RESISTANT

Gérald Pichon, courageux auteur du livre Sale Blanc ! Chroniques d’un racisme qui n’existe pas, publié aux éditions Idées. Gérald Pichon y relate ce racisme longtemps dénoncé comme un fantasme. Il décrypte la haine antiblanche – niée par nos élites politiques et médiatiques – et recense des agressions à foison, des insultes, des viols, prouvant que cette forme particulière de haine raciale existe bel et bien.
Mais, ainsi que l’explique l’auteur, il n'est de pire aveugle que celui qui ne veut point voir. Aux yeux des pseudo-élites de la superclasse mondiale, affirmer être victime de racisme anti-blancs revient à refuser « le sacro-saint vivre-ensemble, érigé en valeur suprême de la société multiculturelle ». A l’heure où de grossières et opportunistes tentatives de récupération politicienne se font entendre du côté de l'UMP,

 

l’ouvrage Sale Blanc ! Chroniques d’un racisme qui n’existe pas vient rendre compte, témoignages et chiffres à l’appui, d’une réalité méconnue et volontairement dissimulée par les gouvernements de la fausse droite comme de la gauche officielle depuis des décennies. Qui se ressemble, s’assemble » : on devrait toujours écouter les adages populaires ! Les travaux récents de deux sociologues, Beate Collet, maître de conférences à l'université Paris-Sorbonne, et Emmanuelle Santelli, chargée de recherche au CNRS, confirment cet adage : en France, les enfants d'immigrés choisissent généralement un conjoint de même origine. Les deux chercheuses regrettent que les mariages mixtes, « symboles d’une intégration réussie », reculent. Seraient en cause le poids des traditions héritées de leurs parents, mais également... l’amour. Car on aime les personnes avec qui l'on partage des affinités. Les deux sociologues expliquent que « choisir quelqu'un de sa communauté d'origine permet à la fois de tenir compte des désirs ou volontés des parents et de ses propres aspirations. » Leurs arguments sont donc en totale opposition avec le culte du métissage imposé et des « différences qui enrichissent ». Car, traditionnellement, le mariage est l'affaire des parents et de la communauté élargie : il est « arrangé ». L’influence moderne a complètement changé la donne dans les familles françaises de souche. Mais, dans les familles immigrées, bien que l’influence occidentale commence à éroder ces traditions, l’endogamie reste une règle tacite. Loin du dogme du politiquement correct, qui voudrait faire croire que les immigrés n’ont pas d’attaches dans leur pays d’origine et vivent chez nous coupés de toutes racines, il ressort de cette enquête que nombre d’unions se nouent pendant les vacances d’été, « au bled ». Les enfants d’immigrés se marient avec des personnes de la même ethnie, originaires du même village ou, au moins, de la même civilisation. En Europe, une famille algérienne peut accepter un Tunisien en son sein, tant qu’il est musulman. Ce n’est donc pas le fait de vivre au voisinage dans telle ou telle banlieue qui compte pour ces unions, mais bien l’appartenance ethnique des conjoints. Les deux sociologues expliquent également le dilemme auquel sont exposés les enfants d’immigrés, notamment les filles. Ecartelées entre leurs racines, les libertés de la société occidentale, le plaisir de rencontrer des hommes respectueux et le battage médiatique qui impose le métissage et le brassage des ethnies, elles font parfois le choix d’une union avec un Français de souche. Celle-ci est bien souvent refusée par la famille et provoque des ruptures durables, voire des représailles violentes. Il existe de nombreux exemples de menaces, d'enlèvements, de coups, voire de « crimes d'honneur », commis pour « punir » une fille accusée d'avoir trahi sa famille et son sang. C'est donc la peur des immigrées qui préserve bien souvent le peuple français du métissage ! Selon l'étude, le facteur religieux est encore plus fort que le facteur racial. Les femmes musulmanes sont celles qui se marient le plus avec des hommes de leur religion. Surveillées depuis l’enfance, leurs sorties contrôlées, elles n’ont de toute façon pas le droit de se marier avec un non-musulman. Il leur arrive de convertir le Français de souche avec lequel elles veulent s’unir, mais cette règle limite malgré tout le métissage. “

 

COLLABO

Air France, la compagnie aérienne qui a banni le porc de ses plateaux repas. Marine Le Pen, présidente du Front national, a estimé que la société française « recule » face aux demandes du « fondamentalisme islamique ». Sur iTélé, l’eurodéputée a jugé que le « risque terroriste n’est pas sous contrôle tant que tous ces intégristes ne sont pas en prison ou expulsés ». Pour elle, loin d’incarner la fermeté, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls fait « comme Sarkozy » : « Quand les lumières se braquent, on en expulse un ou deux. Mais je ne suis pas sûre qu’il y ait une vision et un plan global pour maîtriser le fondamentalisme islamique », a-t-elle ajouté. Selon elle, outre Air France, c’est « toute la société française qui recule, les dirigeants français reculent face aux réclamations de ce fondamentalisme ». « Lorsque l’on voit que notre compagnie Air France n’a plus de porc dans ses plateaux repas, que de plus en plus de cantines scolaires ne présentent pas de porc dans les repas, que les cantines de l’administration font de même, que des associations humanitaires comme Restaurants du coeur et Secours catholique refusent les dons de produits qui contiennent du porc, est-ce que là on ne se soumet pas aux revendications des plus extrémistes ? », a demandé la dirigeante patriote. Et de se laisser aller à une saine colère : « On vit où, là ? On n’est pas en Arabie saoudite, on n’est pas au Qatar ! »

Vous êtes ici : Accueil Résistant-Collabo RESISTANT