La Tunisie aux Tunisiens
- Écrit par Henry de LESQUEN
L'appel du père de Foucauld
Le père Charles de Foucauld, béatifié en 2005, et peu suspect de malveillance, l'avait dit lui aussi dans sa lettre du 29 juillet 1916 à René Bazin, de l'académie française : "Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français..." Ecoutons cet appel du père de Foucauld. C'est sur ce principe incontestable qu'il faut fonder la politique de l'immigration. L'immigré, pris individuellement, est destiné à quitter la France, un jour ou l'autre, s'il est rebelle à l'assimilation, c'est-à-dire s'il ne peut ou ne veut pas entrer dans la communauté nationale en adoptant nos moeurs, nos traditions, notre histoire et notre culture.
Le mot "immigré" a pris un sens nouveau. Ce n'est plus celui qui est né à l'étranger ; c'est celui qui vit en France sans être assimilé : un allochtone, comme on dit aux Pays- Bas, par opposition aux autochtones, qui sont, ici en France, les Français de souche - ou assimilés. Au fond, l'immigré qui s'est assimilé ne devrait plus garder ce nom : il est devenu français.
La mobilisation des Français
Les immigrés ou allochtones devront partir si nous voulons que la France reste aux Français. Il y va de notre identité. Il y va aussi de notre sécurité, car les sociétés multiculturelles sont multiconflictuelles. La montée des violences et de l'insécurité, qui est en partie la conséquence de l'expansion des populations immigrées, ne manquerait pas d'être le prélude à la guerre civile si nous ne nous décidions pas enfin à "inverser les flux migratoires". On vous dit que ce n'est pas possible. C'est un mensonge. Nous avons décrit le modus operandi dans notre éditorial de novembre 2010, intitulé "J'ai fait un rêve"... Nous imaginions que les Français avaient élu un président de la République qui partageait nos idées. Il ne reste plus, si l'on peut dire, qu'à mobiliser les Français pour créer les conditions politiques qui permettront de mettre en oeuvre cette politique de salut public. C'est pourquoi vous devez aider votre association, Voix des Français, qui se dévoue sans compter dans ce but.
