COURRIER DU NUMERO 153

NORD-PAS-DE-CALAIS : UNE ÉLUE SOUTIENT MISS BURQA !
Une polémique rebondit dans le Nord, depuis que Catherine Génisson, viceprésidente (PS) du conseil régional chargée de la culture, assume publiquement le choix d'avoir subventionné la création d’une statue de Miss Burqa (ce n’est pas une blague) devant être exposée à Roubaix.
Ce projet a été soutenu dans le cadre des bourses de création en arts plastiques. L'artiste, Thierry Verbeke, a bénéficié d'une aide de 8.000 euros. Catherine Génisson rappelle dans La Voix du Nord que le projet a reçu un avis favorable d'un comité consultatif composé d'experts et présenté en commission culturelle en 2011 sans aucune remarque des groupes politiques représentés, puis voté à la quasi-unanimité.
A cette occasion, je suis indignée de voir que l'UMP et l'UDI critiquent aujourd’hui une subvention qu'ils ont votée ! Mais je suis également très déçue par l’attitude du Front national qui s’est contenté de s’abstenir !


Catherine Génisson s’est expliquée : « Nous tenons à souligner que l'avis positif du conseil régional a été motivé par la proposition de médiation de l'artiste. Utiliser cette création pour travailler sur la décrispation face aux problèmes identitaires a semblé intéressant et tout à fait innovant. » Cette femme ose donc affirmer que la burqa, symbole d’oppression par excellence, est un outil de « décrispation » face à des Français patriotes et respectueux des femmes ! Ce faisant, elle se fait à la fois collaboratrice de l’islamisme le plus fanatique et traître à la cause du féminisme qu’elle est supposée défendre. Une fois de plus, la gauche entre en contradiction avec ses principes proclamés.
Nathalie B. (Dunkerque)

 

LA SUISSE S’APPRÊTE À FAIRE LA GUERRE… À LA FRANCE !
Les media suisses nous ont révélé un sujet qui, en France, est resté soigneusement occulté. Et pour cause ! Les 26 et 28 août, l’armée suisse s’est livrée à un exercice fondé sur... une attaque venue tout droit d’une France « désintégrée » par l’effet de la crise !
Concrètement, l’armée suisse a imaginé que la France, en complète déroute financière, s’est désintégrée en plusieurs entités régionales sous l’effet de la crise, et que l’une d’elle aurait décidé d’attaquer la Suisse. Les dirigeants militaires suisses ont souligné que cela n’était qu’un exercice fictif, qui « ne concernait évidemment pas la France que nous aimons ». Mais, dans la réalité, la Suisse est de plus en plus souvent en proie à des razzias de voyous d’origine maghrébine venus des banlieues de Lyon et Grenoble. L’exercice n’est peut-être pas si fictif que cela.
Philippe V. (Genève, Suisse)

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