RESISTANT !

Marine Le Pen, présidente du Front national, qui a fort justement critiqué les gaspillages de l'Etat en matière de subventions. En pleine crise économique, la candidate à la présidentielle a ainsi dressé la liste des associations arrosées avec l’argent du contribuable et qu’il faudrait cesser de financer. Au premier rang figurent les organisations « favorisant le repli communautaire » : France Terre d'Asile, « association immigrationniste par excellence », qui a reçu, pour l’année 2010, 602.000 euros de subventions publiques ; SOS-Racisme (490.000 euros), Ni putes ni soumises (276.000 euros), l’Assfam, Service social et familial des Migrants (239.460 euros), Unafo, qui rassemble nombre d’associations gestionnaires de foyers de travailleurs migrants (188.605 euros).

Ont été également cités pêle-mêle le Centre national des Marocains de France (12.000 euros), Fasti Solidarité immigrés (20.000 euros), le Haut conseil des Maliens de France (25.000 euros), et autres associations immigrationnistes… Pour Marine Le Pen, « ces associations ont le droit d’exister, bien sûr », mais pas d'être financées par l’Etat : « Leur caractère clairement communautariste, plus ou moins explicitement exprimé dans leur objet social, ou de soutien au développement d’une immigration encore plus importante, devrait leur interdire de pouvoir bénéficier de subventions publiques ». A ses yeux, cet argent pourrait fort bien être utilisé autrement : « 100.000 euros de subventions annuelles, c’est l’équivalent du coût de 11 minimums vieillesse par an, 500.000 euros de subventions annuelles, c’est le coût d’achat et de maintenance d’un à deux IRM par an ».

 

COLLABO

Richard Descoings, directeur de l’Institut de Sciences politiques de Paris, qui va « profondément réformer, pour 2013, [le] concours d'entrée en première année ». Le principal objectif de cette « modification des procédures de sélection » est de parvenir à une « diversification accrue » des profils des étudiants. Le recrutement sur critères ethniques (déguisé sous des critères sociaux) prime désormais de manière affichée sur le mérite des élèves. Ainsi, pour faire entrer plus facilement les candidats issus de l’immigration, les épreuves écrites se dérouleront désormais avant le baccalauréat, en mars, et non après ; l'admission directe avec mention très bien au bac est supprimée ; en revanche, une appréciation sur dossier est créée au niveau de l'admissibilité, permettant de « repêcher » des candidats aux résultats insuffisants. Un entretien et une épreuve orale de langue étrangère permettront aux examinateurs d’affiner leur discrimination, de visu, en faveur des immigrés.

Vous êtes ici : Accueil Résistant-Collabo RESISTANT !