmer la vérité ? Evidemment, le PCF n’a hélas pas longtemps tenu cette ligne de bon sens... Sachant la vérité, il n’en est que plus coupable d’avoir honteusement retourné sa veste.

 

Hongrie : face à la « criminalité tsigane », les patrouilles d’autodéfense

populaire A la suite d’un meurtre perpétré par des Romanichels, les habitants de la commune de Gyöngyöspata, dans le nord de la Hongrie, ont formés des patrouilles d’autodéfense populaire. Liés au Jobbik, le parti de droite radicale, ces citoyens pallient l’incapacité du gouvernement a assurer la sécurité de ses administrés contre la criminalité (majoritairement due à des brigands tsiganes).
L’Etat a reculé ces dernières années, particulièrement dans les villages où l’on n’a pas vu la police depuis bien longtemps. Le Jobbik avait assuré à ces populations qu’il les protégerait « contre la criminalité tsigane ». Le constat est clair : les autorités ont failli à assurer la sécurité. Le Jobbik met ses théories en pratique au moment où les tensions sont de plus en plus fortes entre les Romanichels et le reste de la population locale.

 

 

LES PETITS FAITS VRAIS

de l’immigration

10 millions
C’est le nombre d’immigrés que les économistes socialistes Karine Berger et Valérie Rabault souhaitent faire venir en France pour « pérenniser l’économie française ». Leur étude, citée par le quotidien La Tribune, conclut que l’immigration est « la planche de salut » de la France. Pour les deux gauchistes, il faudrait désormais faire entrer 300.000 immigrés par an, soit 10 millions de personnes d’ici 2040, cela afin « de régénérer la population, permettre à notre économie de conserver sa capacité d’innovation et pérenniser notre système de protection sociale ». L’ennui, c’est que les immigrés sont les principaux bénéficiaires des prestations sociales et l’immigration non maîtrisée l’une des raisons de l’explosion du déficit de la sécurité sociale. Cette étude pourrait prêter à sourire si elle ne réservait quelques surprises comme celle-ci : selon Valérie Rabault, la « ghettoïsation », c’est-à-dire la constitution de quartiers mono-ethniques sans Français de souche, aurait coûté à l’économie française 80 milliards d’euros, soit 3,8 % de son PIB !

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