COURRIER DU NUMERO 139


UN HAUT RESPONSABLE DE LA POLICE AUTRICHIENNE DÉCLENCHE UN SCANDALE EN DÉNONÇANT L’ISLAM
Chers amis de Voix des Français, je vous transmets la traduction d’un entretien qui a fait scandale en Autriche, après sa parution dans le célèbre quotidien Kleine Zeitung, à la fin de l’année dernière. Alexander Gaisch (photo), chef de la police de la ville de Graz, s’y alarmait du danger que représente l’islam et son expansion. Sa vision réaliste et la menace d’une possible conquête de son pays par l’islam lui a valu d’être matraqué par toute la classe politicomédiatique autrichienne. Hélas, ce policier me semble visionnaire et pourra sans doute intéresser vos lecteurs. Voici les principaux extraits de cet entretien :
« Kleine Zeitung : Pourquoi la construction de mosquées est-elle problématique ?
Alexander Gaisch : Le financement doit être transparent. Les musulmans bosniaques indiquent un coût de 12 millions d’euros pour le financement de leur mosquée dans le quartier de Herrgottwiesgasse.

Cela ne peut pas être exclusivement financé par une association. Nous soupçonnons une aide étrangère provenant de l’Arabie Saoudite. C’est de cette façon que des mosquées ont été construites en Bosnie avec tous les problèmes que cela pose aujourd’hui. Et le scénario est en train de se reproduire à Graz.
La construction de mosquées pourrait-elle être empêchée ?
Légalement, ce n’est pas possible. Les hommes politiques peuvent simplement vérifier que leur financement ne provient pas de l’étranger.
Une mosquée peut-elle prêcher la radicalisation ?
Ce n’est pas comme cela que l’islam s’y prend. Il ne nous combat pas avec des armes, mais nous conquiert progressivement. D’abord par la démographie, puis par l’infiltration dans la société civile. (...) Et c’est comme cela que la société deviendra progressivement musulmane.
Mais les religions fonctionnent en apportant leur aide à la société ?
Sauf que l’islam est un système politico-religieux qui n’a rien à voir avec notre civilisation. Et si nous ne nous y opposons pas, notre démocratie est en danger.
Pourquoi ?
Parce que, petit à petit, l’islam va s’imposer dans les conseils municipaux et au parlement et que sa loi remplacera progressivement la nôtre.
Mais le fait que les citoyens puissent s’exprimer est le jeu de la démocratie ?
Oui. Néanmoins, nous devons être bien conscients que si nous l’acceptons aujourd’hui, nous ne pourrons plus revenir en arrière d’ici 5 ou 10 ans. » Espérons que ce genre d’avertissement réveillera nos dirigeants !
Richard V. (par courriel)

 

 

DANS LE COÛT DE L’IMMIGRATION, N’OUBLIONS PAS... LES INTÉRÊTS !
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Je profite de la présente pour évoquer le coût de l’immigration (46 milliards d’euros) mentionné dans l’un de vos derniers tracts. Je pense que ce chiffre est inférieur à la réalité. (…)
D’après les différentes estimations d’experts (Milloz, Gourévitch, Laulan, Pince, Bichot…), de 1988 à 2010, le financement de l’immigration a atteint 769 milliards d’euros (hypothèses basses).
Mais un élément important à été omis ! En effet, la France s’endette depuis 1975 (dernier budget en équilibre en 1974). Ce qui veut dire que tous les gouvernements et les sirènes du métissage, de la diversité et du multiculturalisme, depuis cette époque, ont endetté la France pour la plier à l’exigence d’idéologies dévastatrices. Mais qui dit endettement, dit forcément intérêts !
Or, compte tenu des sommes et de la durée de l’endettement, les intérêts se révèlent importants, mais ne semblent pas avoir été prises en compte dans les différentes estimations du coût de l’immigration.
Je me suis livré à un calcul de ces intérêts, en prenant en considération un taux modéré de 2,5 % par an. Pour la période de 1998 à 2010, j’arrive à un montant d’intérêts de 214 milliards d’euros.
Pour la seule année 2011, l’immigration aura coûté au contribuable français 46 milliards d’euros (votre estimation) + les intérêts (2,5 % de 769 milliards d’euros), soit 65 milliards d’euros.
Au total, à fin 2011, [l’immigration de masse] aura coûté au peuple français la somme colossale de plus de 1.000 milliards d’euros ! C’est-à-dire qu’aujourd’hui, l’immigration a coûté plus de la moitié de la dette actuelle de la France !
Aujourd’hui, chaque Français de souche devrait enfin être conscient que la situation désastreuse des finances de l’Etat ne relève pas de la fatalité. Elle relève de l’entière et seule responsabilité de tous les dirigeants politiques, chacun d’entre eux ayant, soit contribué, soit laissé faire, par complicité ou par lâcheté, cette dérive migratoire. Et ils ont le culot de demander aux Français de se serrer la ceinture !
Raymond B. (31)

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