DAL, JEUDI NOIR, ATD QUART MONDE

La grande arnaque des « mal-logés »

Nous continuons notre tour d'horizon des coûteuses associations immigrationnistes ciblées par Contribuables Associés. Le mois dernier, c'était SOS-Racisme. La Voix des Français se penche maintenant sur l’ensemble des autres associations qui, avec la complicité des gouvernements successifs, prétendent loger toute la misère du monde dans nos propriétés privées. Et avec l’argent public.

Les associations dites « pour le droit au logement » se livrent à un véritable pillage des caisses de l’État. Mais en toute légalité, puisque c'est le gouvernement UMP lui-même qui en 2007, avec la loi Dalo (Droit au logement opposable), a fourni les armes aux immigrationnistes pour leur permettre de loger les immigrés illégaux dans notre pays.
Ces associations et leurs militants semblent d’ailleurs tenues au courant de toutes les actions du gouvernement. Contribuables Associés révèle que Jean-Baptiste Eyraud, « Babar » pour les intimes, porte-parole du DAL, marche main dans la main avec le ministre du Logement. Si, lorsqu'elle était dans l’opposition, Cécile Duflot soutenait moralement les squatters, elle les aide maintenant officiellement, avec les deniers de la République.


« Le ministre des squats », comme la surnomme l’hebdomadaire Valeurs actuelles, a par exemple prôné la réquisition de locaux vides pour loger les « sans-abris », c'est-à-dire, majoritairement, des immigrés en situation illégale. Aussitôt, des organisations telles que DAL (Droit au logement) ou Jeudi Noir se sont empressées de faire le tour de Paris afin de repérer de nouvelles occupations potentielles, jusque dans des propriétés privées.
Car le ministre du Logement et de l’Aménagement du territoire, loin de se consacrer aux douloureuses et prioritaires questions de l'exode rural ou du vieillissement de la population, préfère consacrer son coeur de programme aux prétendus « mal-logés » de l’immigration : surtaxation des plus-values immobilières, doublement du livret A, augmentation de 20 à 25 % de la proportion de logements sociaux dans les communes de plus de 3.500 habitants, pénalités multipliées par cinq pour les communes récalcitrantes, taxe sur les logements inoccupés en hausse, relèvement des pénalités financières… Autant de mesures imposées par Cécile Duflot pour le logement dit « social », mais qui ne servent, dans les faits, qu’a constituer un appel d'air à l'immigration : « Venez chez nous, des appartements neufs vous attendent ! »

 

LES FRANÇAIS PRIVÉS DE LOGEMENT PAR L’IMMIGRATION !

Toute cette politique a un coût non négligeable. A l'heure de l'austérité, la note est salée pour les contribuables français... En effet, selon un rapport parlementaire de 2012 (1), l’État finance près de 85.000 places d’hébergement en France, dont 20.000 en centres d’urgence et 15.500… à l’hôtel ! L’Etat offre en effet des nuits à l'hôtel à des immigrés illégaux, pour un coût qui a dépassé 100 millions d'euros pour la seule année 2010 ! Le manège est loin d'être fini : 1,2 million de personnes en France réclament un logement social... La crise économique et la montée de l'immigration ont rendu la question du logement particulièrement épineuse sur notre territoire, puisque le nombre de personnes à loger à moindre coût augmente constamment. Le pire étant que les Français appauvris par les délocalisations et la hausse du coût de la vie se voient privés de logement social par les dizaines de milliers de migrants n’ayant aucun lien avec nous.
Car ces immigrés illégaux, contrairement à nos compatriotes de souche, bénéficient de la puissante protection d’associations comme le DAL, les Enfants de Don Quichotte, le collectif Jeudi Noir, la Fondation Abbé Pierre, ATD Quart Monde et bien d’autres !


L’ETAT CONDAMNÉ... À CAUSE DES HORS-LA-LOI !

Comment en sommes-nous arrivés là ? La faute à la droite la plus bête du monde, et particulièrement à ses chefs, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. En 1986, alors premier ministre, Chirac avait fait supprimer le blocage des loyers institué par la loi de 1948 permettant aux personnes défavorisées de se maintenir dans leur logement au coeur des grandes agglomérations. Mais une fois élu président, il a tenu à se « racheter » auprès des gauchistes en faisant voter la loi Dalo, en mars 2007. Loi que Nicolas Sarkozy et son équipe ont soutenu avec ardeur, facilitant l’action des gauchistes et l’implantation des étrangers... Tout en tenant un discours de fermeté dans les media !
Cette loi Dalo garantit en effet le prétendu « droit au logement » : c'est-à-dire que tous ceux qui ne peuvent pas payer de loyer se voient proposer un logement gratuit... On comprend que la majorité des immigrés illégaux préfèrent dans ce cas être logés aux frais de la princesse. D'autant que le logement dit « d'urgence » est garanti jusqu'à que l'Etat trouve un hébergement stable... Vu la pénurie de logements sociaux, c'est donc l'hôtel qui est payé toutes les nuits aux immigrés vivant illégalement sur notre sol ! Pire, si le relogement n'a pas lieu rapidement, l’État peut être condamné à payer une astreinte ! Systématiquement, c'est le contribuable qui paye : un rapport de la Cour des Comptes a estimé le coût de cette astreinte à 11.450 euros par immigré et par an.


LE DAL, CHÉRI DU GOUVERNEMENT, SEMBLE INTOUCHABLE

Certains penseront certainement que le demandeur de logement se retrouve face à une jungle administrative et que des immigrés ne parlant pas français doivent avoir le plus grand mal à monter les dossiers de demande d'aides. Qu’ils se détrompent ! C'est ici qu'entrent en jeu les associations dont nous parlions plus haut. Il s’agit même de leur fonds de commerce, faisant fi du gouffre financier que cela représente pour leurs concitoyen Le DAL est la pierre angulaire de ces coteries, « le chouchou des media et des hommes politiques », selon Contribuables associés. Le DAL organise des stages de formation juridique pour ses 6.000 adhérents revendiqués. L'objectif étant, bien entendu, de connaître la loi et ses multiples possibilités d'aide aux immigrés pour récolter des subventions ou empêcher un propriétaire spolié de récupérer ses biens immobiliers. Relaxé pour avoir illégalement occupé la place de la Bourse en novembre 2008, le DAL semble intouchable, alors qu'il n'y a jamais plus de 200 personnes à ses manifestations et qu'à peine 5.000 signatures ont été récoltées pour sa pétition réclamant la réquisition de 100.000 logements vacants. Ces chiffres permettent une fois de plus de se rendre compte de la fracture entre les « élites » politiques et médiatiques et le peuple français. Cerise sur le gâteau, la Fondation Abbé Pierre a récemment rendu un rapport à Cécile Duflot « afin de résorber la pauvreté en France ». Parmi ses préconisations irréalistes, on trouve « l’interdiction de toute remise à la rue des personnes accueillies dans les 20.000 places d’hébergement ouvertes à la fin de l’hiver », la création de 20.000 nouvelles places (dont 50 % issues du privé) avec, en plus, 5.000 places spécifiquement consacrées aux demandeurs d’asile… Ce rapport démagogique évite, bien entendu, la moindre évaluation financière et se garde d’évoquer la surreprésentation des immigrés illégaux parmi les bénéficiaires de ces foyers d’accueil. Il ne faudrait pas gâcher la fête !
(1) Rapport d’information du comité d’évaluation et de contrôle des politiques publiques sur « l’évaluation de la politique de l’hébergement d’urgence », 26 janvier 2012.

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