RESISTANT !
L’Union de défense des citoyens et contribuables (UDCC), association récemment fondée qui a engagé des poursuites contre le maire de Paris, Bertrand Delanoë, accusé d’avoir détourné la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat pour financer, avec l’argent des contribuables, un gigantesque centre islamique qui pourrait comprendre deux mosquées et un Institut des cultures d’islam (ICI), le tout pour la somme pharaonique de 22 millions d’euros !
Sur son site Internet, l’association dénonce :
« L’UDCC a vu le jour en réaction au projet de construction, dans le 18e arrondissement de Paris, de l’Institut des cultures d’islam. Le maire de Paris, M. Bertrand Delanoë, connu pour sa politique communautariste et clientéliste, pousse depuis plusieurs années, dans l’indifférence des élus municipaux de tous bords, un projet de complexe islamique grandiose, dont le financement se fera quasi intégralement aux frais du contribuable. Grâce à un astucieux tour de passe-passe sémantique, dans lequel le “cultuel” (le religieux) devient “culturel”, et grâce à un montage financier destiné à tromper l’observateur peu averti, M. Delanoë contourne délibérément la loi de 1905, qui interdit le financement des cultes. M. Delanoë met également en danger les Parisiens en omettant de procéder à un audit sérieux du contenu doctrinal qui va être diffusé dans la double mosquée de l’ICI, alors même que les deux associations musulmanes bénéficiaires du projet, ou certains de leurs sympathisants, diffusent depuis des années, et sans se cacher, un islam promouvant la charia (loi islamique), non compatible avec les lois de la république française. Selon nous, le projet de l’ICI présente toutes les caractéristiques de l’illégalité, et sa réalisation constitue un abus de pouvoir manifeste de la part de M. Delanoë. » Action à suivre et à soutenir activement
COLLABO
L’abbé Gabriel Berthe, qui, le 26 octobre, dans le cadre d'une rencontre interreligieuse en souvenir des 25 ans de la grande réunion d’Assise, a cru bon de placer le Coran sur l’autel de l’église du Saint-Sauveur d’Arras ! En compagnie de l’évêque d’Arras, Mgr Jeager, l’abbé y a accueilli des représentants musulmans, juifs, orthodoxes, protestants, anglicans. Chacun y est allé de sa prière, faisant de cette cérémonie une pure manifestation relativiste. Et chaque religion a apporté un objet sacré qui a été placé sur l’autel par l’abbé… C’est ainsi qu’à côté d’une icône et de la Bible, on a pu y voir le Coran.
Le site Internet du diocèse d’Arras raconte fièrement cette mascarade intitulée « Soirée oecuménique Mohammed et Gabriel » : « Dans un même élan, des croyants de plusieurs confessions se sont rassemblés “au nom de Dieu le clément et le miséricordieux” (Coran). L’abbé Gabriel Berthe est heureux d’accueillir et de présenter chacune des communautés.
« Une procession s’avance alors dans l’église : le cierge pascal, les livres sacrés, l’icône portés par un membre de chaque communauté : église orthodoxe, culte musulman, église réformée, église catholique. Puis, pour nourrir ce temps en commun, un bouquet de textes sacrés est proposé : Mohammed Messaoudi [l’imam] puise cette sourate dans le Coran : “…sont égaux pour Lui celui parmi vous qui tient secrète sa Parole et celui qui la divulgue…” »
Il aurait pu en choisir d’autres, tels les appels au meurtre envers les chrétiens, relayées dans toutes les mosquées du monde : « Combattez les infidèles [notamment les chrétiens] jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de sédition, et que le culte soit rendu à Allah en sa totalité » (Coran 8.39) ; « Vous n'avez pas de maître en dehors d'Allah et de son prophète et de ceux qui croient » (Coran 5.55) ; « Ô les croyants ! N'établissez des liens d'amitié qu'entre vous, les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre : ils veulent votre perte » (Coran 3.118) ; « Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide pas les gens injustes » (Coran 5.51). L’abbé Berthe devrait, incontestablement, mieux choisir ses amis et, en tout cas, épargner à ses fidèles de telles ignominies.
