COURRIER DU NUMERO 154

La préférence nationale, pierre d’achoppement du système ?

« La préférence nationale est, par définition, xénophobe », a déclaré notre ministre de la culture, Aurélie Filippetti, sur RTL. Celle-ci évoquait, bien évidemment, les positions du Front national, parti dont la « dédiabolisation » ne se fait visiblement pas sans tentatives de « surdiabolisation », ainsi qu’on le constate dans cet exemple !
« Le FN s’appuie sur un certain nombre de bas instincts et les flatte », a considéré Mme Filippetti avant d’ajouter, non sans avoir rappelé l’éternelle « peur de l’autre », que « faire une préférence nationale quand il y a des gens qui travaillent en France, qui payent leurs impôts en France, qui doivent bénéficier des mêmes droits, c’est de la xénophobie ». Doit-on comprendre, à force de matraquage, que les Français sont d’éternels paranoïaques apeurés ? Ou alors que la préférence nationale, qui n’a rien de xénophobe en soi, puisqu’elle est indissoluble de l’idée de nation, constitue la pierre d’achoppement de ce système pro-immigrationniste ? La seconde possibilité semble plus appropriée, tant le bon sens de cette mesure ne peut être combattu qu’avec un surplus de mauvaise foi. Bonne raison de continuer dans cette voie !
Gisèle V. (Rennes)

 

 

 

Du renne halal dans nos assiettes !
L’islamisation du continent européen se poursuit ! Et ce n’est pas le froid qui va l’arrêter. On a pu apprendre, grâce à de discrets articles dans de rares journaux, qu’en Norvège une centaine de rennes (pour commencer) allaient être abattus selon le rite halal ! Si ces pauvres bêtes vont tout de même être étourdies avant d’être égorgées (ce qui n’est pas conforme à l’orthodoxie islamique), le sacrifice se fera « au nom d’Allah » et en présence d’un dignitaire musulman.
Alors, pour se justifier, on évoque la crise de 2008 et la nécessité pour le marché de la viande de renne de se renouveler. « Nous nous sommes dit que beaucoup de gens à travers le monde étaient prêts à payer un peu plus pour manger une viande délicieuse, saine et nutritive », explique Harry Dyrstad, directeur de l’abattoir de Vilteksperten. Mais qui trouve-t-on derrière cette opération ? Le Conseil islamique de Norvège, bien-sûr, et surtout… les Émirats arabes unis ! La ville de Dubaï souhaiterait en effet proposer du renne halal à ses riches clients. Notre imaginaire de Noël en prend un sacré coup…
Jusqu’au jour où les Scandinaves ne trouveront plus dans les supermarchés que de la viande de renne halal, de la même façon que les Français ne trouvent quasiment plus que du bœuf halal dans les rayons boucherie des grandes enseignes !
Pascal C. (par courriel)
Le réveil des « petits blancs »
La parution récente du livre d’Aymeric Patricot, Les petits blancs, a permis enfin de donner une tribune, bien que réduite, à cette problématique que je vis au quotidien. Oui, je suis moi-même un « petit blanc » ! J’habite un quartier que l’on se plaît à appeler « sensible ».
Je suis de ceux qui, comme décrit dans le livre, sont blancs et pauvres. Je suis méprisé par les « minorités », car appartenant à une majorité dont les élites me méprisent également. Pris entre deux feux, je suis ce qu’on appelle aux États-Unis un « white trash », un « déchet blanc ». Pour moi, qui vit dans l’insécurité de ces quartiers à forte présence immigrée, aucune association de défense, à part, bien sûr, Voix des Français. En plus de cela, on m’impose une interdiction morale de m’interroger sur mon identité. Chut ! Le racisme anti-blanc n’existe que dans les fantasmes du FN !
Comme l’écrit M. Patricot, les petits blancs comme moi doivent « accueillir toute la diversité du monde sans prétendre eux-mêmes avoir une quelconque épaisseur ». Pendant ce temps, l’immigration massive se poursuit et les quartiers dits « sensibles » se transforment en ghettos. Ghettos où les « raclures blanches » ne sont plus les bienvenues. Merci à Aymeric Patricot et à tous ceux qui ont décidé de ne plus se taire !
 
Antoine B. (par courriel)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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