LE RACISME ANTI-BLANCS, effet collatéral de l’immigration

La France vient de voir, en face, le visage de la haine, à Toulouse et à Montauban. La haine pure, viscérale, irréductible.
La même haine existe, encore relativement cachée, volontairement ignorée, contre tous les blancs. Elle n’a pas encore pris tout à fait la forme de la terreur, mais elle suinte déjà depuis longtemps dans notre douce France : souvenonsnous des manifestations lycéennes du 8 mars 2005, au sujet desquelles le journaliste Luc Bronner

 titrait dans Le Monde du 15 mars suivant : « Manifestations de lycéens : le spectre des violences anti-blancs ». Un journaliste du Nouvel Observateur rapportait les propos des « casseurs », qui « s’attaquent aux blancs parce qu’ils sont plus faciles à choper… et qu’on ne se vole pas entre Arabes et noirs… ». D’autres personnes interrogées par ce journaliste déclaraient : « Tout ce qui est blanc, c’est notre ennemi... »
En mars 2006, dans l’île Saint-Martin, qui dépend de la Guadeloupe, le gendarme Raphaël Clin a été percuté par une moto alors qu’il cherchait à s’interposer dans une course sauvage.

Il a trouvé la mort sous les cris haineux et, selon les témoignages de l’enquête, racistes contre lui-même et les autres gendarmes blancs présents, cris lancés par les noirs qui assistaient à la scène.
Tous les jours, dans nos villes, des blancs ont peur parce qu’ils sont blancs : dans un essai récent, M. Tarik Yildiz aborde de front la réalité du racisme anti-blancs (Racisme anti-blancs, ne pas en parler : un déni de réalité, éditions du Puits de Roule, décembre 2011). À travers une série d’entretiens avec des élèves, collégiens, étudiants et professeurs de Seine-Saint-Denis, il fait état de l’intolérance grandissante qui touche les blancs, Français de souche, par opposition à ceux qui proviennent de l’immigration : insultes, crachats, coups pleuvent sur ces malheureux, sans que la police de M. Sarkozy ne fasse rien pour les protéger. Selon les centaines de témoignages que M. Yildiz a recueillis, les actes racistes anti-blancs qui frappent les habitants de la banlieue parisienne les poussent à s’enfuir des lieux où sévit cette horreur.
Dommage que les professionnels de l’indignation n’incluent pas les violences contre les blancs dans leur ardeur vengeresse contre le racisme : selon le site Wikipédia, Samuel Thomas, un des dirigeants de S.O.S.-Racisme, association qui est, rappelons-le, financée par le gouvernement, refuse de parler de racisme anti-blancs parce que, non seulement la notion privilégierait une logique communautariste (sic), mais aussi parce qu’elle aurait été instrumentalisée par « l’extrême droite » : sans doute ne connaît-il pas les paroles de la « chanson » de Ministère Amer et Stomy Bugsy, « Flirt avec le meurtre », dans laquelle se trouvent ces vers délicats et raffinés :
« Dommage mon petit que ta mère ne t’ait rien dit sur ce putain de pays [la France, ndlr]
Où, 24 heures par jour et 7 jours par semaine,
J’ai envie de dégainer sur ces faces de craie [les blancs, ndlr]… »
La haine du blanc n’est pas d’aujourd’hui et elle s’infiltre de nos jours dans des populations allogènes à la recherche de droits et d’avantages, dont l’immigration déferlante s’est accélérée depuis dix ans que Nicolas Sarkozy est responsable de la politique de l’immigration, d’abord comme ministre de l’Intérieur, puis comme président de la République. Arrivées sur notre sol, ces masses semblent avoir de moins en moins le souci et la patiente volonté de s’assimiler au peuple qui les accueille, qui les nourrit, les soigne, les protège. Au contraire, elles se réfugient souvent, en raison d’une trop grande différence de moeurs et de civilisation, dans un communautarisme de plus en plus fermé, intolérant et agressif. Pour certains, il s’agit de prendre peu à peu le pouvoir, en profitant d’un environnement social à la tolérance extensible, sur les populations de souche minées par l’idéologie de la culpabilisation et de la repentance. Bientôt, l’heure du destin va sonner pour la France : puisse-t-elle appeler à la renaissance ! C’est à cette tâche que Voix des Français s’emploie

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