RESISTANT !

2Marine Le Pen, qui, sur les plateaux de télévision, ose affirmer tout haut ce que les Français pensent tout bas. Lorsque des bandes de casseurs venus de la banlieue ont attaqué les Champs-Élysées et ravagé ce quartier après la victoire du PSG, les media ont en effet parlé « de légers débordements » dus à la joie des soutiens. Affrontements avec des forces de l’ordre, vitrines détruites, vols et agressions... autant de joyeux événements qui ont conduit les autorités à annuler les festivités. La présidente du Front national a, quant à elle, dénoncé des « déferlements de racailles ». Il s'agit, selon elle, de « la conséquence de l’échec de la politique d’intégration et d’une immigration de masse, alliée à un laxisme d’État, depuis maintenant vingt ans. Les casseurs étaient évidemment des délinquants d'origine immigrée, descendus des banlieues pour effectuer des razzias, comme on en a vu par le passé ».

Mettant en parallèle le saccage des Champs-Élysées, les émeutes en Suède et l'attentat à Londres, Marine Le Pen dénonce une immigration de masse et propose de réduire l'immigration légale en France par vingt, afin de passer de 200.000 à 10.000 personnes par an. Ce serait un bon début avant d’engager la nécessaire inversion des flux migratoires.

 

 

Collabo

5La Cour de cassation, qui entérine des décisions européennes favorisant le remplacement de population qui menace notre pays. Elle a ainsi décidé que tout parent algérien, marocain ou tunisien installé en France pourra désormais toucher des allocations familiales pour ses enfants nés dans leur pays d’origine, mais qui décideraient de le rejoindre – même si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système en 1976, bénéficier dudit regroupement !
La Cour de cassation affirme appliquer le principe de « non-discrimination », reconnu par la jurisprudence de l'UE et qui stipule que les États membres n’ont pas le droit de « réserver le bénéfice de prestations démographiques spécifiques à leurs seuls nationaux ». Pour l'instant, plus de 80.000 immigrés sont concernés par cette décision qui va leur permettre de ramener leurs enfants en France et donc de toucher les subsides supplémentaires. Pendant ce temps, 15 % des familles françaises, celles qui touchent plus de 5.000 euros par mois, verront leurs allocations diminuer. C’est ce qu’on appelle la préférence étrangère.

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