RESISTANT !

Bernard Marionnaud, exemple de courage

« Dans la vie, il faut avoir le courage de ses opinions ! » Bernard Marionnaud, fondateur de la célèbre marque de parfums et cosmétiques, est de cette trempe-là. À soixante-dix-sept ans, il se présente aux municipales à Clamart, dans les Hauts-de-Seine, sous l’étiquette du Rassemblement Bleu Marine (RBM), cette structure politique élargie qui gravite autour du Front national.

Ce gaulliste revendiqué n’en est pas à sa première aventure politique. En 2001, il s'était déjà présenté aux municipales sous l'étiquette divers droite (DVD), avant de rallier une liste centriste au second tour. En 2008, il avait rallié un candidat UMP. Cette fois, Front national oblige, sa candidature a fait scandale au point que la marque de parfum dont il est le fondateur, Marionnaud, s’est immédiatement désolidarisée. « Les prises de position publiques, comme les engagements politiques de Monsieur Bernard Marionnaud, n'engagent que lui », a-t-elle écrit dans un communiqué avant de rappeler que, « depuis 1996, date à laquelle il a cédé ses 31 magasins et le nom de l'enseigne, il n'a plus aucune responsabilité dans la conduite de l'entreprise ».

Bernard Marionnaud n’en a cure. « L’UMP, dit-il, s’est perdue dans sa guerre des chefs, Bayrou et Borloo sont des guignols et le PS mène la France dans le mur. » Alors, pour sa ville, Clamart, il a jugé nécessaire un « renforcement idéologique ». « Je n’étais pas d’accord avec Jean-Marie Le Pen, mais sa fille a vraiment fait évoluer son parti. Elle défend les valeurs de la France », expliquait-t-il récemment, tout en se disant « étonné qu’il y ait des réactions négatives quand on dit qu’on est du FN ». M. Marionnaud demeure très apprécié dans sa ville, où les encouragements des habitants sont nombreux.

 

Collabo

Christiane Taubira

La revue féminine Elle a choisi de nommer le ministre de la justice, Christiane Taubira, « femme de l’année 2013 ». Choix révélateur d’une petite caste parisienne qui se complaît dans l’idéologie antiraciste, alibi du cosmopolitisme.

Comme l’a relevé Marine Le Pen, présidente du Front national, Mme Taubira « a été élue femme de l'année parce qu'elle a été insultée ». Il est vrai que cette femme noire a été l’objet de quelques insultes racistes d’un goût douteux. Tempête dans un verre d’eau qui a néanmoins agité la sphère médiatique bien-pensante. La distinction qui lui a été attribuée par Elle en est la consécration. Mais qui est réellement notre ministre de la justice ?

Pour Christian Vanneste, ancien député UMP et actuel président du Rassemblement pour la France, Christiane Taubira « est d’abord celle qui a revêtu depuis dix-huit mois le vernis de l’idéologie branchée de la bobocratie parisienne, pailleté d’obsessions et de priorités qui gomment les véritables préoccupations du peuple comme on efface les points noirs ». Elle est ensuite une ancienne indépendantiste guyanaise que la préférence nationale ne dérangeait guère pour la Guyane. Enfin, elle est celle qui, après avoir détruit la famille traditionnelle, écrase le peuple français « sous le mépris de l’antiracisme facile de ceux qui ne sont pas confrontés à une présence étrangère arrogante ».

 

Si Christiane Taubira est, aux yeux d’Elle, la « femme de l’année », elle est, pour nous, une « collabo ».

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