COURRIER DU NUMERO 148

NOS ENFANTS PARTENT, CEUX DES AUTRES ARRIVENT…
J’ai trois enfants et j’habite en banlieue parisienne. A la suite de l’afflux des immigrés, la sécurité s’est dégradée et la situation est devenue intenable. Mon fils aîné est tellement dégoûté de la France d’aujourd’hui qu’il veut même partir s’installer au Canada. Et il est loin d’être le seul ! En trois jours, 30.000 Français ont fait la demande d’un visa pour suivre le Programme vacances travail (PVT), ouvert aux jeunes Français de dixhuit à trente-cinq ans à destination du Canada. Mais il n’y a que 6.750 élus et mon fils n’a (heureusement ?) pas été assez rapide.


Les media s’enthousiasment de cet engouement de notre jeunesse pour l’étranger, mais c’est une catastrophe ! Nos enfants désertent le pays de nos parents pour s’installer à l’étranger. Pendant ce temps, des centaines de milliers d’immigrés affluent sur notre sol, accueillis à bras ouverts par ceux qui se réjouissent du départ de nos enfants… Quel futur cela augure-t-il pour la France ? Christine F. (Franconville)

LA FRANCE, LES IMMIGRÉS ET LA CALCULETTE
J’ai lu avec attention votre rubrique « Résistant ! » du dernier numéro : Jean-Paul Gourévitch y rétablissait la vérité sur l’argent que nous coûte l’immigration. Eh bien, figurez-vous que le quotidien de propagande Le Monde fait l’apologie de l’ouvrage Xénophobie business. A quoi servent les contrôles migratoires ?, par Claire Rodier, qui affirme que ce qui nous coûte cher n’est pas l’immigration, mais les moyens que nous mettons en oeuvre pour nous en préserver ! Les immigrés illégaux constitueraient un marché lucratif pour la France en quelque sorte. Il fallait oser, l’auteur l’a fait ! Forcément, son livre est encensé dans les media de la propagande. Pourtant, je suis prêt à parier que si des sociétés de sécurité font fortune dans les banlieues de l’immigration, pour préserver les biens et les personnes de l’insécurité ambiante, cela ne suffit sans doute pas à combler le gouffre creusé par les nouveaux venus – généralement assistés – dans les caisses de l’Etat. Enfin, notons qu’il importe peu que les immigrés rapportent de l’argent ou pas. Même si cela était vrai, la survie de la France ne se résume pas à un bilan comptable !
André F. (courriel
)

L’IMMIGRATION TOUCHE AUSSI LES CAMPAGNES…
On parle toujours de l’immigration dans nos banlieues des grandes villes, mais on oublie systématiquement les départements ruraux.
Et pourtant, nous aussi recevons notre lot d’immigrés à problèmes. J’habite la Nièvre et, entre 1999 et 2009, 2.000 immigrés de plus se sont installés chez nous. C’est un chiffre qui fera peut-être sourire les habitants des grandes villes, mais c’est énorme pour un département tel que le nôtre. Cela représente une augmentation du nombre d’étrangers de 25 % ! Et, naturellement, les immigrés ne sont plus des Portugais, des Espagnols ou des Italiens, dont les enfants se sont fondus dans le paysage nivernais, mais des Maghrébins et des noirs. Nos villes bourguignonnes sont peu à peu investies par cette immigration. Combien de temps allons-nous attendre avant de réagir ?
Eric N. (Nevers)

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