COURRIER DU NUMERO 137

IL NOUS FAUT DES STATISTIQUES ETHNIQUES !

Le lundi 21 novembre, j’ai entendu, à la radio, la présentation d’un rapport très intéressant sur l’état des lieux de la délinquance en France. Contrairement à ce qui est fait habituellement, il ne s’agissait pas de nous faire avaler les statistiques gouvernementales, maquillées comme des voitures volées, mais de parler du terrain, à partir des révélations des victimes. Je peux vous dire que l’on a vu voler en éclats pas mal de clichés et que la comparaison avec les chiffres officiels est éloquente. On nous raconte des histoires !

 

Le rapport dont je parle est le résultat de la cinquième enquête de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Il repose sur une large enquête d’opinion menée avec l’Insee auprès de 17.000 personnes (sachant qu’un sondage n’est généralement fondé que sur un échantillon de 1.000 personnes) : c’est dire si l’on peut s’y fier.

Il repose sur les statistiques dites de « victimisation » et non sur les statistiques enregistrées par les forces de l’ordre, souvent à partir des plaintes – que les policiers découragent de toutes leurs forces. Entre parenthèses, il faut savoir qu’ils peuvent vous faire patienter des heures au commissariat, en vous disant qu’il est inutile de porter plainte, car cela « ne sert à rien » (on me l’a déjà dit !). En réalité, leur objectif est de faire ainsi artificiellement baisser les chiffres de l’insécurité.

Rien de tout cela ici. Les Français directement interrogés ont ainsi déclaré avoir été victimes de quatre millions de vols en 2010, soit trois fois plus que les statistiques officielles, qui n’en relèvent que 1,5 million !

D’après les chiffres de ce rapport, 226.000 immigrés ont commis des crimes et délits en 2010. Globalement, une tendance à la hausse est constatée : entre 2005 et 2010, le nombre d’étrangers mis en cause pour des atteintes aux biens a augmenté de 8,2 %, et de 7,8 % pour les violences aux personnes. Et ceci, sans compter, bien entendu, les millions de « Français » de papier à qui on a offert la nationalité à tour de bras.

Au final, je pense que cette étude devrait inciter nos compatriotes à réclamer le plus vite possible la mise en place de statistiques ethniques particulièrement affinées, afin que l’on sache précisément quelle est la part des immigrés ou des Français d’origine immigrée dans la déliquance. Je suis certain que cela ferait évoluer les mentalités et, ce faisant, les résultats électoraux.

Pascal M. (Paris)

 

UN HOMME POLITIQUE AMÉRICAIN DÉNONCE LE PÉRIL MUSULMAN DANS L’ARMÉE

Un homme politique américain a provoqué un tollé en demandant que tous les musulmans pratiquants soient « chassés de l’armée américaine ». Un député républicain de l’Etat du Tennessee, Rick Womick, a en effet déclaré que les musulmans qui servaient dans l’armée constituaient « une menace importante » et qu’ils devraient être expulsés « parce que leur religion leur ordonne de mentir ».

Interrogé lors de la Journée des anciens combattants par le site Internet Progress, il a ajouté : « Personnellement, je ne fais confiance à aucun musulman parmi nos militaires parce qu’il leur est commandé de nous mentir. Et s’ils sont vraiment des musulmans pieux et suivent le Coran et la Sunna, alors je me sens menacé parce qu’il leur est ordonné de me tuer. »

Apparemment, treize jeunes soldats américains ont déjà payé de leur vie le manque de courage des politiciens n’osant pas dénoncer l’idéologie islamique pour ce qu’elle est. Ces jeunes gens ont été assassinés en 2009, dans l’attentat de Fort Hood, perpétré par le commandant Nidal Hasan, qui avait préalablement échangé une abondante correspondance avec des imams qui légitimaient par avance son acte, en expliquant qu’il était criminel d’appartenir à une armée qui tuait des musulmans en Irak ou en Afghanistan. Le commandant avait ensuite expliqué que la religion était « plus importante que la patrie ».

Se fondant sur ces crimes monstrueux pour justifier son opinion, Rick Worwick a confirmé ses propos dans un entretien radiophonique le 18 novembre, avant de conclure : « Et s’ils ne sont pas contents, alors qu’ils retournent d’où ils viennent ! ». Il faut avouer que l’on imagine mal un parlementaire ou un ministre français en faire autant, d’autant plus que de tels propos tomberaient probablement, en France, sous le coup de la loi...

Charles E. (par courriel)

 

A TOULOUSE, DES HAUTS-PARLEURS DIFFUSENT LE CORAN...

Mais on croit rêver ! Ou plutôt cauchemarder ! J’apprends, en ouvrant La Dépêche du midi, qu’un règlement de comptes entre bandes allogènes a eu lieu en plein jour à La Reynerie, quartier de Toulouse, pas très loin de chez moi. L’affaire a entraîné la mort d’un certain Samir Chorfi, 23 ans, criblé de balles en pleine rue. Vous allez me dire que ce n’est pas original de nos jours… mais attendez un peu ! Car le plus étonnant, ce n’est évidemment pas que des voyous s’entretuent au soleil.

En fait, le quartier dont cet immigré était originaire est entré en ébullition ; et, pour calmer les tensions, au lieu de faire débarquer les CRS et de matraquer les délinquants, ou d’enjoindre aux mécontents de rentrer dans leur pays, les autorités n’ont rien trouvé de mieux – tenez-vous bien, amis de Voix des Français – que de laisser les imams diffuser, par haut-parleur, des appels au calme sous forme de… citations du Coran ! Nous allons tout droit vers un émiettement de notre unité nationale, vers des abandons de souveraineté dramatiques, dont les conséquences pourraient bien déboucher sur une libanisation de la France et sans doute une guerre civile.

Félix de V. (Toulouse)

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