COURRIER DU NUMERO 135
IGNOBLE MANIFESTATION DE RACISME ANTI-BLANC À DIJON
Habitant Dijon, je voudrais vous faire part d’une agression qui a bouleversé la ville fin août. Un jeune homme de 15 ans, rentrant chez lui avec deux copains, est interpellé par un Maghrébin qui demande si c’est lui qui vient de « rayer sa voiture » ; simultanément, l’agresseur lui porte un coup violent qui le fait chuter. S’en suit une pluie de coups de pieds à la tête et dans le dos. Les deux amis de la victime tentent de s’interposer, mais en vain : l’agresseur est plus âgé, plus fort et sans doute mieux « entraîné ».
Le jeune homme parvient à se relever et à se sauver avec ses copains, mais ils sont suivis par le voyou qui a, entre-temps, appelé du renfort. Arrivé place François-Rude (en plein centre-ville), le jeune Dijonnais est rattrapé et passé de nouveau à tabac. Cette fois, l’homme n’est plus seul : son frère et tout un groupe d’individus lui prêtent main-forte (plus d’une vingtaine, selon la victime). L’adolescent reçoit plusieurs coups de pied, dont un dans l’oeil. Il entend également ses agresseurs dire : « On casse du céblan ! » (« blanc », en sabir de racaille).
Ses amis, d’origine africaine, n’ont effectivement pas été pris à partie par la bande. La voilà, la société multi-culturelle dans toute sa beauté ! Mais le plus consternant, c’est la réaction des politiciens devant cette affaire de racisme anti-blanc évident. Non seulement aucun medium national n’en a parlé, mais les élus locaux UMP comme PS, ont préféré le mutisme total, prétendant attendre « la fin de l’enquête » ! Quelle hypocrisie ! Imaginons que ce soit l’inverse, et qu’un jeune noir ou arabe soit agressé par une vingtaine de blancs souhaitant « casser du noir », que n’aurait-on pas entendu, à toutes les antennes, sur toutes les unes ! Mais j’ai oublié, le racisme anti-blanc ne compte pas dans notre pays…
Antoine V. (par courriel
ILS VEULENT DÉBAPTISER LA SEINE-SAINT-DENIS !
J’apprends, dans Faits et Documents, que le conseil général de Seine- Saint-Denis est en train d’étudier, très discrètement, un projet de référendum pour changer le nom du département, celui-ci étant, d’après eux, « discriminatoire vis-à-vis des populations musulmanes ». On croit rêver… Non contents de favoriser le remplacement progressif des Français de souche par des immigrés, on va maintenant exiger que l’on renomme nos villes et villages, porteurs de notre patrimoine millénaire ! Pourquoi pas Alger-sur-Seine, tant qu’on y est ? Et ce sont nos élus qui s’y mettent ; rien d’étonnant que ce projet reste si « discret » ! Parlons-en autour de nous, cette abjecte intention ne doit en aucun cas se réaliser, car si l’on cède aujourd’hui, demain ce sont les croix de nos églises qu’il faudra enlever pour ne pas heurter les « amis musulmans » ! Jadis, c'est à l'abbaye de Saint-Denis que les rois de France se rendaient pour y prendre l'oriflamme avant de partir en guerre ou en croisade ; seronsnous lâches au point d’abandonner ce sanctuaire à ceux qui rejettent notre culture et notre histoire ?
Maryse D., Paris
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