RESISTANT !

Richard Millet, écrivain et éditeur, qui publie, pour cette rentrée littéraire, trois nouveaux ouvrages loin de faire l’unanimité au sein de l’intelligentsia médiatique. Au point que des écrivains tels Tahar Ben Jelloun ou Annie Ernaux réclament son départ de Gallimard. Le premier ouvrage se compose de deux parties : Langue fantôme, consacré à l’appauvrissement de la langue française ; et Éloge littéraire d’Anders Breivik, qui analyse les réflexions et les actes de l’auteur de la tuerie d’Utoya, en Norvège, le 22 juillet 2011. Si Richard Millet assure qu’il « n'approuve pas les actes commis le 22 juillet 2011 en Norvège » – évidemment ! –, il enchaîne sur la « perfection formelle » de l’acte et s'étend sur les motivations d'Anders Breivik, que celui-ci avait développées dans un manifeste de mille cinq cents pages.
Pour Millet, ce manifeste « contient des analyses pertinentes de l'identité nationale (...), car Breivik nous rappelle, d'une manière dont la signature dessert la pensée (ou même l'abolit) qu'une guerre civile est en cours en Europe ». Pour Millet, la tuerie d’Utoya est la conséquence logique des dérives de la société multiraciale.

Le second ouvrage, De l’antiracisme comme terreur littéraire, fait un constat simple : dans la société actuelle, qui s’oppose à la bien-pensance est illico accusé de racisme et condamné à la mort sociale. Richard Millet en a fait les frais pour avoir déclaré sur un plateau de télévision « Pour moi, la station Châtelet- Les Halles à 6 h du soir, c’est le cauchemar absolu, surtout quand je suis le seul blanc ». Deux ouvrages à rebrousse-poil dans un univers littéraire où la polémique n’a droit de cité que si elle est parfaitement formatée... Le temps de la politique est finie, maintenant place à l’action » : tels sont les mâles propos tenus par le premier ministre australien, Mme Julia Gillard (photo). L’Australie vient de tirer un trait sur la tolérance en matière d’immigration

 

 

Cécile Duflot, ministre du Logement, qui a pris des positions désastreuses sur le dossier des Romanichels (voir pages 2 et 3). Face aux graves troubles occasionnés par ces populations, elle se cramponne à la culture de l’excuse et entend régler tous les problèmes avec « du social ». Elle a considérablement influencé la circulaire gouvernementale sur la question romanichelle publiée le 29 août. Ainsi, c’est à elle que l’on doit ces lignes : « Aucune expulsion ne doit être menée si des solutions alternatives, notamment en matière de logement, n’ont pas été examinées ». Le texte insiste aussi sur la coopération que les préfets doivent entamer avec « la sphère associative », autrement dit, les associations de défense des immigrés illégaux. Madame Duflot a également imposé le principe « de la continuité de l’accès aux droits des personnes en matière de scolarisation, de santé, de logement ».
A cause d’elle, la France est désormais le pays d’Europe le plus faible à l’égard des immigrés romanichels. Nul doute que certains malfaiteurs sauront très vite en tirer profit.
Non contente de ce coup d’éclat, Cécile Duflot vient de proposer une nouvelle mesure catastrophique, avec son projet de loi sur le logement portant à 25 % le nombre de logements ultra-sociaux réservés en majorité aux immigrés dans chaque commune, et en multipliant par cinq les pénalités pour les mairies récalcitrantes ! Ce faisant, loin de favoriser des populations modestes, elle contribue à faire naître des ghettos ethniques dans toutes les communes. Cela pourrait rapidement avoir des conséquences brutales en matière de violences urbaines

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