L’EXPLOSION DE LA DÉLINQUANCE étrangère en Europe


Alerte rouge en Allemagne : « Les étrangers délinquants toujours plus violents ! », tel était le titre du quotidien populaire allemand Bild, le 12 février. En 2011, d’après les informations recueillies par ce quotidien auprès de sources policières, le nombre de crimes et délits politiques commis par des étrangers a augmenté de 30 % par rapport à 2010. Les principaux responsables de ces violences seraient des membres du parti kurde PKK, qui a fait de l’Allemagne un de ses théâtres d’opérations contre le gouvernement turc : en septembre 2011, 30 militants du PKK avaient ainsi envahi le siège de la télévision RTL à Cologne pour exiger la transmission d’un appel à la libération de leur fondateur, Abdullah Öcalan, emprisonné en Turquie. De manière générale, les étrangers seraient également responsables de la majeure partie des faits de violence, en augmentation de 54 % l’année dernière. Les activistes politiques étrangers, par la violence de leurs manifestations ou de leurs actions quasi terroristes, ont également fait augmenter de 40 % (par rapport à 2010) le nombre des personnes blessées.
Une dizaine de jours plus tard – le 23 février –, un autre cri d’alarme était poussé, en Suisse cette fois, dans le quotidien Le Matin : « Les voyous sans papiers font exploser la délinquance ». Dans le canton de Genève, près de 400 Maghrébins sans papiers – toujours les mêmes – sont régulièrement arrêtés par la police. Leur moyenne d’âge se situe entre 20 et 35 ans. Certains ont jusqu’à vingt ou trente inscriptions au casier judiciaire. Parmi ce noyau de 380 personnes recensées par la police comme les principaux responsables de la violence de rue, certains se prétendent Algériens, mais sont probablement Marocains. « Cette population qui, lorsqu’elle est arrêtée, est bien entendu dépourvue de papiers d’identité, ne donne pas souvent sa véritable nationalité, constate Jean Sanchez, chef de la police adjoint. La plupart sont Algériens, mais se prétendent Irakiens, Palestiniens ou Libyens. Ils ne sont donc pas expulsables parce que ces pays sont en guerre. Ils peuvent aussi être d’autres nationalités et se dire Algériens, car les accords de réadmission avec ce pays ne sont pas respectés. » Cette population criminogène vit le plus souvent aux crochets des contribuables suisses.
Leurs forfaits vont du vol à la tire au cambriolage, en passant par le vol à l’arrachée, le trafic de haschisch et les brigandages. Une première vague de cette immigration criminogène est arrivée dans les années 1990. Depuis le milieu des années 2000, la police genevoise a constaté l’arrivée de nouveaux voyous allogènes, toujours plus nombreux, toujours plus violents, certains sous l’emprise de médicaments, de drogue ou d’alcool et n’hésitant pas à s’en prendre à la police.
Et en France ? Tout va bien, rassurez-vous : les statistiques ethniques sont interdites.
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