RESISTANT

Marion Le Pen, députée Front national, qui a franchement pris position en faveur du bijoutier de Nice ayant tué le criminel venu le braquer : « Il y en a assez de cette France qui défend systématiquement les malfaiteurs et leur cherche des excuses. La vérité est ainsi : un délinquant multirécidiviste, déjà condamné pour vol avec violences, a menacé un honnête travailleur, père de famille, avec un fusil à pompe. Celui-ci, pour défendre le fruit de son travail, a réagi dans la panique. Est-il normal que la justice française soit à ce point inefficace que, à peine sortis de prison (quand ils y purgent effectivement leur peine…), les délinquants et les criminels se sentent si peu menacés qu’ils recommencent leurs forfaits sans complexes ?

Est-il normal que le fils de ce bijoutier dise ouvrir son commerce tous les jours “avec la boule au ventre” après avoir subi plusieurs tentatives d’effraction ? Est-il normal que nos élites dédouanent systématiquement les criminels sous prétexte qu’ils seraient des victimes de l’exclusion et de la précarité ? Peut-être veut-on nous faire croire que le jeune braqueur volait pour manger… Fort heureusement, tous les Français au chômage ne trouvent pas comme seule alternative de violenter et voler les honnêtes gens, malgré la dureté de la crise. Dans un tel contexte, le projet de loi à venir de Mme Taubira est d’autant plus criminel. Plus que jamais, la hausse généralisée de la délinquance nécessite une augmentation des effectifs des forces de l’ordre. Plus que jamais, la justice doit aujourd’hui être du côté des honnêtes gens. »

 

 

Le Collectif mosellan de lutte contre la misère, qui a décidé d’attaquer en justice la ville de Metz, accusée de décourager « de manière délibérée » les demandeurs d’asile de s’installer sur le territoire de la commune.
Cornaqués par ce collectif proimmigration, les demandeurs d'asile ont décidé de demander des comptes à l'État, en raison de conditions d'hébergement constituant une « atteinte manifeste aux libertés ». Et de décrire un parking messin couvert de « tentes à même le bitume », «équipé d'une poignée de sanitaires » et occupé aujourd'hui par environ 160 personnes.
Si Metz est, avec la région parisienne, l'un des endroits les plus touchés de France par l'afflux de demandeurs d'asile, le phénomène concerne en fait tout le pays. Le nombre de demandes a augmenté de 70 % depuis 2012. Avec 61.000 dossiers déposés l’an dernier, la France est la deuxième destination européenne des demandeurs d’asile.
Dans Le Figaro du 13 juillet, évoquant la situation à Metz, Pierre Henry, directeur de l'association immigrationniste France Terre d'Asile dénonce « ce type de désordres dans énormément de capitales régionales, à Dijon, Brest, Paris », laissant augurer d’autres actions en justice.
Pourtant, alors que les 21.000 places disponibles en centres d'accueil des demandeurs d'asile (Cada) sont saturées, les gouvernements successifs, loin de fermer les vannes de l’immigration, ont toujours accepté de loger plus d’étrangers… notamment en leur payant l’hôtel !
Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, vient de lancer une concertation avec les associations et les organismes concernés, promettant 4.000 places en centres d’accueil, des embauches à l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) pour accélérer le processus… Pas de quoi satisfaire les associations immigrationnistes, qui réclament encore plus d’assistance et de préférence étrangère, au moment où les Français les plus démunis vivent une dramatique crise du logement.

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